Atelier clandestin de couture ?

14.03.2011 par Myriam.

Non, non, juste une après-midi pour moi… Sans Théodore qui a enfin pu retourner à l’école (la maîtresse était absente le matin… Le drame !) et Clémence qui a fait sa première journée complète chez la nounou. J’ai eu 3h tranquille… Silence absolu dans la maison jusqu’à… la mise en route des machines !

Deux machines à coudre rien que pour moi, sans personne pour faire glisser le tissu quand je suis en train de coudre et sans personne pour appuyer sur la pédale alors que ce n’est pas le moment… Le bonheur !

Et puis… j’ai vraiment pu faire connaissance avec la surjeteuse. Mais comment j’ai pu m’en passer avant ? Le seul vrai problème est que je suis au bord de la dépression dès qu’un fil casse et qu’il faut le remettre… Et comme il y a 4 bobines… En dehors de ça, c’est le bonheur total ! Les finitions sont super.

Le problème c’est que quand on repasse sur la machine à coudre (parce qu’il existe bien une méthode pour désamorcer le couteau et juste faire une couture, mais il faut avouer que c’est quand même bien plus pratique d’utiliser sa machine à coudre standard !), on trouve qu’une machine à coudre, ça ne fait pas grand-chose (mais bon, je l’aime bien quand même… C’est un de nos cadeaux de mariage qui a été le plus rentabilisé) !

Et il y a un autre problème quand on travaille avec ces deux machines en même temps… C’est qu’on a parfois des sueurs froides en se disant qu’on a cassé quelque chose, qu’il y a une panne ou je ne sais quoi, car ça ne fonctionne plus jusqu’à… ce qu’on se rende compte qu’on n’appuie pas sur la pédale de la bonne machine

Cet après-midi, j’ai pu faire le cadeau d’anniversaire de Théodore. Une housse de couette et son oreiller dans le tissu que nous avons acheté lors d’une de nos virées à Lyon…  Du tissu avec Flash Mac Queen (on a la classe ou on ne l’a pas). Désolée pour ceux qui voudraient le même, on a acheté tout ce qu’il restait du rouleau…

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