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Archive pour août  

Comment louper une photo en 2 clics

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1e clic, la photo est cadrée

 

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2e clic, plus du tout… Enfin si, si on décide de faire un expo de jambes…

Transformers…

Suite à la rencontre inopinée de mon beau n’avion fait main et d’un vilain poteau planté là par un terroriste dont le seul but était vraisemblablement de me nuire, et donc au crash du sus-cité magnifique et flambant neuf aéronef, de nombreuses questions se sont inévitablement posées…

Dois-je immédiatement et définitivement arrêter ma balbutiante et lamentable carrière de modéliste ?
Dois-je conserver mon élan et reconstruire mon avion à l’identique ?
Faut-il faire preuve d’imagination et construire un nouvel avion, différent ?
Ou faire preuve d’encore plus d’imagination et construire quelque chose de totalement différent ?

À la première question, la réponse est simple ; si j’arrêtais toutes mes carrières lamentables, je serais au chômage depuis longtemps ;-)
Le même avion à l’identique, pourquoi pas, il était sympa… On verra plus tard.
Un autre avion ? C’est en projet, j’ai plein d’idées, et ça ne devrait pas tarder, si j’ai un peu de temps dans les jours à venir (eh oui, finies les vacances…) :-D
Nous arrivons à la dernière question… Nous avions prévu de passer la soirée d’hier au lac des sapins, avec les voisins… Un chouette moment ! Mais voilà, ça pourrait être sympa d’avoir quelque chose de nouveau pour jouer, et adapté au lieu… Par exemple, si on transformait ces restes déchiquetés d’avion… en bateau ?

L’idée étant trouvée… plus qu’à trouver des matériaux à recycler, imaginer un bateau avec, et le réaliser…

Alors, il faudrait quelque chose de léger (les moteurs sont un peu faiblards), qui flotte (c’est mieux), qui ne craigne pas l’eau (le balsa, ça risque vite de boire l’eau et de couler), qui puisse rester stable avec un peu de vent et de vagues (ben oui, le lac, c’est pas une piscine intérieure !)…

Au final, parmi de nombreux candidats (barquettes alu, boîtes d’oeufs en polystyrène ou assimilé, balsa recouvert, etc., le choix s’est porté sur…

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… un ballon de baudruche “à sculpter” !
Quelques chutes de balsa pour faire un “pont”, des bouts de boîtes d’oeufs pour faire des supports de moteurs et un “cocon” pour protéger un peu l’électronique de l’eau, et l’affaire est dans le sac. Bon, enfin, il faut le tester…

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Premièr test… ça flotte (ouf !). Concluant. Passons au second test. 3… 2… 1… Moteur !

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Ça bouge ! Ça avance, et ça tourne même ! Euh… enfin, ça à l’air de tourner, au moins à droite… Bizarre… On verra bien, la piscine est trop petite pour bien tester de toute façon.

En route pour le lac, pour les tests grandeur nature avec tous les petits (gare au ridicule si ça coule ;-) ) !

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Mise à l’eau ! Pour l’instant, ça a toujours l’air de flotter. C’est déjà ça de gagné !

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Petite ballade au milieu des nageurs (on a attendu qu’il n’y en ait presque plus !). Ça fonctionne. Bon, le problème de virage à gauche se confirme (moteur mal placé, ballon pas homogène, plein de possibilités, pas très grave ;-) )

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Vu que ça ne risque pas de se crasher, tout le monde peut le “piloter” un moment :-D
Pas trop longtemps, car la batterie (qui ne doit en plus pas être très bien rechargée) doit encaisser la résistance du ballon dans l’eau, les vaguelettes et un peu de vent… Au total, la navigation ne dépassera pas 5 minutes, mais au moins, on aura eu le temps de s’amuser un peu :-D

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Une petite dernière pour le plaisir ! Sans doute vraiment dernière, puisque le ballon est maintenant tout dégonflé… Ce serait facile d’en remettre un autre, mais… Les moteurs vont sûrement repartir bientôt dans un avion, donc ce n’est pas prévu au programme !

 

Pique-nique au bord de l’eau

L’appel de l’eau a été le plus fort…Nous sommes retournés au Lac des sapins (qui fête lui aussi ses 30 ans cette année), en payant le parking (à ce propos, nous y sommes allés après 17h30 pour ne payer que 2 euros (pourquoi arriver 1/2h plus tôt et payer plein pot ?) mais avons découvert qu’après 18h30 (et la fermeture du poste de secours), le parking était gratuit. Ça fait cher l’heure de surveillance de la baignade)

Bref, soirée lac au programme et comme plus on est de fous plus on rit, nous avons invité les voisins, qui sont venus avec les grands-parents.

Au programme, baignade, jeux en tout genre et pique-nique. Nous reprendrons l’option pique-nique du soir l’an prochain, car c’était vraiment agréable. À 18h il fait encore suffisamment chaud pour se baigner, mais on évite la grosse chaleur, et le pique-nique au soleil couchant, c’est sympa (et en plus, il n’y a plus grand monde donc c’est vraiment le top). Par contre, il faudra que l’on fasse ça en début de saison, quand l’eau est un peu plus propre…

Résumé (pas du tout complet) en photos

 

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Pour marraine, une photo de la puce éveillée

 

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et une autre endormie…

 

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un mystère.. Mais que font-ils ? Réponse au prochain article…

 

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Des photos artistiques (pas facile de prendre des photos avec les lunettes de soleil face au soleil couchant)

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Le pique-nique

 

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Théodore, petit baroudeur

 

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Vol de nuit

C’est bon le pouce

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WALL-E

Depuis que nous avons emprunté le DVD à tonton Damien et tatie Chichou, Théodore est fan de WALL-E, allant jusqu’à le regarder deux fois dans la même journée (heureusement, il y a peu de paroles donc ça ne saoule pas trop la maman).

Il connaît les dialogues par coeur ou presque et nous bassine avec ses « définir terre », « analyse » (n’est-ce pas Maryline), « Essayez le bleu, c’est le nouveau rouge » (déjà qu’il ne connaît pas ses couleurs, ça va pas aider), etc.

Hier, alors qu’il faisait un dessin au dos de la lettre écrite à papy et mamy, nous avons eu droit au premier dessin figuratif de Théodore (enfin, en dehors des escargots). Voici donc Eve et Wall-e  :-)

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Loi numéro trois : les poteaux ont un pouvoir magnétique supérieur au sol et aux arbres

Vous vous souvenez de l’avion Made in Valsonne perdu dans  un arbre ? (sinon, c’est l’article précédent, bande de poissons rouges !)

Vous avez tous cru que l’histoire s’arrêtait là ? Ce zouli petit n’avion fabriqué avec amour et un peu de balsa allait finir sa vie en pourrissant en haut d’un pommier, seul et abandonné de tous ? Mais non ! Comme dans tout film américain, il nous faut une “happy end” !

Un peu dégoûté d’avoir paumé la bête, et après avoir envisagé moult manières de le récupérer, j’ai fait une tentative avec une machette, une grosse bobine de ficelle et un caillou… La machette, c’était pour les orties plus grandes que moi au pied de l’arbre :-D

Pour la suite, vous l’aurez deviné, le caillou bien attaché (attention les petits n’enfant, pas refaire, c’est pas bien, bouh, dangereux :-P), habilement (si, si !) lancé par-dessus la branche sur laquelle était encastré reposait mon avion, et une fois la branche bien accrochée, en la secouant bien…

suspens…

(vous le dites si ça gonfle, hein)

j’ai réussi à faire tomber mon n’avion :-D

Et le pire, c’est qu’il n’a eu qu’un arrachage d’ailette, soit deux bouts de scotch à remettre :-D

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Bon, un autre “petit détail”… Je n’ai jamais réussi à décrocher la pierre, qui est donc toujours dans l’arbre avec sa ficelle :-(

Après recollage de ladite ailette, direction le pré, avec Théodore, pour une nouvelle série d’essais. Résultat : yahooooooooooo ! Non seulement il vole, mais plutôt bien, et même avec un peu de vent, une fois qu’on a compris comment il réagit :-D

Fin du carburant et retour au bercail ; évaluation des dégâts après environ 10 min de vol : quelques égratignures sur le bord de l’aile droite et la “pointe” de l’ailette droite cassée, suite à un atterrissage un peu violent, ou à un tronc (saloperies d’aimants !) rencontré par hasard en plein vol…

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Bref, il est en pleine forme, le temps de faire le plein et on retourne le faire voler, avec l’appareil photo, cette fois, histoire d’immortaliser le vol de ce magnifique aéronef (hum hum).

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 Il est pas peu fier de son pôpa, le fiston ;-) Faut dire, depuis le temps que je bosse dans l’aéronautique, il était temps que je construise un avion :-D

L’avion, revenons-y ! Une fois rechargé, et accompagnés de nos reporters spéciales préférées, nous retournons au pré !

Va t’il décoller ?

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On dirait bien que oui :-D

Après quelques minutes de vol sans incident majeur…

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… un premier incident s’invite à la séance de vol… Un tronc d’arbre (quand on vous le dit) s’est permis de croquer un petit bout de l’aile droite, juste devant le moteur…

 

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Bon, en même temps, … ça vole toujours, alors on continue !

Sauf que quelques minutes après… c’est le drame !

Un poteau, qui vient donc compléter les lois de l’aéromodéliste plus ou moins averti, se jette au mépris de tout code de l’aviation, et sans respecter aucune priorité, sur mon avion… Cette fois, le diagnostic est plus lourd, les chirurgiens préfèrent réserver leur avis…

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Ça, c’est le devant de l’aile, la dernière fente est normale, c’est le passage de l’hélice…

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Tiens, l’hélice, quand on en parle, avec… le reste de l’aile !

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Oups, on dirait bien que le “corps” est fendu…

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Oui, il l’est…

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Oh, et puis l’ailette gauche est cassée, aussi. En même temps, on est plus à ça près :-D

Au final, rien de bien grave, puisque j’ai toute l’électronique en état de marche ; le reste, je sais le refaire, et j’ai même encore du balsa (bon, vu mes talents de pilote, il vaudrait mieux de l’EPP - la matière dont sont faits les avions qu’on a achetés, quasi indestructibles, eux…). D’ailleurs, j’hésite entre tenter de réparer, ou essayer un autre modèle complètement différent… On verra !

En tout cas, c’était quand même chouette de réussir à faire voler un p’tit n’avion fait de mes propres mains, même si ce n’est “qu’un jouet” pour un modéliste “normal”, et on a passé un bon moment avec Théodore (surtout)  :-D

Ah oui, en prime, voici la version Valsonnaise du générique de “La petite maison dans la prairie”

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Tombé du ciel…

Hier, après de nombreuses semaines d’hésitation, j’ai craqué…
Je me suis lancé dans la construction de mon tout premier n’avion qu’il vole et tout (enfin, plutôt une aile volante qu’un avion, en fait).

Après avoir rassemblé tout le bazar nécessaire (balsa (merci Xavier :-D ), colle cyano, scotch, cutter, …, j’ai commencé la découpe et l’assemblage de l’engin.

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Deux bonnes heures de boulot plus tard, l’avion est fini (voui, c’était un modèle très facile !), plus qu’à motoriser…

Pour ça, pas le choix, il faut sacrifier un des deux avions que j’ai déjà… Adieu, petit avion bleu, je t’aimais bien :-D

Après encore un peu de boulot, et un passage au lac des sapins entre temps, premier essai en presque nocture hier soir ! Résultat : pour une planche, il tombe plutôt bien ;-D
La première partie de la loi de l’aéromodéliste est vérifiée : le sol et les arbres ont une force magnétique qui attire irrésistiblement les avions (c’est valable aussi pour les hélicoptères, ceci dit !).

Quelque part, ça me rassure, je trouvais bien, aussi, que le centre de gravité était beaucoup trop en avant. Bon, on oublie le plan initial, et on modifie !

Cet après-midi, fin des modifications, et premier essai de la nouvelle version : il vole. J’en profite pour vérifier immédiatement la seconde partie de la loi ; le second “premier vol” se termine dans un arbre, en bordure de mon “terrain d’aviation”. Après récupération, plutôt facile, autre tentative, et sous les yeux émerveillés du fiston, l’avion prend son envol, fait un grand tour en l’air, et plonge avant de s’écraser et de se déchirer en deux… Hum… Bon, ça aussi, c’était prévisible. Et puis, les nombreuses modifications faites depuis hier avaient beaucoup fragilisé la partie centrale…

On s’y remet, on refait les parties cassées, en améliorant un peu au passage, on renforce (sans trop alourdir, il faut essayer de rester dans les 20g maximum) , on vérifie la position du centre de gravité et le fonctionnement des moteurs…

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…et zou, troisième tentative. Cette fois, c’est nettement mieux, il vole vraiment, et j’arrive presque à le diriger. Plus que quelques réglages à faire ! Bon, Théodore est tout fou de voir voler l’avion, alors même si le vent est un peu fort, on continue un peu… Grave erreur… Au bout de quelques secondes de vol seulement…

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Au moins, maintenant, on sait qu’il y aura des pommes cette année…

Lac des sapins

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Sortie en famille… direction le lac des sapins. Sur le trajet, nous nous sommes rendu compte que bien qu’habitant à une poignée de kilomètre de là, la dernière fois que nous y sommes allés, j’étais enceinte de Pierre…

Cette fois-ci, les nageurs n’étaient pas tout verts en ressortant du lac :-) juste un peu tacheté, mais rien de comparable avec l’état de tonton Damien il y a 6 ans…

Après juste une trempette pour tester la température de l’eau

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(on peut admirer la ligne de démarcation du fiston et de son papa),

Théodore a profité de cette grande piscine avec son papa,

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Clémence a lézardé sur la plage

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et moi, j’ai joué les paparazzi… ce qui m’a permis de prendre en photo un baigneur un peu différent…

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(le temps de sortir l’appareil photo, nounours s’était mis sur le ventre)

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Cette après-midi aurait été parfaite si nous n’avions pas retrouvé sur notre pare-brise une prune… C’est vrai, nous ne nous sommes pas garés sur le parking payant, mais sur un côté du lac, MAIS il n’y avait pas d’interdiction de stationner.  Enfin si, mais pas du côté d’où nous venions… Tout a commencé lorsque nous avons voulu aller à Cublize pour nous garer dans le village afin de ne pas payer le parking… Ayant choisi l’option « pas de demi-tour » (et nous n’avions pas le GPS), nous avons découvert les alentours et les chemins de montagne. À ce moment-là, on voulait rejoindre le parking… Bref, on arrive à proximité du lac et nous voyons plein de voitures de garées et pas d’interdiction… Du coup, on fait pareil… Sauf qu’en repartant nous avons vu une interdiction de stationner uniquement en venant de l’autre côté… On l’a un peu mauvaise quand même sur ce coup là. Avoir une prune pour mauvais stationnement, ok, mais pas quand il s’agit d’un défaut de signalisation. Si celui qui nous a verbalisé ou un collègue lit ce message, merci de faire remonter ce manque de panneaux… Parce que oui, ça arrive des personnes qui viennent par la montagne ! Et nous, nous allons en râlant payer nos 11 euros d’amende.

Saint Amour et baptême de Thimothé

Le jour de la st Amour, je suis devenue marraine pour la seconde fois.

Et cette fois-ci… il faut « assurer », car il n’y a pas de parrain (« juste » un témoin de baptême… ). Je me retrouve donc seule, sans parrain pour m’épauler… Enfin, sans parrain… C’est vrai que sur le plan religieux, ce n’est pas lui qui va pouvoir guider Thimothé, mais sur le plan humain, il sera là, et c’est déjà beaucoup :-)

Toujours est-il qu’hier, lors de la célébration, j’ai dû assurer pour deux… Et j’ai donc eu l’immense honneur de me voir confier le cierge du baptême (ce qui d’habitude est réservé au parrain).  Il ne me reste plus qu’à me montrer digne de cette double responsabilité.

Théodore, lui, a une nouvelle fois versé l’eau pour le baptême. Il n’était pas seul, Thomas (le grand frère) le faisait aussi. Pour l’occasion, la semaine dernière ils avaient décoré des bouteilles avec des gommettes.  Message en passant à tonton Damien… Pas facile de soulever Théodore pour qu’il verse l’eau ! Bravo à toi, car ça semblait vraiment facile quand tu l’as fait… Alors que moi… comment dire… j’ai fait comme j’ai pu (l’important étant que rien ne soit parti à côté).

Lors du rite de la lumière, les enfants ont reçu des lumignons. Ceux qui ont fait un des autres baptêmes de notre série ont pu voir que les autres fois, Théodore n’avait pas voulu prendre de lumignons. Hier, il a enfin accepté d’en prendre un sauf que… il fallait qu’il le pose immédiatement sur l’autel :-/ Clairement, il n’a pas compris ce qu’il se passait puisque les autres fois, soit les enfants gardaient le lumignon et le ramenaient chez eux, soit ils le gardaient un moment dans la main avant de le rendre… Là, ils devaient juste le prendre pour le poser… Heureusement, dans mon sac j’avais des bougies du baptême de Clémence, ça a donc calmé le jeu !

En milieu d’après-midi, la journée est devenue festive dixit le témoin de baptême, puisque nous nous sommes retrouvés sous l’eau… Quelques éclaircies par ci par là, mais dans l’ensemble, une belle pluie… Ça fait des souvenirs ! Nous avons vu se former des îles en fonction des tonnelles disponibles… À peine plus, et on aurait du sortir les barques pour amener la pièce montée de l’une à l’autre (comment ça, j’exagère ? Bon, ok, pas la barque mais le parapluie, ça s’est sur !)

Un moment de joie n’arrivant jamais seul… Théodore a vu arriver sa marraine (et Christophe sa filleule). Cette fois-ci, le choc a été moins grand quand nous avons vu arriver Marine… Elle a grandi, mais pas tant que ça.

Par contre, constante chez les filleules de Christophe (sauf Julie, mais bon, c’est une grande quand même), elle n’a pas voulu aller dans ses bras (enfin si, mais grâce à une chips) ni lui faire de bisous. Par contre, elle a été très attirée par Clémence !

La journée d’hier, aurait pu être rebaptisée la journée des parrains/marraines. Sauf quelques rares exceptions, on avait tous soit notre parrain ou notre marraine, soit un(e) filleul(e). C’est ça qu’on aurait dû faire comme photo, les “couples” (eh oui, les couples ce ne sont pas que les amoureux ou les frères et soeurs… Message en passant, non, nous n’avons pas un couple. Déjà, nous avons 2 garçons et une fille et en plus… on ne fait pas un élevage ! ) parrain/filleul… (Pour ça, il aurait fallu avoir un instant de beau temps… ou lancer la mode des photos sous parapluie !)

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Calins en cascade

Clémence, Marine et Théodore.

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