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Archive pour déc  

Chez papy et mamy… sans eux !

Opération exil commencée !

La maison, ou plutôt la salle de bain étant en réhabilitation, nous (les moins de 33 ans ;-)) sommes partis vivre chez papy et mamy en leur absence.

L’occasion de sortir plein de jeux :-)

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Et pour le bain… Agathe a fait un hommage à tatie Julie puisqu’elle a pris son bain dans… le lavabo ! comme Julie au même âge !

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Les recettes des fêtes

Cette année, nous avons eu un réveillon fait maison excellent (et c’est rien de le dire :-)). Et comme on est sympa, on partage les recettes avec les copains ou les lecteurs égarés du blog ;-)

Les magrets séchés 

La recette a été prise ici. La version illustrée se trouve.

En gros il faut 1 magret de canard et 500g de sel (depuis, on sait qu’on peut réutiliser le sel en le faisant sécher au four après… Nous on l’a juste gardé pour déneiger… Déneiger au sel de Guérande, c’est un peu abusé, mais bon !).

On enfouit le magret dans le sel dans une boîte en plastique.

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Au frigo pour 12h. Ensuite, on retire du sel et on couvre de poivre/piment d’Espelette/ce qu’on veut. On enroule dans un torchon propre et on laisse sécher au frigo 3 semaines (certains le mangent dès quelques jours de séchage… On envisage d’en faire 21 d’un coup pour tester le temps de séchage qu’on préfère ^^)

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Et voilà l’travail !

Le foie gras

Cette année, j’ai testé la méthode d’Éric Léautey (faite une recherche sur internet, tout le monde ou presque en parle… Moi j’ai suivi ce blog)

La technique consiste à cuire au four le foie dénervé et assaisonné puis de le mettre en terrine (même ronde ^^). Comme il n’y a pas de cuisson après, on peut avoir des délires culinaires en faisant une couche de figues (beurk pour moi) ou de ce qu’on veut entre 2 couches de foie gras.

La bûche opéra

Presque la recette de l’opéra (un de mes gâteaux préférés) mais en version bûche. Pour que ce soit joli, j’ai étalé une fine couche de chocolat sur le biscuit puis la crème au beurre au café (attention, pas une crème au beurre écoeurante, LA crème au beurre à base de beurre et blanc d’oeuf battu en neige avec du sirop de sucre chaud) et une fois roulé recouvert de ganache au chocolat.

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Pas à pas santon

Comme on me l’a demandé (et que moi j’ai cherché sans trouver avant d’avoir l’illumination ;-)), voici le tuto pour faire des santons à partir d’une bouteille en plastique.

Pour faire les mêmes que les nôtres, il faut :

-une bouteille en plastique vide !

-une paire de ciseaux

-de la colle

-une agrafeuse (avec des agrafes)

-du coton

-feutre/stylo

-des chutes de papier peint

Pour faire la tête, on commence par découper une bande de papier et on l’enroule, côté blanc visible en haut de la bouteille. On agrafe.

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Pour le corps, on découpe une bande de papier et on l’enroule, côté coloré en bas de la bouteille. On agrafe !

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Pour les bras, on fait des tubes en roulant du papier puis on agrafe.

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Pour le voile, une nouvelle bande de papier que l’on positionne comme on veut/peut sur la tête. On fixe à coup d’agrafeuse ! Ensuite on pense à dessiner le visage !

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Pour le bâton, il faut une bande de papier sur l’on roule sur lui même. On scotch le rouleau pour que le papier reste bien serré puis on roule une extrémité du bâton pour lui donner la forme voulue.

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Pour le mouton, on commence par dessiner un nuage avec une tête et des pattes puis on le découpe. Ensuite, on enduit de colle et on découpe des petits morceaux de coton que l’on colle. Une fois le mouton prêt, on le colle sur le berger.

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Santons

Cette année aura été l’année de création de santons en tout genre ! Après les crèches en laine, nous nous sommes lancés dans les santons en bouteilles plastiques !

En allant sur le site de la paroisse pour savoir ce qu’il y avait comme propositions pour Noël (comprendre une veillée pas trop tard et adaptée aux enfants, je suis tombée sur ça : Pour permettre aux enfants de participer aux veillées de Noël, nous leur proposons à chacun de réaliser un santon qui pourra être apporté lors de la célébration. Pour la confection, nous suggérons une bouteille en plastique d’un litre ½ décorée et habillée.
Nous laissons libre cours à votre imagination.

Hum hum… J’étais moyen inspirée par le truc… Et puis finalement, l’idée a mûri et grâce aux affreux rouleaux de papier peint dont nous avons hérité en achetant la maison, nous avons pu faire quelque chose !

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Pierre, Clémence, Théodore et Agathe

À ce rythme-là, on va finir exposant à Oingt !

Petits chocolats

On reste dans la cuisine, pour cette fois-ci utiliser un double cadeau de l’an passé.

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À Noël dernier, j’ai reçu deux fois le même cadeau le coffret Petits chocolats maison (comme c’est bizarre). L’un des deux s’est transformé en livre, toujours sur la cuisine (de l’auteure Michèle Barrière, des romans policiers culinaires… Vraiment sympa !) et l’autre a rejoint mon placard à ustensiles et au final n’avait jamais servi (tout ça ‘est de la faute d’Agathe et de l’état de délabrement avancé qui est le mien à chaque grossesse)… jusqu’à aujourd’hui (enfin hier et aujourd’hui).

Tout à commencé lorsqu’en faisant les Florentins il m’est resté du chocolat fondu… Pour ne pas gâcher, j’ai attrapé les moules (que j’avais lavé la veille après avoir feuilleté le livre) et en ai rempli quelques-uns, puis je les ai mis de côté…

Aujourd’hui, j’ai voulu compléter le cadeau d’anniversaire de Christophe (rappelez-vous, on était en pédiatrie à ce moment-là) et lui faire du caramel d’érable… Caramel fait et là… une idée a jailli… et si on remplissait les coques avec ?

Ni une ni deux, voilà le travail… En plus, j’avais encore des Florentins à recouvrir de chocolat, l’excuse était trop bonne… Et puis Christophe m’a suggéré de mettre quelques grains de fleur de sel par dessus et… voilà le travail !
On ne sait pas encore si c’est bon… il faudra attendre le démoulage ! En tout cas, tous les ingrédients pris séparément sont excellents…

Caramel à l’érable (je ne sais plus où j’ai trouvé la recette…)

150gr de sucre roux
1 flacon de sirop d’érable (230 à 250gr)
110 gr de beurre 1/2 sel
1 petite boîte de lait concentré sucré (397gr)

Dans une casserole mettre le sucre, le sirop d’érable et le beurre en morceaux.

Amener doucement à ébullition en remuant avec une cuillère.

Quand ça commence à bouillir (il se forme alors de l’écume) compter top chrono 4 mn à feu moyen en remuant de temps en temps et en surveillant que ça ne déborde pas….

Retirer du feu et ajouter le lait concentré sucré. Bien mélanger et mettre en pot.
Quand c’est tiède, fermer.

Laisser refroidir complètement quelques heures avant de placer au frigo pour une bonne conservation.

La cuisine, un art de vivre…

Ici, l’art culinaire est partout… Un peu trop peut-être, encore que, ça nous fait bien rire…

Il y a quelque temps, Théodore s’est lancé dans les insultes culinaires… Nous avons eu droit à un « courgette qui pète» décliné en « patate qui pète » lorsque j’ai commencé à ne plus supporter le premier… Et puis ça s’est calmé, mais nous avions quand même droit aux « patates » lancées par l’un ou l’autre des grands…

Et hier, j’ai découvert les insultes pâtissières !
Théodore très énervé (mais je ne sais plus par quoi), s’est mis à crier, taper des pieds, donner des coups de pieds dans les chaises (la grosse colère en fait), puis à jurer… « chou à la fraise de chou à la fraise » :-) Dur dur de ne pas éclater de rire !

J’imagine que dans quelques années je regretterai ces injures ;-)

Brigitte ?

Pour mon anniversaire (pour ceux qui auraient oublié, il reste encore quelques heures pour me le souhaiter ;-)), j’ai eu une Brigitte !

Alors non, nous n’avons pas décidé d’avoir une employée de maison, Brigitte est en fait une copine de Maryse :-)

Maryse, ceux qui me côtoient en cuisine, savent que c’est le vrai nom du « bidule en plastique mou qui sert à racler le bord des jattes une fois qu’on a versé la préparation dans le moule et qu’on ne veut rien perdre ».

Brigitte, c’est donc une copine de Maryse, un ustensile, mais qui va un peu moins servir… C’est LE truc qui me fait délirer !

Alors pour les photos, ça attendra, on s’en servira peut-être demain ;-)

D’ici là, je peux juste vous dire qu’il s’agit d’un emporte-pièce qui permet de mettre un message sur le gâteau… Affaire à suivre !

Échange de cadeaux

Cette année encore, avec certaines copinautes, nous avons refait un échange de cadeaux de Noël (au passage, merci Zélie de t’en être occupé ;-)). Le principe, un cadeau fait maison ou acheté à condition de ne pas dépasser les 5 euros (enfin, on n’est pas à 10 centimes non plus ;-)).

L’an passé, j’avais reçu des chouettes arrivées tout droit de Scandinavie. Une pour chacun des membres de la famille… Résultat, il a vite fallu en faire une en carton (en attendant que je ressorte la machine) pour qu’Agathe puisse avoir la sienne.

Cette année, c’est Anne-Sophie qui nous a envoyé des cadeaux. C’est le plastique fou qui est à l’honneur, et nous avons de nouvelles décorations pour le sapin… Un écureuil pour Théodore et un pour Clémence… Et comme en plus c’est une portraitiste qui nous a fait nos cadeaux, la troisième décoration est… rien que pour nous.

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Pour ceux qui cherchent la photo d’origine, elle se trouve ici.

P’tit biscuit

Tous les mercredis, dans les calendriers de Théodore et Clémence, il y a une recette.

Mercredi, c’était celle des sablés ; et avec la recette il y avait un emporte-pièce. Théodore a eu p’tit biscuit (on est fan de Shrek ou on ne l’est pas).

Et on aime tellement le personnage, qu’il décore aussi notre sapin… On a même un p’tit biscuit prêt pour aller en boîte de nuit ;-)

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Orangettes

Cette année, j’ai testé… les orangettes !

Recette ultra simple, même avec une puce dans l’écharpe et 2 grands à occuper…

Il faut d’abord des oranges bio, que l’on lave puis auxquelles on retire l’écorce.

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 Ensuite, on gratte bien toute la peau blanche ou on la laisse. Moi, j’aime bien me prendre la tête, donc j’ai tout gratté et honnêtement, c’est excellent !

Puis, au choix, on détaille en petites tranches ou on laisse en grands morceaux et on coupe plus tard aux ciseaux (j’ai testé les deux. En coupant aux ciseaux après, on gagne du temps lors des étapes précédentes, mais on a les doigts bien poisseux après)

On pèse les écorces, puis on pèse le même poids de sucre pour plus tard.

On fait bouillir de l’eau salée dans laquelle on jette les écorces. Dès que ça bout de nouveau, on retire de l’eau.

On vide l’eau salée, on met de l’eau dans la casserole, on fait bouillir, on jette les écorces dedans, quand ça bout on retire de l’eau.

On vide l’eau, on met de l’eau dans la casserole, on fait bouillir, on jette les écorces dedans et quand ça bout on retire de l’eau (promis, c’était la dernière fois).

Dans la casserole, mettre le jus d’une ou deux oranges, le sucre, les écorces et ajouter de l’eau pour recouvrir si besoin. Faire bouillir à feu doux (attention à ne pas faire un caramel…) le temps de confire les écorces (entre 20 et 40 minutes) puis les sortir en les disposer sur une plaque et laisser refroidir.

Avec le reste du sirop d’orange, on peut soit le garder comme sirop, soit l’utiliser pour faire de la compote à l’orange

C’est à ce moment qu’on découpe les écorces si ce n’est pas encore fait…

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 Faire fondre du chocolat au bain-marie. Quand il est fondu, le faire refroidir, soit dans un bain-marie froid, soit en rajoutant du chocolat. Tremper dedans les morceaux d’écorce d’oranges et les faire sécher sur une plaque.

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 En théorie, ça se conserve jusqu’à 1 an… À mon avis, ça ne durera pas aussi longtemps…

J’ai testé les « citronnettes » et… il y a comme un loupé. C’est… coriace alors que les orangettes sont fondantes… Il va falloir trouver comment recycler tout ça !