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Archive pour mar  

Pâte feuilletée inversée

Tout le monde connaît la pâte feuilletée. une détrempe au milieu de laquelle on met le beurre et qu’on plie en essayant tant bien que mal que le beurre ne s’échappe pas. Pas hyper compliqué (encore qu’on peut vraiment finir par haïr le beurre qui ne veut pas rester en place), mais plutôt long.

Cette fois-ci, j’ai testé la pâte feuilletée inversée. Le principe, au lieu du beurre à l’intérieur de la détrempe, le beurre est à l’extérieur… La pâte est simplissime à faire (même si j’ai eu un gros doute quand j’ai du étaler mon beurre avant de le mettre au frigo…, super facile à étaler/travailler/utiliser et… vraiment bonne.

La recette vient de chez Mercotte et est maintenant dans mon livre de cuisine (celui que Théodore a déjà essayé de négocier en héritage ;-))

Et pourquoi cette pâte feuilletée ? Tout simplement parce que dimanche dernier, nous avons goûté une conversation (qui est un gros jésuite en somme) et que j’avais très envie de me lancer dans l’aventure.

Un jésuite, c’est de la pâte feuilletée, de la crème aux amandes, re de la pâte feuilletée et pour finir de la glace royale cuite (blanc d’oeuf + sucre glace).

Notre essai est un peu trop sucré (j’ai oublié de diminuer les proportions de sucre) mais… on est assez content du résultat… Et la pâte est… vraiment feuilletée !

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Rien à voir, mais le ballon perdu a été retrouvé. Finalement, il n’aura pas vu la mer !

Le mercredi, on est content quand il est fini !

Ce n’est pas le cas de tous les mercredis, mais hier… Pour preuve, il m’a fallu 24h pour m’en remettre ;-)

Le mercredi, dans notre bled paumé, c’est le jour de la poissonnière. Avec l’arrivée des beaux jours, nous pouvons reprendre notre promenade hebdomadaire en allant au village pour acheter notre poisson et notre pain (depuis qu’on a une boulangerie, qu’est-ce qu’on mange comme pain… et surtout, qu’est-ce qu’on utilise moins de farine ;-))

Hier, départ pour aller au village. Théodore décide de prendre son vélo, Clémence un chariot a tirer et tous les 2 leurs casques. Pour ne pas avoir à aller en casque jusqu’au village, je prends les clefs de ma voiture pour les poser dedans le temps de l’aller-retour. J’en profite pour attraper le réhausseur de Théodore pour le poser dans la voiture afin de ne pas avoir à le chercher quand on en aurait besoin. Rien de bien extraordinaire en somme.

On arrive au pré, Théodore essaie de garer son vélo dans le tipi, mais comme il déborde, il décide d’aller le garer vers ma voiture. On repart donc et là… boum badaboum, Clémence se casse la figure et tape le nez contre le bitume. Nez en sang, hurlements stridents (normal). J’éponge comme je peux avec des mouchoirs et lui propose de rentrer… Non, elle veut aller voir la poissonnière.

On pose tout le bazar dans la voiture, je revérifie l’état du nez (au cas où les saignements reprendraient… je me voyais déjà passer le reste de la matinée aux urgences) et propose qu’on y aille en voiture. Proposition acceptée.

Je laisse les grands, retourne à la maison avec Agathe pour attraper son siège-auto et une lingette humide (pour redonner figure humaine à Clémence) et on retourne à la voiture…

Là, Théodore est terrorisé, car il reste un bout de toile d’araignée au-dessus d’où il est assis (oui, ma voiture sert très peu… mais une toile d’araignée c’est mieux que le nid de guêpes et le nid d’oiseaux qu’on a déjà eu…) et Clémence stoïque malgré de grosses larmes.

Je laisse Agathe à Théodore le temps d’accrocher le siège. Manoeuvre qui aurait dû être très facile puisqu’à l’avant les ceintures sont à enrouleur (contrairement à l’arrière où c’est une vraie galère…)… Sauf que rien n’est simple, la ceinture est trop courte, impossible de l’accrocher en la passant là où elle devrait sur le siège-auto… (Quand ça ne veut pas, ça ne veut pas…).

Me voilà donc à annoncer à tout le monde que s’ils veulent du poisson, il faut y aller à pied, que je ne peux pas installer Agathe… on referme la voiture (quand même, il y a 3 sièges-auto, ça a dû doubler son prix) et on repart vaillamment…

1h après notre départ initial de la maison, nous sommes enfin arrivés devant le camion (qui allait partir). Normalement, en traînant, on y est en moins d’1/2h. Pendant qu’on faisait nos achats, Clémence a trouvé moyen de démonter le camion en retirant la barre verticale qui tient l’auvent (visiblement, normalement, ça ne doit pas bouger… C’est quoi déjà la phrase familiale à propos des brises-fer ?)

On passe sur le retour à la maison (avec chute sur les fesses de la même cascadeuse), sur les mini poissons panés en forme de poisson qu’ils n’ont pas voulu manger (sauf la queue pour Clémence) parce que ce n’est pas du vrai poisson (alors, pourquoi en avoir voulu ?) et on arrive à l’autre drame de la journée…

Dans l’après-midi, ils jouaient tous les deux au ballon dehors, tout d’un coup je les entends courir le long de la maison de la voisine puis plus rien, puis des « maman » et surtout Théodore qui pleurait. Sachant qu’en bas de la maison il y a une rivière, j’ai vite posé Agathe pour aller voir ce qui avait pu se passer…
Entre deux sanglots, j’ai appris que le ballon de papa était tombé dans la rivière parce qu’il ne courait pas assez vite pour le rattraper et que le courant l’avait emporté là-bas… Drame absolu parce que c’était le ballon de papa… J’ai eu beau lui dire que ce n’était pas grave, qu’on préférait que ce soit le ballon plutôt que lui ou sa soeur, rien à faire… Il a fallu appeler Christophe au travail pour lui dire. Et une fois raccroché, Théodore voulait qu’on le rappelle pour lui dire qu’il ne pourrait plus jouer avec (histoire qu’il comprenne bien l’aspect définitif de la chose ;-))…

Et on a eu droit à « le ballon de mon papa il va arriver à la mer ». Merci donc aux personnes habitant vers la mer de vérifier si le ballon n’arrive pas chez eux… Et toutes nos excuses pour la pollution occasionnée !

La journée d’aujourd’hui a été un peu plus calme… Clémence a raconté à tout le monde qu’elle s’était cassée le bout du nez et que le ballon était parti à la mer… Et elle est revenue à la maison en me disant qu’elle avait trouvé une grappe de raisin… enfin, un brin de muscari ;-)

Jolie comme une fleur (bis)

Comme il y a 2 ans, voici une jolie fleur…

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Agathe dans la robe de Madyson, comme Clémence avant elle.

Et en cherchant les photos des filles portant cette robe, nous avons pu constater que Clémence et Agathe étaient… des clones.

Au jeu du “qui est qui”, on n’est pas sûr d’arriver à les reconnaître (parce qu’en plus là, on n’a même pas les vêtements pour nous aider).

Pour la petite histoire, Madyson portait cette robe la première fois où nous avons vu en vrai ses parents. On se connaissait depuis quelque temps, par écrans interposés. Notre point commun c’est Pierre et Tamara.

Ils nous ont offert la robe de Mady lors de leur premier départ en Guadeloupe, alors que je n’étais pas encore enceinte de Clémence ;-)
Séquence émotion en voyant la petite dernière dedans. Que de chemin parcouru pour les uns et les autres depuis notre première rencontre…

Théodore MacQueen

Dans la série  « les bonnes idées de marraine », voici le cadeau d’anniversaire : Un déguisement !

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  Un grand garçon HEUREUX qui montre bien sa montre !

Et grâce à sa combinaison de pilote, il est arrivé tout fier en me disant « Tu vois, là, sur ma montre, il y a écrit WGP, ça veut dire (et là, il tend son bras pour que je puisse voir pendant qu’il lisait) World Grand Prix »

6 ans et 1 jour

Je sens déjà des personnes déçues que je ne raconte pas l’anniversaire de Théodore, mais juste l’avant et l’après… alors en quelques mots, tout s’est bien passé, il y a eu des princes et des princesses avec couronnes, capes et épées (toujours garder les chutes de papiers peints, ça peut toujours servir, des toupies, des courses dehors et surtout, LE moment drôle, Thimothé (quasi 3 ans) qui alors que les grands allaient entonner pour la 4e fois « Joyeux anniversaire », s’est levé et a soufflé les bougies… Parce que bon, quand même, c’est bien gentil tout ça, mais on a un gâteau à manger !

Aujourd’hui, donc, Théodore a gagné la bataille contre Agathe. On se demandait qui des deux allait avoir une histoire de dents en premier… Théodore a perdu aujourd’hui sa première dent (et Agathe n’a toujours pas mis sa première).

En rentrant de l’école, il a expliqué à sa petite soeur la vie : « Tu vois Agathe, j’ai perdu une dent, toi t’en as pas encore, mais tes dents elles vont pousser et après elles vont tomber et tu auras des dents d’adultes, et après t’auras une couronne ou une fausse dent et quand tu seras vieille tu auras un dentier ou un appareil »
Notre grand garçon a mis sa dent sous l’oreiller et attends que la souris passe cette nuit, ou demain, ou plus tard (”mais je remettrai ma dent jusqu’à ce qu’elle vienne »). On ne sait pas trop ce qu’il a compris de cette histoire de souris, puisqu’il m’a dit en même temps que c’était pas drôle, car j’allais devoir me lever dans la nuit pour mettre une pièce (à qui ? la souris ? Ou alors on paye la souris qui se charge de récupérer la dent ? Je cherche !)

De notre côté, on se pose la question du cours de la dent (parce que de notre temps, c’était en francs…) et après recherche, sachant que le cours de l’a défense d’éléphant serait à 1500 dollars le kilo, qu’il doit y avoir moins d’un gramme d’ivoire à récupérer sur sa quenotte, et en convertissant en euros, on arrive à une fourchette entre 50 centimes et 1 euro…

 

 

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Bientôt 6 ans

Demain, Théodore aura 6 ans :-)

Comme il a changé de maîtresse, il a pu cette année, fêter son anniversaire à l’école. Pour l’occasion, on a repris la technique du windows color pour faire un dragon (je passe sur la crise à cause du chocolat coloré qu’il refusait de goûter… au final, ça a vraiment le goût du chocolat ;-))

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Le plus dur, bien penser à faire le chiffre et les lettres à l’envers

pour que ce soit à l’endroit quand on retourne !

Il a donc emmené aujourd’hui son gâteau marbré à la carotte qui a fait fureur et que tout le monde a aimé (et je n’ai pas dit qu’il était à la carotte ;-) Et dire qu’il y a 20 ans, quand je lisais les Alice détective et qu’ils parlaient de gâteau à la carotte pour les mariages, ça me semblait très bizarre et limite immangeable… Eh bien non, c’est très bon…)

Pendant qu’il était à l’école, Clémence et moi avons fait un gâteau aux noisettes pour demain, vrai jour de l’anniversaire où en plus il y aura ses copains.

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Un autre dragon pour varier les plaisirs…

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Et s’il n’en reste pas pour le soir, on en refera peut-être un petit pour mettre la princesse de Clémence… Parce que le jour de l’anniversaire de Théodore, c’est la fête de Clémence (tout est couplé chez nous ;-))

Les deux tours…

Non, je ne suis pas encore le Seigneur des Anneaux, mais pour ceux qui ne sont pas au courant, j’ai racheté il y a quelques jours deux tours à bois d’occasion (pourquoi deux ? parce que ça débarrassait le vendeur, et que j’espérais pouvoir monter les outils de l’un sur l’autre (ça se complète assez bien), même si pour l’instant c’est pas gagné).

Bref, je suis maintenant en possession de deux magnifiques tours presque neufs, puisque le plus récent date… de 1983 (allez, on se compte ceux qui n’étaient pas nés !).

Après quelques péripéties, un démontage / nettoyage / graissage complet entre autres, l’un d’entre eux à atterri dans mon atelier où de la place à été faite par la destruction d’un magnifique meuble ancien semblant volé dans la cuisine d’Anne et Damien (l’ancienne, hein) et qui ne servait à rien (pour les non-connaisseurs, un truc immonde fait avec trois tasseaux et de la frisette avec un vernis très sombre). L’autre reste pour l’instant au garage, en attente de délibérations sur son avenir (merci Pap’Yves pour le transport !).

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Huit jours après l’installation, j’ai (enfin !) reçu mon variateur (petit boîtier électronique permettant de faire fonctionner un moteur triphasé sur une installation monophasée - ben oui, j’allais pas prendre un abonnement triphasé juste pour ça non plus ! - et en prime de régler la vitesse), arraché de haut vol aux enchères sur un site bien connu, là encore une super affaire !

Enfin, après de longues heures de câblage, de paramétrage et de tests, j’ai pu démarrer mon nouveau joujou ! C’est long d’attendre :-D

Et tout ça pour quoi faire me direz-vous ? Hum… On verra bien ! C’était une bonne affaire :-D
Enfin, il a quand même fallu tester tout ça, hein ! Après un long affutage des outils (pas encore très au point, va falloir que j’y travaille), j’ai pu commencer à faire mes premiers copeaux !

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Après deux premiers ratés (nan, vous aurez pas les photos, d’ailleurs il n’y en a pas !), et bien que je ne maîtrise pas la magie, j’ai réussi à transformer un bout du prunier tombé dans le jardin il y a quelques mois…

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en une magnifique (si si !) toupie :-D

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Le pire, c’est qu’elle tourne, plutôt bien… et même à l’envers (sans trucage ni magie !)

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Si si, elle est bien en pleine rotation sur la photo, elle ne tient pas en équilibre !

Bon, maintenant, reste à trouver le temps pour la suite (je ne suis pas très rentable pour l’instant, à deux heures de travail pour une toupie, là où certains mettent quatre minutes O_o).

PS : Non, je ne prends pas de commandes ! En tout cas pas pour l’instant !

À défaut de Félix…

Le nouveau jeu c’est de toucher l’X !

Non, non, on n’est pas devenus fous !

C’est juste qu’on vient seulement de découvrir une inscription sur un mur (il faut dire qu’autrefois, je n’avais pas des acharnés de l’alphabet avec moi…)

La première fois, de loin, nous avons cru à un Z, mais finalement, c’est un X. Et ce X permet une coupure dans la montée pour rentrer chez nous (parce que la pente est raide quand même !) et donne l’occasion de faire la course pour savoir qui touchera le X en premier (Agathe me sert d’alibi pour ne pas avoir à concourir !).

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Illustre inconnu

Il y a des jours, où l’on se prend à avoir envie de remercier des personnes qui jusque-là nous étaient inconnues… C’est le cas de Jacob Christian Schäffer.

Jeudi, alors que l’envie folle de changer tous les draps d’un coup m’a prise et que j’ai commencé à remplir la machine à laver, j’ai eu une pensée pour nos grands-mères qui allaient au lavoir (une copine à qui je racontais ça me disait qu’on avait de la chance, il n’était pas loin de chez nous ^^) et j’ai béni l’inventeur de la machine à laver… le fameux Jacob !
Rien que d’imaginer le temps mis pour le lavage de la literie il y a quelques décennies… Pfffffffff, j’apprécie de vivre aujourd’hui !

Du coup, petite leçon d’histoire lors de notre balade du jour jusqu’au village :  nous nous sommes arrêtés au lavoir.  Après avoir regardé un peu ce grand bassin d’eau limpide (ça change du lavoir plein de vase de mon village d’enfance), les loulous ont préféré aller jeter des cailloux dans la rivière (c’est bien plus rigolo !).

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Tous les cailloux jetés par les enfants accompagnant leur maman au lavoir ^^

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Théodore et Clémence, qui continuent l’oeuvre…

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Quel est le mot qui manque et qui du coup est responsable d’une belle faute ?

 

Petite centenaire :-)

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En vrai, c’est juste le bonnet qui est centenaire… Et le ruban est en train de partir en lambeau, l’occasion de bientôt donner à cette antiquité un coup de jeune :-)