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Archive pour mai  

Garage portatif bis

Voici la 2e version, avec quelques améliorations.

La route est dépliable pour gagner quelques centimètres de bitume, l’attache plus grande pour permettre une meilleure fermeture, la voiture du dos à des roues en bois et surtout est faite dans un autre tissu (je ne maîtrise pas encore très bien la technique, mais ça va « viendre ».

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Du mieux, pas encore parfait, qui plaît beaucoup à Théodore !

Journée entre copinautes, fête des Mères (suite)

Pour la fête de mères, nous avions prévu un super pique-nique au parc de la tête d’or. L’une de nous ne pouvant pas se déplacer, elle a eu la bonne idée de proposer de faire ça dans une salle vers chez elle. Quelle excellente idée, étant donné le temps pas super super que nous avons eu .

Le plus dur pour nous a été le réveil… On n’était pas très frais… En plus, la route pour aller au bout du monde… wahou ! En fait, le GPS nous a fait prendre des petites routes, voulaient même nous faire prendre certaines routes qui n’existaient que dans son imagination, ça a été folklo surtout quand à 10 km de l’arrivée il nous a annoncé que la batterie était faible alors que nous étions au milieu de nulle part :-/ Pour le retour, nous avons regardé l’atlas routier, pris conseil auprès des autochtones :-) et pu rentrer par de vraies routes. Notre seul regret que la route tracée allant de chez nous à chez eux ne soit en fait pas une route, mais la limite du département… Autrement, c’était trop facile, une seule route à suivre et nous étions chez nous !

Au programme, jeux pour les enfants (et les papas), papotages intensifs, cours de portage, déballage de couches lavables, dégustation de plein de super bonnes choses avec ou sans plv, avec ou sans œufs, frolage d’une catastrophe avec Méline qui a mangé du gâteau aux noisettes (et qui y est allergique), sieste pour les petits malgré le vacarme ambiant, découverte des visages et des prénoms qui se cachaient depuis des années derrières des pseudos, rencontre des enfants et conjoints des copines, déballage de vêtements digne des puces (nous nous sommes débarrassés d’un énorme carton et d’un gros sac de vêtements qui vont faire le bonheur ;-) de certains) , troc en tout genre (tarte saumon-épinard contre confiture, couche bébé potelé contre culotte bébé à cuisses fines…) et surtout de la bonne humeur, des rires et la joie d’être tous ensemble.

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Ne manquait que le soleil… Heureusement, il a y eu beaucoup d’éclaircies (et donc beaucoup de pluie aussi), ce qui a permis aux petits et aux grands de se dépenser dehors !

Fête des mères

Première année avec de cadeaux fabriqués par Théodore.

Ça fait quelques années que je rêve de mon collier de nouilles (mais le plus beau et surtout le plus chargé d’émotions restera celui que j’ai eu pour ma toute première et si douloureuse fête des Mères), mais la maîtresse a fait preuve de plus d’imagination.

Cela faisait quelques jours (mêmes semaines), que j’en entendais parler « c’est un secret, je te le dis quand même, car je veux que tu le saches, mais il ne faut pas le dire avant la fête des mamans »
J’ai eu droit à la chanson berceuse pour maman à 1h du matin (et à cette heure là, je n’avais pas besoin de berceuse pour m’endormir) puis au « secret », au réveil quelques heures plus tard.

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Une assiette avec des carottes en pâte à sel

 

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et un dessin avec Théodore, maman et un soleil
« mais en vrai ce n’est pas toi et moi, c’est pour de faux » :-)
Mon autre super cadeau de fête des Mères, ça a été un pique-nique avec les copinautes et leur famille.

Le seul bémol, nous avons appelé nos mamans en rentrant et avons eu pour les deux le répondeur…

Mariage de Marie et Jérome

Samedi avait lieu le mariage de Marie et Jérome.

Nous sommes partis un peu limite, arrivés en retard, MAIS, une place se libérait au même instant à côté de l’église et la mariée n’était toujours pas rentrée… Nous sommes donc arrivés à l’heure (de toute façon, on ne pouvait pas faire pire au niveau retard que pour le mariage de Loïc et Vanessa (oui oui, ceux dont on était persuadé, 3 ans après, que la mariée était en rouge alors qu’en regardant les photos, on a pu voir que la robe était blanche)… mais là, ce n’était pas notre faute, on était à l’heure de la feuille paroissiale, pas à l’heure du mariage ;-).

La célébration a été l’occasion d’une activité coloriage pour les deux compères (Thomas et Théodore) et j’ai du dessiner un nombre incalculable de dragons pour qu’ils les colorient…

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Avec un ajout, puisque  « si on était des dragons ce serait plus facile pour allumer le barbecue », des saucisses et des pommes de terre ;-)

Thomas en a profité pour informer Théodore sur le repas en lui disant que nous allions manger des cochons d’Inde, mais en le rassurant en ajoutant qu’ils étaient morts :-) En vrai, ce sont des cochons un peu plus gros qu’on a mangé (8/9 ans après avoir bavé d’envie sur les cochons qui grillaient (pour ceux d’à côté) lors du mariage lillois, nous avons enfin pu en manger :-)).

Pour la suite de la journée, en vrac, Thomas et Théodore sont allés faire pipi chez parrain Pierre (et c’est tout petit et même qu’il n’y a pas de porte aux WC),

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ils ont fait des bulles sur les mariés,

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ont dansé, joué aux voitures, encore colorié des dragons, Thomas a rendu à Théodore Wall-e, ils ont joué avec le nouveau garage de Théodore,  ils se sont couchés mais Théodore s’est relevé et « heureusement que je me suis réveillé pour pouvoir manger du cochon d’Inde », Clémence a dormi dans la salle du repas, car le bruit la rassurait, les grands ont papoté, papoté et encore papoté… à 1h du matin, Théodore m’a chanté ma surprise, mais était tout triste de ne pas avoir pris le cadeau… et finalement, à 1h30, nous sommes rentrés, histoire de dormir un peu avant la longue journée du lendemain…

Couture du jour

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Ça faisait longtemps que je l’avais en tête, le plan (le truc qui fait que Théodore ne veut plus me prêter ses crayons !) était fait depuis longtemps et traînait à porté de vue depuis un moment, ne restait plus qu’à s’y mettre…

Comme aujourd’hui j’ai loupé une super après-midi entre filles au hammam (snifffffff !) pour cause d’angine/rhume/oreilles bouchées/mal de tête, je me suis vengée sur du tissu ;-)

Certains reconnaîtront le tissu (j’espère qu’ils ne m’en voudront pas de ne pas avoir gardé les rideaux, mais je ne me voyais pas les utiliser comme tels), qui a été choisi pour son coté résistant, ne craignant pas les taches, pouvant passer à la machine et surtout… parce que je ne vois pas trop ce que j’aurai pu en faire d’autre.

Voici donc le sac qui se déplie en tapis de jeux de Clémence qui sera en utilisation dès demain à l’église lors du mariage de Jérome et Marie !

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Prix de la ténacité

Ce soir, je voudrais décerner un prix, celui de la ténacité, à la première personne qui a eu l’idée de manger des salsifis, parce que, soyons honnête, il fallait vraiment qu’il ait faim et rien d’autre à manger pour essayer d’avaler ce truc (non pas que ce soit mauvais, d’ailleurs, j’aime beaucoup ça, mais c’est long à préparer).

Dans notre panier de légumes de la semaine, nous avions des  scorsonères. C’est bien gentil de nous indiquer que nous avions ça, mais.. kézako ? En fait, ce sont tout simplement des salsifis.

J’avoue, ce n’était que la 2e fois de ma vie que j’en voyais (en dehors des conserves)… La dernière fois c’était en 97 lors des JMJ quand le groupe des Polonais nous a fait un repas de chez eux…

Me voici donc avec mes salsifis… heureusement, il y a les instructions sur le papier accompagnant le panier.

Ce matin, grosse motivation, je sors les salsifis, et commence l’aventure. Je les lave puis les laisse tremper 1 heure dans de l’eau froide vinaigrée (là, déjà, je sais que c’est cuit pour les manger le midi)…

Arrive l’étape de l’épluchage. Ils recommandent des gants, car il en sort un jus grisâtre (ça donne super envie…) et collant qui peut teindre les mains. N’étant pas fan de la cuisine avec les gants, je laisse tomber en me disant que même si je me retrouve avec les mains grises, ce n’est pas grave… sauf que, au premier salsifis, je me rends compte de mon erreur… C’est parti pour retirer mon alliance et continuer l’épluchage… Au final, je me retrouve avec la main gauche enduite de colle que je dois peler pour arriver à retrouver ma main normale (ça a pris un peu de temps).

Quand on arrive à ce stade, on se dit que si on n’en avait jamais mangé, on ne continuerait pas…

Arrive la cuisson, 3/4 d’heure dans l’eau bouillante… pour ensuite les égoutter et les cuisiner.

Honnêtement, qui a bien pu avoir l’idée de passer 3h à cuisiner des racines ? Certes, c’est bon, mais quand même !

Grande décision du soir, sauf si on en a encore dans le panier, plus de salsifis frais chez nous… on se tournera vers le surgelé ou les conserves (même pas honte !)

Diversification menée par l’enfant

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Avec la pomme pelée, c’est quand même plus facile…

quand je pense que Théodore refuse toujours de manger des morceaux de pommes…

Garage portatif

Je l’ai vu ce matin chez Marionettes, je pensais le mettre de côté pour un jour où j’aurai du temps et puis finalement, l’envie a été plus forte et j’ai voulu faire un essai aujourd’hui.

Le plus dur a été de traduire la page du tutoriel (mon anglais est toujours au même niveau… pourtant, je m’entraîne tous les jours grâce à ma ferme :-)), encore que calculer les correspondances entre les grands centimètres (;-) la personne concernée se reconnaîtra), comprendre les pouces et les centimètres,  ce n’était pas mal non plus.

L’étape croquis m’a valu une réflexion de Théodore qui refuse désormais de me prêter ses crayons de couleur, car je dessine n’importe comment et je dépasse… :-/

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Au final, un essai dans mon tissu du moment (toujours le vieux drap), sans les finitions et avec un minimum de déco, mais ça a beaucoup plu à Théodore qui n’a pas arrêté de me dire « merci maman, merci maman, c’est trop chouette »

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Je suis donc prête pour en refaire un mieux… mais plus tard !

Grimpette

Ça devait arriver, mademoiselle grimpe maintenant les escaliers… il va falloir lui apprendre à redescendre !

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Après le train, l’hélicoptère

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