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Archive pour oct  

Les vacances…

Première semaine de vacances quasi finie. Elle a été bien remplie, même si nous avons essayé de nous reposer, car notre écolier en avait vraiment besoin.
Entre la visite de Thomas (de son petit frère et de sa maman) qui a été… chaud bouillante (encore merci à Mélina d’être arrivée pour les tempérer !), la première invitation à l’anniversaire d’un copain de classe, l’après-midi tant attendu avec Florian,  le passage aux urgences, la panne de chaudière (oui, encore), les allers-retours au village pour aller voir la poissonnière/le boucher/passer à la mairie/à l’épicerie et faire un coucou à Pierre en ramassant sa lavande, la cuisine en mode cheese-cakes et viennoiseries, on n’a quasi pas vu la semaine passer… Même si… on a bien regardé chaque jour le calendrier pour voir quand papa allait rentrer (c’est ce soir !).

Comme tout le monde en meurt d’envie, je vais détailler un peu :-)

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planning de Théodore

La visite de Thomas, c’était pour que les mamans avancent les cadeaux de Noël… Ils ont été tellement… à fond que ça s’est fini par de la couture le soir devant la télé, une fois que tout le monde a été au lit… Et puis, ce jour-là, c’était aussi l’occasion de faire salon de thé et de goûter au premier (d’une longue série) cheese-cake.
Le lendemain, anniversaire d’un copain de classe (et annulation de la sortie chez les copines pour permettre à Théodore d’y aller… C’est beau le dévouement d’une maman). Heureusement, il a fait beau, c’était beaucoup plus agréable pour faire les trajets à pied. Je remercie d’ailleurs le copain d’être né en automne, car au printemps, j’en bave beaucoup plus pour monter la pente pour aller chez nous. Là, en fin d’année, j’ai de l’entraînement et c’est presque trop facile de faire 2 allers-retours ;-) Et le soir, en rentrant… un petit doigt s’est malencontreusement coincé dans la porte d’entrée…

Mercredi matin, au réveil, le petit doigt était bien gonflé et un peu bleuté… mais hors de question d’aller à l’hôpital. Déjà, Théodore ne voulait pas en entendre parler et en plus, l’après-midi, Florian venait… Pas question de rester bloquer là-bas ! Du coup, balade jusqu’au village pour passer voir la poissonnière.
Avec Florian tout s’est super bien passé. Ils étaient visiblement très heureux de se voir, l’un et l’autre sautant sur place (ce qui n’est pas hyper facile pour la maman de Florian qui essayait de le faire marcher…). La maman le frère et la soeur sont restés avec nous, ce qui nous a permis de faire connaissance et pour Florian de ne pas être lâché en terrain inconnu. On a prévu de remettre ça aux prochaines vacances, en invitant Florian et sa petite soeur pour que la maman puisse passer un moment avec le grand.
Le soir, papy, mamy et grand-mamy sont arrivés et papy a pu convaincre Théodore d’aller aux urgences. Gros nounours nous a accompagné et tout s’est bien passé. Aux radios rien de cassé, mais Théodore a eu une attelle (pas de photo, car il veut faire la surprise à papa ;-)).

Le jeudi, qui devait être un jour de relâche… a été un jour de galère. Au réveil, nous avions froid… Puis, passage sous la douche pour moi. Enfin pas tout à fait puisque j’ai voulu faire chauffer l’eau avant de rentrer sous la douche… et l’eau n’a jamais chauffé… Panne de chaudière, il faisait 16 dans la maison :-/ Ambiance pull et boissons chaudes. Et Clémence s’est même mis un bonnet sur la tête ! J’ai fait le tour des voisins pour récupérer des chauffages électriques en attendant le réparateur qui contre toute attente est venu le jour même (Youpi !). Au final, il ne peut pas me dire avec certitude d’où venait la panne… mais ça remarche, c’est le principal ! (Ce matin, au réveil, Théodore avait trop chaud… il faisait 19 !)

Aujourd’hui, vendredi, jour du boucher, donc direction le village. On en a profité pour essayer de faire la demande de carte d’identité pour Clémence (bien évidemment, il manquait un document… Grrrrrrrrrrrrrr !) , puis passage au cimetière et ramassage de la lavande. Lors d’une énième discussion sur la mort, Théodore m’a dit qu’il ne pourrait pas mourir puisqu’il n’aurait jamais fini son travail… :-) C’est bien essayé !
Pour le goûter, c’était croissants et pains au chocolat maison, et une fois de plus, je me demande pourquoi je n’ai pas fait une formation en boulangerie/pâtisserie…

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Clémence au chocolat

Ce soir, Christophe rentre, enfin si les trains n’ont pas de retard et s’il arrive à trouver l’endroit où prendre le car de remplacement pour revenir à la maison… Et grâce à la Toussaint, nous aurons 3 jours rien que pour nous… enfin presque puisqu’ils sont déjà bien remplis !

La vue est dégagée…

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Et le prunier s’en est allé…

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Retour à Montréal

 Mon premier cheese-cake, je l’ai mangé à Montréal, quasi à la sortie de l’avion.
Marie-Ève et Mark nous ont emmenés prendre un dessert et là… Mmmmmmmmh !
Avec la tarte au sucre du restaurant se trouvant à côté de l’église Notre-Dame du Bon Secours, ça reste un des moments forts, culinairement parlant de notre séjour.

En cliquant par hasard sur un lien, je suis tombée sur ça.
Du coup, samedi, achat des ingrédients et dimanche réalisation du cheese-cake.

Ça n’étonnera personne, j’ai un peu modifié la recette… et si je le refais (bien sûr que je vais la refaire !), je modifierai encore.
Tout d’abord, je n’ai pas battu les blancs en neige. J’ai vu à plusieurs endroits que ce n’était pas une bonne idée, car en dehors du fait que ça provoque des débordements et un nettoyage du four après coup, ça ne donne pas la texture voulue.
Pour le fromage, j’ai mélangé moitié st Moret, moitié fromage blanc que j’ai fait égoutter une nuit.

Voici donc, la recette revue et corrigée :-)
Pour 6 personnes :

* À préparer la veille :
* Matériel :
* un cercle réglable (ici à 20 cm)
* du papier sulfurisé ou toile silicone.

 Pour la croûte biscuitée :
180 g de biscuits (ici 120 g de speculoos et 60 g de petits-beurre. Les spéculoos n’apportent rien de plus à la recette…)
60 g de beurre

Pour l’appareil chocolat noir :
300 g de fromage frais
2 oeufs
150 g de chocolat noir
60 g de sucre
 Pour l’appareil chocolat blanc :
300 g de fromage frais
2 oeufs
150 g de chocolat blanc
50 g de sucre (la prochaine fois, mettre moins de sucre)

Pour le caramel au beurre salé
100 g de sucre
8 cl de crème
40 g de beurre 1/2 sel
(les proportions sont celles de la recette,en dehors du sucre, j’ai fait à vue de nez ;-))

Préparation
La croûte biscuitée

Poser le cercle sur une toile silicone ou du papier sulfurisé sur une grille du four.
Mixer les biscuits, ajouter le beurre fondu puis remixer pour obtenir une pâte homogène. À L’aide d’un verre ou d’une cuillère, tasser cette pâte dans le cercle en faisant légèrement remonter les bords. Mettre dans le four le temps de préparer la suite.

Préchauffer le four à 100°.

L’appareil chocolat noir

Dans un saladier, mélanger le fromage, les oeufs et le sucre. Faire fondre le chocolat noir et l’incorporer au mélange précédent pour obtenir un mélange homogène.

L’appareil chocolat blanc

Dans un saladier, mélanger le fromage, les oeufs et le sucre. Faire fondre le chocolat blanc et l’incorporer au mélange précédent pour obtenir un mélange homogène.

Répartir dans le cercle l’appareil au chocolat noir puis celui au chocolat blanc.
Enfourner le cheese-cake à 100°C pendant 1 heure. Puis laisser refroidir dans le four éteint.

Préparer le miroir de caramel au beurre salé

Dans une petite casserole, mettre à feu doux le sucre et attendre qu’il caramélise. Ajouter le beurre puis la crème. Remuer et laisser épaissir. Napper le cheese-cake (toujours dans son cercle). Mettre au frais.

La sauce au caramel apporte un peu trop de sucre… La prochaine fois, a tenter avec un glaçage au chocolat amer (parce que oui, ça manque de chocolat !).

Vous pouvez faire la recette sans soucis, c’est vraiment trop trop bon… :-)

Et pourtant, on ne prépare pas Halloween…

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:-)

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Commentaire de la maîtresse « Il faut placer les bras plus haut sur le corps, les pieds sont trop petits »…
Oui bon, d’accord, mais on voit bien qu’elle ne connaît pas toute la famille :-)

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Dernières récoltes

Les premières gelées sont arrivées, l’occasion d’aller ramasser les prunelles pour faire la confiture et répondre à mes commandes…

L’occasion aussi de ramasser les dernières herbes aromatiques pour les sécher ou les congeler et aussi de ramasser notre 3e récolte de pommes de terre !  Les puristes s’ils nous voyaient s’arracheraient les cheveux, mais notre technique ne marche pas si mal. Nous plantons tout ce qui germe chez nous avec comme devise « ça pousse c’est bien, ça pousse pas, tant pis !» Et pour l’instant, ça pousse…

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Pour les pommes de terre qui germent, elles sont plantées dans une ancienne poubelle remplie de terre et de terreau. Ça nous permet de les voir pousser et de les arracher sans trop de difficulté.

Notre technique pour planter des arbres est tout aussi peu académique… Les noyaux sont jetés dans la jardinière et lorsqu’un arbre commence à pousser, on le déterre pour le mettre dans un pot plus grand et le replanter plus tard.

Chouette, les vacances approchent !

 Il était temps, car la fatigue commence à sérieusement se faire ressentir que ce soit pour l’écolier (Théodore voulait même rester à la maison hier après-midi pour dormir, car à l’école, ceux qui font la sieste sont réveillés pour aller en récréation, alors c’est trop court ! Quand on sait qu’il fait très peu la sieste, on a une idée de l’état de fatigue ! ) ou pour la maman (comment font les mamans célibataires ? Elles ont toute mon admiration, car pour vivre ça à mi-temps, c’est épuisant ! )

Qui dit vacances qui approchent, dit cahier ramené à la maison, l’occasion d’une bonne crise de fou rire hier soir en voyant un dessin et surtout le commentaire de la maîtresse…
Notre petit bonhomme s’éclate à l’école. Ça nous change de l’an passé et de ses soucis suite à la sieste.

Une chose quand même me chiffonne avec ces vacances. Nous nous étions d’ailleurs fait la remarque il y a quelques années en voyant un panneau d’affichage devant une école. Ce ne sont plus les vacances de la Toussaint, mais les vacances d’automne :-/
Parfois, la laïcité à tout va me laisse un peu perplexe… Je me demande comment vont s’appeler les vacances de Noël… Enfin, on a déjà échappé aux vacances d’Halloween, je devrais m’estimer heureuse :-/

Théodore version SMS

Notre petit (pardon, moyen) bonhomme a décidé que cette année il allait apprendre à lire à l’école… Du coup, il fait des exercices pour reconnaître les sons et aime beaucoup écrire les mots qu’il connaît (papa, maman, mamy, papy, Théodore, Coco (la mascotte de l’école)) et recopier des phrases entières.

Là, aujourd’hui, il est passé à autre chose… C’est très fier de lui, qu’il est venu m’annoncer que le mot HIER s’écrivait en deux lettres, I et R. Impossible de lui faire entendre raison, selon lui, c’est moi qui ne sais pas écrire, car I et R ça fait hier, il n’y a pas besoin de plus de lettres…

Il est prêt pour les SMS…

Papy, ce héros

 Hier, Papy, Mamy et Grand-Mamy sont venus à la maison pour manger et passer l’après-midi avec nous.

Depuis quelque temps, le vélo de Théodore est immobilisé pour cause de vis défaillante. Superpapa avait déjà essayé de le réparer, mais n’ayant pas le matériel adéquat et surtout le temps, le vélo n’était toujours pas réparé.

Papy voulant peut-être passer devant Tonton Damien sur l’échelle des héros pour Théodore, a voulu réparer le vélo.
Après avoir essayé de trouver une vis identique pour la changer, d’être allé jusqu’à Tarare pour trouver un magasin de bricolage (et avoir fait chou blanc), il a décidé d’aller voir le garagiste pour voir s’il avait de quoi réparer le moyen de locomotion de Théodore…

Eh bien oui ! Notre super garagiste avait ce qu’il fallait et a donc donné 2 vis pour le vélo de Théodore. De retour à la maison, Papy a réparé le vélo et Théodore a pu en faire et se prendre sa 1re gamelle de l’ère « le vélo, le retour ! ».

Depuis, Papy est devenu un héros…  Et Théodore raconte à tout le monde que maintenant son vélo est réparé !

Aaaaaaaaaaaahhhh…

ou Comment essayer pour la 3e fois de payer ses impôts…

Tout a commencé le 2 septembre, lorsque nous avons reçu notre avis d’imposition pour la taxe foncière.
Comme toujours (ou presque… on a eu un loupé une fois ;-)), nous remplissons notre TIP le jour même pour le poster le lendemain. Autant dire qu’on était archi dans les temps.

Le 26 septembre, courrier des impôts nous informant qu’ils sont au regret de nous informer que notre banque a rejeté l’opération pour le motif : R.I.B inexploitable… Et qu’il nous « rappelle par ailleurs, qu’en vertu de l’article 1730 du code général des impôts, une majoration de 10 % est appliquée à toutes les sommes non entièrement acquittées dans le délai légal de paiement. »

Ben voyons, ce serait dommage de se priver d’une majoration…

Je prends donc mon téléphone pour appeler le centre des impôts et tirer cette affaire au clair. Là, je tombe sur une personne charmante ET compétente qui me dit qu’il y a peut-être un problème avec mon R.I.B puisque nous sommes à la Caisse d’Épargne (et que leur je ne sais plus trop quoi a changé). Pour l’anecdote, on avait eu le même soucis l’an passé avec la taxe d’habitation et avions dû leur donner un nouveau R.I.B
Bref, le 27 septembre, je renvoie le bordereau et un nouveau R.I.B pour payer ce que je dois aux impôts.

Aujourd’hui, 11 octobre, que vois-je au courrier ? Deux lettres des impôts. La taxe d’habitation (bon, il fallait bien qu’elle arrive un jour ou l’autre) ET un nouveau courrier des impôts concernant la taxe foncière…
Le temps d’appeler les impôts (comprendre avoir 5 minutes de calme), et de ne pas avoir un message comme quoi tout le monde est occupé, il était 16 h passé donc… les bureaux étaient fermés ! Demain il y a grève, j’ai peu d’espoir d’avoir quelqu’un au bout du fil…

J’appelle la banque pour savoir où est le problème, on vérifie que le RIB est bien le bon (on n’avait pas vraiment de doutes, mais bon), on discute 5 minutes et il s’avère qu’ils ne savent pas du tout où est le problème… Pour eux, rien ne bloque, il doit s’agir d’une erreur de saisie de la part des impôts !

Nous sommes le 11 octobre, la date limite pour payer est le 15… La question du moment est… allons-nous avoir une majoration pour retard de paiement ?
Cette fois-ci, c’est sur, une fois le mystère éclaircit, nous passons au prélèvement automatique ;-)

Et pour finir… le plus drôle dans l’histoire, le texte de la lettre reçue aujourd’hui…

« Madame, Monsieur,
J’ai l’honneur de vous informer qu’il ne m’est pas possible d’enregistrer le paiement de votre taxe foncière 2010 d’un montant de 219 euros avec les documents ci-joints.
Je vous serais donc obligée de bien vouloir me faire parvenir, au 15 octobre 2010, un chèque de 210 euros pour régulariser votre dossier.
Avec mes remerciements, veuillez agréer, Madame, Monsieur, mes salutations distinguées. »