31.08.2009 par Myriam.

Après-midi peinture à doigts. Les dessins deviennent de plus en plus figuratifs, reste juste à savoir ce que ça représente…

La question du jour, qu’est-ce que représente l’espèce de rond (patatoïde pouvant ressembler au contour d’une tête de chat) se trouvant à côté d’un escargot (lui, on le repère) ?

Et pendant que l’artiste oeuvrait, la mini puce lézardait dans son transat…

Elle est pas belle la vie?

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31.08.2009 par Myriam.

Ceux qui nous connaissent le savent, nous sommes détectives nés cherchant toujours LE truc qui cloche…

C’est nous qui avons fait remarquer à des producteurs de lait/fromage que sur leurs étiquettes de boîtes de cervelles de canut (pour les non -Lyonnais, la cervelle de canut ce n’est pas un abat d’un artisan de la soie, mais une spécialité fromagère à base de fromage blanc, d’ail et d’herbes aromatiques) ils avaient oublié dans la liste des ingrédients, le fromage blanc :-/

Cette fois-ci, nous vous proposons un petit jeu. Voici le recto et le verso d’une boîte de biscuits. Une erreur se cache (enfin pas tant que ça puisque je (oui oui, moi… quand vous aurez trouvé, vous saurez pourquoi c’est si étonnant que ce soit moi qui ai trouvé) l’ai trouvé).

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30.08.2009 par Myriam.

La saison des mûres a débuté et avec elle celle des confitures…
Le mystère du moment a élucider est « pourquoi mes confitures ne prennent pas ? »
Elles ont cuit un bon moment hier. Ce matin, voyant que ça n’a pas pris, je fais recuire (une bonne heure), mise en pot et après refroidissement, c’est toujours aussi liquide…
Là où ça devient vraiment bizarre, c’est que la crémache (merci aux Francs-comtois de corriger l’orthographe si besoin !), elle, a bien pris (tout comme le fond de ma casserole après mise en pot), alors pourquoi pas le reste ?

Mamie Odile est venue passer un moment à la maison et a emmené Théodore ramasser les premières noisettes de l’année (qui sont très certainement les restes de l’an passé d’ailleurs). Elle lui a bien expliqué que celles qui avaient des trous étaient véreuses, ce qui a valu quelques jets de noisettes à trou… Le seul problème, et là, j’aurai deux mots à dire à ma belle-mère à ce sujet la prochaine fois, c’est qu’il voit maintenant des choses véreuses partout. Ce soir, j’ouvre le frigo et là, Théodore pointe le doigt en me disant « véreuses, y’a des trous »… Forcément y’a des trous… Y’en a même un pot entier de trucs à trous. On a même payé pour avoir des trous… enfin, pour avoir des olives dénoyautées J’imagine à peine la taille du ver pour faire un trou pareil…

Voici la suite du jeu des erreurs concernant nos deux loustics dans le bain. Là, plus aucun doute sur l’identité des deux baigneurs

Et pour finir, terre inconnue, car en descendant les cartons de vêtement en 3 mois, je suis tombée sur la tenue à porter si Clémence décide d’aller rencontrer des inuits !

Ces chaussons ont l’air bien chaud, il faut dire que le temps se rafraîchissant, c’est presque de saison.
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Dans les cartons, j’ai trouvé des « perles »… Des vêtements qui ont survécu aux déménagements, aux lavages, aux enfants successifs pour arriver dans le « tronc commun » des enfants de la famille. Autant les petites chemises portées par maman et marraine sont toujours aussi belles et pratiques (et j’ai plaisir à les utiliser), autant certains vêtements portés par mes cousins, mes soeurs et moi sont un peu trop années 70 pour que j’ose les mettre à mes enfants… J’ai trop peur que les pyjamas bleu roi/orange/jaune et vert les empêchent de dormir… Ils sont donc toujours au fond du carton en attendant le jour où cela reviendra à la mode (j’espère ne jamais connaître ce jour), et on continuera à se les passer de cousins à cousins comme un héritage à conserver précieusement (enfin, jusqu’au jour où on voudra vraiment faire du tri et où certaines pièces de la collection seront définitivement recyclées)… Un jour, il faudra que j’apprenne à ne pas tout garder au cas où cela servirait un jour… Parce que dans le genre de trucs inutiles, mais que je garde, j’ai mes brouillons d’épreuves du bac et de certains partiels… Le jour où on a une cheminée, promis, je trie ce carton… ou pas

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24.08.2009 par Myriam.

…j’aurai de gros seins pour donner à manger à mon bébé.

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23.08.2009 par Christophe.

Qu’est-ce qui est vert, gluant, qui grimpe, s’accroche et se déverse dans tous les interstices possibles pour essayer de se répandre dans toute la maison, bref, qu’est-ce qui ressemble à un monstre de scoobidoo, et qui vit chez nous ?

Alors ? Répugnant, hein ?
C’est “juste” la pâte à pizza pour ce soir, au pistou, pour la couleur, et qu’on a laissé lever un peu trop longtemps dans la machine à pain, et qui a donc pris ses aises (entendre “y en avait vraiment de partout !”).

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21.08.2009 par Myriam.

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21.08.2009 par Myriam.

Jeudi, Théodore a retrouvé Thomas, Clémence a retrouvé Thimothé et maman a retrouvé une autre maman

Comme toujours les deux (presque) grands ont apprécié d’être ensemble même s’il y a eu quelques moments durs…

Ça n’empêche qu’une réconciliation autour d’un verre c’est toujours agréable !

Thimothé et Clémence ont fait plus ample connaissance.

On peut d’ailleurs voir que Clémence a quitté son lit pour se rapprocher…

De bons moments pour les deux petits surtout qu’ils partagent une particularité. Si Clémence est surnommée princesse Fiona, Thimothé, lui, pourrait être appelé Shrek sans problème. On s’est d’ailleurs demandé si le fait que Clémence ne soit plus au même niveau que Thimothé n’était pas dû à des odeurs… Comme dit Théodore, Thimothé sentait la couche…

Fin de la journée avec les papas et le grand frère, au lac des sapins.

 (oui oui, c’est bien un avion dans les mains de Christophe…)

Soirée sympa malgré quelques petits loupés..

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Les deux petits ont fait leur premier tour dans l’eau…

moi aussi par la même occasion et en très peu de temps, picotements sur les jambes puis sensation de brûlure. Résultat passage aux douches et vraisemblablement un nouveau truc auquel je suis ultra sensible (une des algues présentes dans le lac ?)

La pluie qui s’est invitée et nous a obligés à nous abriter et à manger quasi dans le noir (note pour la prochaine fois, penser aux bougies (et aux allumettes)).

Les moyens qui étaient bien épuisés…

Mais… la soirée a été mille fois (on peut facilement aller jusqu’à dix mille fois) plus agréable que la veille et nos déboires avec les voisins (pas tout le groupe de voisins avec qui on s’entend super bien, mais des voisins avec qui on avait jusqu’alors échangé à peine 10 mots en 7 ans…). Normal, c’est toujours agréable de passer du temps avec les gens qu’on aime

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21.08.2009 par Myriam.

Qui est qui ?

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17.08.2009 par Myriam.

Les baies de sureau commençant à mûrir, il est temps de leur consacrer un article, d’autant plus qu’il y a quelque temps, on m’a demandé la recette de MA confiture mûre-sureau.
Tout d’abord, attention, il y a sureau et sureau.
Si comme moi vous pensiez que le sureau était toxique, vous aviez raison et tort !
Il existe 2 sortes de sureau.
Le comestible (sureau noir) est un arbre et ses grappes de fruits sont tournées vers le bas (tombent). Minute culturelle, il semblerait que ce soit à un sureau que Judas se soit pendu d’où l’appellation parfois du sureau noir d’arbre de Judas.

Le toxique (sureau hièble),  est une plante herbacée ne dépassant pas 2 mètres et dont les grappes (les corymbes (c’était la 2e minute culturelle)) pointent vers le haut.

(Il y a une troisième espèce dont les baies sont rouges dont, pas de risque de confusion.)

Maintenant que le cours de biologie est passé, passons aux choses sérieuses.
Lorsque les baies sont bien noires (ça commence tout juste chez nous, mais à Charnay ça avait l’air bien mûr), les cueillir et en extraire le jus.
Suite à une coupe sauvage de notre arbre, il a fallu trier les baies… Travail long et fastidieux, mais le résultat est au rendez-vous.

Les années précédentes, nous avons emprunté les extracteurs à fruits de Freddy et Nicole puis de mes parents. Cette année, comme nous sommes passés à l’induction, il nous en fallait un adapté. Et voilà comment on prend son indépendance « extracteurienne ». Voici l’engin tout beau tout neuf !

La première étape, à savoir la mise en bouteilles du jus de sureau étant faite, voici la recette “à la Myriam” (comprendre sans aucune proportion) de la confiture :
Récupérer le jus des mûres et des baies de sureau (proportion totalement au pif… l’an passé il devait y avoir plus de mûres que de sureau, mais je ne le jurerai pas…).
Ajouter le même poids de sucre (de préférence sucre à confiture (avec de la pectine)) et faire prendre la confiture.
Mettre en bocaux et pour que ce soit vraiment ma recette, n’en mangez pas et offrez les confitures à ceux qui les aiment (et dire que quand on s’est mariés je m’étais promis de ne jamais faire de confitures… Comme quoi…).
Message en passant à tatie Jolie et tonton Train, j’ai bien pris note de votre commande !

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15.08.2009 par Myriam.

Aujourd’hui, 15 août, en plus d’être la fête de Myriam et celle de Clémence (elle s’appelle aussi Marie), c’était aussi la cousinerie Charnay.

Comme nous étions dans les parages, nous sommes allés y faire un tour et profiter de l’occasion pour présenter notre petite merveille.

Le temps était beau (bien qu’un peu chaud), l’occasion de sortir les boules de pétanques. Avant de se lancer dans une vraie partie, petit temps d’échauffement entre le père et le fils…

Échauffement pas toujours très conventionnel chez certains

Théodore se débrouille très bien en tir de cochonnet (mais il vaut mieux en avoir un autre pour le jeu, car il lance le sien quand il a envie ;-)) et en ramasseur de balle (à force de chercher les oeufs de Pâques et les noix après les bourrasques, il a de l’entraînement).

Fin de la journée par une vraie partie (en fait 1 1/2) sous l’oeil de la paparazzi remplaçante pour cause d’abandon de poste par la mère nourricière !

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