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Belle journée de printemps

Aujourd’hui, en plus d’être le 1er avril et l’anniversaire du parrain de Théodore (non seulement il est Belge, mais en plus, il est né un 1er avril…), c’est aussi le début d’une nouvelle vie pour… notre pré.

Mieux que « Tracteur Tom », voici la broyeuse… Avec elle, débroussailler semble un jeu d’enfant.

Voici donc quelques photos de ce qui a bien occupé notre fan des tracteurs.

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Barbecue géant ou future flambée ?

Suite au passage du tracteur, nous avons commencé à ramasser du « petit bois »…

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Ouragan ?

Ouragan ? Monstre géant ? Bataille ?

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Rien de tout cela, juste l’engin de l’exploitation de bois qui est passé par chez nous…

Ceux qui ont aperçu notre pré il y a peu, ne vont pas le reconnaître… Comme quoi, contre les ronces, il faut sortir l’artillerie lourde :-)
Au programme… Aller récupérer les arbres pour commencer à stocker le bois pour quand nous aurons notre poêle… :-)

Bon anniversaire belle-maman !

Un peu en retard, et ce n’est pas encore fini, mais ça avance :-)

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Notre puits

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Après vérification, il y a encore de l’eau…

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Reste à savoir si une fois vidé, il se remplit de nouveau…

Premiers semis de l’année

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Premiers semis de fait… Il va maintenant falloir penser à faire les prochains d’ici un mois ou deux.
Nous avons de nouvelles graines cette année, achetées au salon primevère à l’association kokopelli, mais comme il faut faire les semis avant les dernières gelées et que chez nous, il gèle encore jusqu’en mai… on va attendre un peu… (oui oui, nous nous sommes fait avoir la première année… maintenant, on écoute les anciens ;-))

Il ne restera plus qu’à aller bêcher… Avis aux amateurs… (et s’il y a trop de volontaires, il y a aussi un pré à « déroncer » (on a envisagé d’appeler les « faucheurs volontaires » pour s’attaquer à nos ronces… Il suffit juste qu’on dise que ce sont des ronces OGM… et qu’ils nous croient :-)).

Rendez-vous cet été pour déguster nos fruits et légumes, sauf si cette année encore les limaces décident de coloniser tous les jardins du coin…

Dernières infos du jour

Le menuisier passe lundi pour vérifier ses côtes pour lancer la fabrication de nos fenêtres et de notre porte… Youpi (bon, ce n’est pas encore fait, mais ça avance)…

Phrase du jour du petit mec : « maman, t’as de la chance de jouer avec moi »… :-)

Quelques nouvelles

Dans les grandes nouvelles du moment… nous avons une nouvelle cuisinière !

Bon, ça a été un peu laborieux pour l’avoir :

Le livreur nous appelle vendredi matin à 7h30 pour nous dire qu’il passera entre 14 et 16h. Comme j’avais RV à 14h30 chez le dentiste, on donne le numéro du portable. A 13h30, nous étions chez mes parents pour récupérer Théodore avant de vite rentrer et là… coup de fil du livreur qui était devant chez nous :-/ Heureusement, MamIrène a nos clefs et en plus a accepté de payer la livraison, donc la cuisinière a pu être livré avant notre retour. Sauf que… quand nous sommes arrivés les livreurs repartaient et nous ont dit qu’il y avait un problème puisqu’il manquait quelque chose pour la brancher…

Super… on n’avait plus d’autres moyens de faire la cuisine donc il fallait que ça marche…

Le branchement a finalement pu être fait après passage au magasin (où ils n’avaient pas la pièce en question… ) et explication de comment faire.

Nous avons donc une cuisinière toute neuve à laquelle il manque le tourne broche (qu’il faut qu’on aille rechercher en magasin…) et qui fonctionne :-)

Non seulement on a déjà pu cuisinier avec, mais en plus le circuit électrique a tenu le choc.

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Le seul problème… Elle ne va pas du tout avec le reste de la cuisine (mais c’est le dernier de mes soucis !)

Dans les autres nouvelles, Minus (pour… Terminus !) va bien et danse déjà la samba. Ce n’est pas encore cette fois-ci qu’on aura un calme… ;-) Et… plus d’hématome, je retourne donc en cours mardi :-)

Et toujours à propos du bébé, Théodore qui a déjà décidé que ce serait une petite soeur m’a annoncé que le bébé allait s’appeler Maud comme… la vache de “Tracteur Tom”… :-/

Visiblement c’est de famille de donner des noms d’animaux puisque Anne et moi avions décidé que le bébé avant Julie devait s’appeler Adeline comme une abeille dans un dessin animé…

Et la dernière nouvelle du jour… Un nouveau changement a eu lieu… passage chez un professionnel pour améliorer la chose d’ici 1/2h…

Travaux, cuisinière, et prise 32 ampères (ouais, ça rime !)

Un “petit” article pour tous ceux (je vous ai vus, au fond, là-bas, pas la peine de vous cacher !) qui se disent que décidément, je suis vraiment un gros flemmard, que les travaux n’avancent pas, que je laisse ma chère et tendre dans d’atroces souffrances liées à son manque de four, et autres électriciens qui trouvent que je fais bien beaucoup d’histoires pour tirer une simple prise 32A…

Ça y’est, le plus gros est fait. Le câble est tiré, depuis la chambre de Théodore (où se trouve le tableau électrique) à la cuisine (où devraient se trouver à terme la plaque et le four, si si !).

Un petit résumé des travaux nécessaires (vous allez voir, je n’ai pas vraiment chômé !) :

  • Virer tout ce qu’il y a dans la cuisine, sur les étagères, et il y en a !
  • En partant du tableau principal, chercher comment les prises de la cuisine sont alimentées.

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On démonte la goulotte qui descend, la plinthe qui gêne, la boîte de dérivation (où les câbles ne passent en fait pas), on s’interroge (tiens c’est quoi ce fil qui part dans un bout de tuyau en cuivre ?), et là, on trouve un gros câble, faisant partie du circuit de la cuisine, qui plonge tranquillement dans une dalle de béton… Une bonne 1/2 heure de perforateur plus tard, j’ai réussi à ne pas transpercer de câbles existants, et à défoncer assez de dalle pour trouver où le câble traverse le plancher en dessous (si si) pour arriver quelque part au-dessus de la cuisine. Premiers dégâts, on a une belle tranchée qui doit faire une trentaine de centimètres de long et descendre jusqu’à une dizaine en profondeur, dans la chambre de Théodore.

 

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  • Essayer de passer un bout de câble / fil / n’importe quoi, et de voir où ça arrive dans la cuisine. Réponse : nulle part. Démontage de tout ce qui est visible dans la cuisine (boîtiers électriques - vous avez vu les beaux fusibles à fil de plomb ? Je vous assure, il sont encore dans le circuit… :-/ ), en ayant déposé les fausses poutres (mais en vrai bois) qui font le tour de la pièce, fouille… impossible de voir où arrive le fil. On en voit bien arriver par un trou sur le côté, mais ce n’est pas celui que je viens de tirer. J’ai même essayé en passant une webcam au travers des fils pour essayer de voir quelque chose derrière, c’est vous dire !

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 Hypothèse : ils arrivent… dans le faux plafond. C’est parti pour faire un trou dans le plafond, en espérant ne pas taper dans un câble évidemment. On ne voit toujours pas grand-chose.Avec un coup de main de Myriam et en “jouant” avec la lampe torche, on arrive à voir de la lumière du trou dans le plafond au trou dans la chambre de Théodore. Bingo. On agrandit le trou, enfin, on essaye, à la scie cloche (paix à son âme, je crois qu’elle va partir à la poubelle), et je finis par arriver à voir le trou de l’étage supérieur.

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  • Chose curieuse, le câble qui, on l’a vu, dans la chambre, s’éloigne du mur avant de redescendre, une fois dans la cuisine, fait exactement le chemin inverse pour repasser derrière la cloison… Une envie de meurtre survient à ce moment-là. Multiples essais avec Myriam en haut et moi en bas, pour faire passer le nouveau câble de la même manière derrière ; trop compliqué (le câble trop rigide ne veut pas redescendre, et il n’y a pas assez de place pour que je passe le bras pour l’attraper), c’est décidé, on va le faire descendre du plafond (en attendant le jour où on cassera tout).
  • Par accident, je fais tomber la planche qui était tout en haut des étagères sous les boîtes électriques. Eh oui, on avait oublié, mais on s’était déjà rendu compte qu’on pouvait l’enlever (elle n’est scellée que par la colle à carrelage…), et mieux voir le circuit électrique. Surprise, il y’a encore une boîte de dérivation qui pend, au bout des différents câbles, derrière ce trou. Hum. Bon, la situation étant changée, après aspiration de 2 ou 3 kilos de toiles d’araignée et autres déchets se trouvant dans l’immense cavité (= place perdue !) derrière la cloison, on reprend à zéro et on arrive à faire passer le câble derrière.À cette occasion, on a pu voir qu’il y avait une porte à cet endroit, autrefois…

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  • Tant qu’à être derrière… autant y rester. Je regarde donc comment est branchée la prise existante pour la cuisinière. Je repère le câble, je le débranche, et c’est parti pour le remplacer par le nouveau (un fil de fer attaché à l’ancien lors de son retrait et au nouveau ensuite à permis de réussir l’épreuve haut la main !) Cette fois, le câble est en place, et on n’aura pas besoin de le mettre en apparent. Pas si mal. Bon, d’accord, il reste un trou dans le plafond, mais… non, rien :’(

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  • Au moins une heure de ménage pour essayer de nettoyer tout le bazar, ranger la cuisine et la chambre de Théodore (c’est à dire remettre la bibliothèque sur le trou plein de gravat pour ne pas que ça se voit trop)… Ça c’était un après-midi sympa…

Il ne reste plus qu’à… choisir et acheter plaque et four, construire un semblant de meuble pour faire tenir tout ça, brancher l’ensemble au tout nouveau câble, le raccorder au tableau (en faisant des échanges de disjoncteurs avec d’autres circuits, qu’on ne peut pas bouger car les câbles sont trop courts, …) et… tirer la terre, aussi… Cette fois c’est sûr, on a pas la terre. En tout cas rien de valable.

Ça y’est, vous comprenez pourquoi des fois, je traîne un peu des pieds pour faire des travaux dans cette maison ? Devoir démonter la moitié de la maison pour réussir à passer un câble, c’est pas vraiment encourageant. Allez, une dernière pour rire, vous voulez voir un peu comment c’est derrière la cuisine ?

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Voilà ! Un “harmonieux” mélange de vieilles pierres, de bois dans un état douteux, de béton, de brique creuse, de plâtre, de fils électriques plus ou moins gâinés, et bien sûr de nombreuses toiles d’araignées ! Youpi ! On va rire pour les travaux plus lourds, je vous le dis !

Bordereau de livraison

J’hésite à faire un mea culpa puisque nous avons trouvé hier le bordereau de livraison de butagaz mais… finalement non !

Donc, nous avons trouvé le bordereau de livraison de butagaz, datant du 8 décembre (on n’a pas l’heure dessus et on se demande si c’était bien le 8 et pas le 9…)…

Le bordereau se trouvait dans le garage sur une étagère sous un pot de graisse…

Visiblement le livreur n’a pas trouvé la boîte aux lettres… Première fois que ça nous arrive en 6 ans… surtout qu’honnêtement, quand on est au niveau du garage, ne pas trouver notre boîte aux lettres (de l’autre côté de la route), il faut vraiment le faire exprès… Au pire, il suffit de suivre le tuyau de gaz…

Le bordereau aurait pu moisir encore des semaines dans le garage, car jamais on n’ aurait imaginé qu’il puisse avoir été déposé là… Surtout sous un pot de graisse…

J’en ai marre de cette société !