13.04.2007 par Myriam.

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09.04.2007 par Myriam.

En digne cousin d’Emma, voilà à quoi ressemblait Théodore au réveil…

Il a donc goûté et apprécié les oeufs en chocolat.

À midi, repas avec notre voisine et mamie Odile.

Première tentative, mais pas dernière vu le résultat, du pâté de Paques. Recette bien française pour un pâté me rappelant mon voyage en Roumanie.

La recette vient du site l’internaute mais comme d’habitude, il y a eu du ‘bidouillage’.

Voici donc la recette après modifications

Pâté de Pâques

- 2 “blocs” de pâte feuilletée

- 400 g de porc maigre (échine par exemple)

- 250 g de chair à saucisse

- 150 g de jambon (fumé ou non)

- 250 g d’épinards frais (une belle botte)

- 3 grosses échalotes

- 2 gousses d’ail

- 7 œufs entiers et 1 jaune (pour la dorure)

- 50 g de beurre

- sel, poivre (6g de fleur de sel aux piments d’Espelette)

- 1 cuillère à soupe de Cognac

Hacher les différentes viandes. Les mélanger avec le Cognac et laisser mariner dans un récipient fermé.

Faire cuire 6 œufs pendant 10 minutes pour les faire durcir. Laver, essuyer et équeuter les feuilles d’épinards, les couper grossièrement. Faire cuire les épinards dans une grosse noix de beurre à la poêle pendant une dizaine de minutes. Réserver dans une assiette.

Peler et émincer les échalotes et l’ail remettre un peu de beurre dans la poêle et les faire dorer quelques minutes.

Ajouter les échalotes, l’ail et les épinards au hachis de viande, bien mélanger pour que le vert soit bien réparti. Ajouter enfin l’œuf entier, saler et poivrer, bien mélanger de nouveau.

Mettre à préchauffer le four à 200 ° (entre 6 et 7).

Écaler les œufs durs. Couper les 2 extrémités afin que le jaune soit plus prés des bords, comme ça, on aura de belles rondelles bicolores en coupant le pâté.

Beurrer un moule à cake, foncer avec la première pâte feuilletée. Remplir avec une première moitié de farce. Lisser la surface. Aligner les œufs durs en les enfonçant légèrement. Finir de garnir avec le reste de la farce, lisser et tasser un peu.

Tailler un rectangle de la même taille que le moule dans la 2e pâte feuilletée, poser sur le moule et souder les bords en pressant bien.

Avec le reste de la pâte, découper à l’emporte-pièce des cloches et les coller sur le dessus, puis avec un pinceau, dorer au jaune d’œuf.

Enfourner pour une heure. Si le dessus prend une coloration trop rapidement, on peut placer un papier alu sur le moule pour le reste de la cuisson.

Sortir du four, laisser refroidir une dizaine de minutes puis démouler. Couper délicatement de belles tranches épaisses avec un bon couteau à dents.

Le dessert, bien que bon (charlotte aux fraises, charlotte au chocolat et crème anglaise) a été éclipsé par la “composition” achetée la veille chez le chocolatier à Tarare.

Un régal pour les yeux même si… nous avons été un peu déçus par la qualité du chocolat (certes bon, mais pas transcendant). La prochaine fois nous irons donc chez le concurrent. Et si nous ne sommes toujours pas satisfaits… je fais une formation en chocolat (enfin, si je ne suis pas mise à la porte en 2 jours pour motif que j’ai mangé la matière première)

La journée s’est finie par une séance chez le coiffeur maison !

Christophe m’a coupé les cheveux, mais s’est dégonflé et m’a laissé couper ceux de sa mère… Son argument imparable pour ce “dégonflage” en règle a été qu’en cas de ratage, une belle-mère qui en veut à sa belle-fille c’est “commun”.

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09.04.2007 par Myriam.

Le printemps est là

06.04.2007 par Myriam.

Et avec lui, la (re)découverte de la balançoire. Séance avec papa

Mais la balançoire, ça va vite pour le reporter photo

Et on se remet de ses émotions dans les bras de maman.

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Séjour à Paris

02.04.2007 par Myriam.

Tout commence jeudi matin… TGV à 9h45 pour Théodore et moi (Christophe nous rejoignant le soir)… Jusque-là pas de soucis sauf que sur la route on s’est pris 2 feux de travaux, un bouchon, un arrêt de la voiture de devant pour laisser traverser un lapin :-D, un oubli de direction et une erreur alors qu’on était ric-rac à la gare ; du coup, j’ai loupé mon train à Perrache. Sachant que mon billet n’était ni échangeable ni remboursable, Christophe nous a posés pas loin d’un tram. J’ai pris Théodore sous un bras, le siège auto de l’autre et mon sac dans le dos pour essayer de rejoindre à temps la Part Dieu.
Arrivée à la Part-Dieu avec 5 bonnes minutes de retard…
Mais… TGV en retard ! Youpi !
Je composte mon billet, arrive sur le quai et là… 30mn de retard…
Je redescends dans la gare acheter une bouteille d’eau et des gâteaux pour Théodore. Je remonte…
30mn de retard… 40… 50…
Au bout de 55mn de retard, le TGV arrive…
On monte dedans et là… on attend… 1/2h. Problème informatique…
Au final 1h30 de retard, donc à l’arrivée on a eu nos enveloppes pour nous faire rembourser en partie nos billets ! Finalement, j’y ai gagné !
Mais bon, c’était long !

RER, tram et arrivée chez Annecéline et Martin. En passant, qui a dit que les Parisiens n’étaient pas serviables ? Je ne compte plus le nombre de personnes qui se sont proposées pour m’aider à porter mes bagages… Bon, on a aussi eu un mec qui nous est rentrés dedans et nous a écrasés contre un mur en passant comme une bombe par la porte que j’avais ouverte pour sortir du RER…

Fin de la journée tranquilou en allant juste acheter des petits pots industriels (mais bio ;-)) pour Théodore en croisant les doigts pour qu’il accepte de les manger !

Nous n’avions aucun jouet jusqu’à l’arrivée de Christophe alors Théodore a trouvé une “petite voiture” à son goût. Il s’agit d’un appareil de massage qui est composé d’une anse et de 4 boudins/roues.

Vendredi, ballade dans Paris avec passage chez Bébés en vadrouille, boutique d’accessoires pour bébés bio (en passant, la vendeuse n’est pas une pro des couches lavables). C’est là que le drame a eu lieu…

J’ai posé le parapluie emprunté à Martin dans le porte-parapluie pour qu’il s’égoutte et quelqu’un l’a embarqué en laissant le sien… LE parapluie a donc été pris et j’ai ramené à Martin un pauvre parapluie n’étant pas aux dimensions de son sac…

Ensuite, réunion “tupp” autour des couches lavables avec 2 filles d’Auféminin. On en a profité pour manger ensemble et elles ont pu “admirer ” tout ce qu’est capable d’engloutir Obélix alias Théodore !

Je suis repartie avec la recette du gâteau au chocolat qui promet de très bons moments…

Gâteau au chocolat de Marianne

Il faut mélanger 200g de beurre fondu et 200g de sucre (ou un peu moins dans mon cas) puis ajouter 4 œufs et 75g de farine. Ensuite, incorporer 250g de chocolat noir fondu et enfin une bonne poignée de noix (environ 100g). Verser dans un moule, la pâte doit être épaisse de 2 ou 3 cm. Faire cuire 25 mn à 180°. Éventuellement, quand le gâteau est froid, le napper de chocolat fondu (avec un peu de beurre).

Passage ensuite au relais Kubéba (autre boutique de couches, écharpes, etc.) où j’ai appris un nouveau nœud pour le portage en écharpe. Pas pu l’essayer sur place puisque Théodore dormait, mais on l’a testé de retour chez nous et c’est top!

Soirée couscous (en plein carême, mais l’important c’était de partager un bon moment ensemble) avec danseuse orientale…

Samedi, travail pour Christophe, cours (de pilotage !) pour Martin, gym pour Annecéline et… opération bain pour Théodore (et moi). Depuis vendredi monsieur Théodore hurle quand il prend son bain… Alors soit on le laisse devenir crade soit… il va falloir trouver une solution !

Assemblée Générale de la gym d’Annecéline, avec petit repas sympa.

Théodore a découvert les chips ! Trop bon, ça croustille !

Et moi, je suis repartie avec une recette trop bizarre (mais c’est bon)

Dans une casserole, faire fondre 50g de beurre. Ajouter un sachet de chamallow. Laisser fondre à feu doux. Ajouter un paquet de riz soufflé (céréales de petit-déjeuner). Mélanger et étaler sur une plaque.

Découper des carrés et manger !

Attention, la texture est “étrange “. Ça fait des “fils” quand on croque.

Les petits pots industriels ont quasi tous fait l’unanimité. Ça pourra toujours nous dépanner à l’occasion !

Et Théodore a appris à manger comme un grand, à table.

Il a aussi profité du séjour à Paris pour améliorer son pilotage avec son marrain.

Dimanche, messe des Rameaux à Ste Mathilde puis départ au Bois de Boulogne pour un pique-nique.

Avant de partir, nous avions fait manger Théodore, mais ça ne l’a pas empêché de piquer le sandwich au pâté de sa maman… Et de le manger !

Et grimace de Théodore en cadeau

Un bout du tour du lac

et demi-tour à 15h15 pour ramener Annecé et Martin chez eux et les laisser continuer leur route, sans nous

Pour nous, l’aventure ne s’arrête pas là puisque nous avons dû rejoindre la Gare de Lyon…

Embouteillages parisiens (connus dans le monde entier) arrivée à la gare ric-rac et comme l’affichage des voies n’est plus indiqué quelques minutes avant le départ nous avons loupé notre TGV alors que nous étions a temps sur les voies (mais Gare de Lyon, trouver sa voie quand elle n’est pas indiquée… c’est mission impossible).

17h départ de notre TGV… sans nous !

On a donc dû changer nos billets pour un train plus tard… Nous nous sommes retrouvés en 1e classe dans le train de 18h pour le plus grand bonheur de Théodore qui a fait connaissance avec un “grand” de 2 ans qui lui a prêté ses dinosaures et ses voitures, Théodore prêtant voitures et livre, et échange de petit beurre contre boudoirs de Théodore.

Arrivée à la maison (ENFIN!) à 21h…

Qu’est-ce qu’on est bien chez nous !

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