09.04.2007 par Myriam.

En digne cousin d’Emma, voilà à quoi ressemblait Théodore au réveil…

Il a donc goûté et apprécié les oeufs en chocolat.

À midi, repas avec notre voisine et mamie Odile.

Première tentative, mais pas dernière vu le résultat, du pâté de Paques. Recette bien française pour un pâté me rappelant mon voyage en Roumanie.

La recette vient du site l’internaute mais comme d’habitude, il y a eu du ‘bidouillage’.

Voici donc la recette après modifications

Pâté de Pâques

- 2 “blocs” de pâte feuilletée

- 400 g de porc maigre (échine par exemple)

- 250 g de chair à saucisse

- 150 g de jambon (fumé ou non)

- 250 g d’épinards frais (une belle botte)

- 3 grosses échalotes

- 2 gousses d’ail

- 7 œufs entiers et 1 jaune (pour la dorure)

- 50 g de beurre

- sel, poivre (6g de fleur de sel aux piments d’Espelette)

- 1 cuillère à soupe de Cognac

Hacher les différentes viandes. Les mélanger avec le Cognac et laisser mariner dans un récipient fermé.

Faire cuire 6 œufs pendant 10 minutes pour les faire durcir. Laver, essuyer et équeuter les feuilles d’épinards, les couper grossièrement. Faire cuire les épinards dans une grosse noix de beurre à la poêle pendant une dizaine de minutes. Réserver dans une assiette.

Peler et émincer les échalotes et l’ail remettre un peu de beurre dans la poêle et les faire dorer quelques minutes.

Ajouter les échalotes, l’ail et les épinards au hachis de viande, bien mélanger pour que le vert soit bien réparti. Ajouter enfin l’œuf entier, saler et poivrer, bien mélanger de nouveau.

Mettre à préchauffer le four à 200 ° (entre 6 et 7).

Écaler les œufs durs. Couper les 2 extrémités afin que le jaune soit plus prés des bords, comme ça, on aura de belles rondelles bicolores en coupant le pâté.

Beurrer un moule à cake, foncer avec la première pâte feuilletée. Remplir avec une première moitié de farce. Lisser la surface. Aligner les œufs durs en les enfonçant légèrement. Finir de garnir avec le reste de la farce, lisser et tasser un peu.

Tailler un rectangle de la même taille que le moule dans la 2e pâte feuilletée, poser sur le moule et souder les bords en pressant bien.

Avec le reste de la pâte, découper à l’emporte-pièce des cloches et les coller sur le dessus, puis avec un pinceau, dorer au jaune d’œuf.

Enfourner pour une heure. Si le dessus prend une coloration trop rapidement, on peut placer un papier alu sur le moule pour le reste de la cuisson.

Sortir du four, laisser refroidir une dizaine de minutes puis démouler. Couper délicatement de belles tranches épaisses avec un bon couteau à dents.

Le dessert, bien que bon (charlotte aux fraises, charlotte au chocolat et crème anglaise) a été éclipsé par la “composition” achetée la veille chez le chocolatier à Tarare.

Un régal pour les yeux même si… nous avons été un peu déçus par la qualité du chocolat (certes bon, mais pas transcendant). La prochaine fois nous irons donc chez le concurrent. Et si nous ne sommes toujours pas satisfaits… je fais une formation en chocolat (enfin, si je ne suis pas mise à la porte en 2 jours pour motif que j’ai mangé la matière première)

La journée s’est finie par une séance chez le coiffeur maison !

Christophe m’a coupé les cheveux, mais s’est dégonflé et m’a laissé couper ceux de sa mère… Son argument imparable pour ce “dégonflage” en règle a été qu’en cas de ratage, une belle-mère qui en veut à sa belle-fille c’est “commun”.

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09.04.2007 par Myriam.