18.04.2012 par Myriam.

Le week-end dernier avait lieu le baptême du petit oiseau (nouveau surnom que je lui donne depuis que je sais qu’il a deux « el »).

Je n’étais pas très emballée à l’idée de faire le trajet (c’est long, surtout avec un nourrisson… nourrisson qui au final a été la plus cool !) et puis finalement, comme nous avons trouvé un hôtel où tous dormir, nous sommes partis à l’aventure… Et quelle aventure !

Pour rentabiliser le trajet (et surtout faire des pauses !) nous avons profité du samedi pour nous arrêter chez une amie d’enfance (et sa famille) puis chez mon parrain chez qui je n’étais pas allée depuis 15 ans (autant dire que je n’ai pas reconnu la maison !). Arrivée à l’hôtel le soir pour les enfants et moi et le lendemain pour Christophe (non pas qu’il a mis longtemps à trouver une place… encore que… il a surtout fallu sortir de la rue en double sens unique, mais il était très tard !).

Dimanche, direction l’église pour le baptême de Nathanël. En même temps que lui étaient baptisés deux adultes. C’était vraiment chouette de vivre un baptême d’enfant en même temps que celui de grands.
La fin de la célébration a été un peu gâchée par une dame qui est venue nous mettre à la porte parce qu’il y avait 100 personnes dehors qui attendaient dans le froid pour les baptêmes suivants… Comment dire… et d’une, ils avaient qu’à venir à la messe avant s’ils voulaient être au chaud, et de deux, ils peuvent nous laisser ranger les affaires/habiller les petits/et sortir tranquillement. Ce n’est pas la première fois que ça nous arrive et vraiment, je trouve ça d’un sans gêne à toute épreuve. D’accord la messe a été un peu longue, mais ce n’est pas une raison pour nous mettre dehors comme des malpropres…

Le pire est arrivé pour moi après… Le repas avait lieu chez ma soeur. Je ne connaissais pas leur nouvel appartement et je le redis ici… je n’y remettrai plus les pieds ! Alors non, nous ne sommes pas fâchés, loin de là, c’est juste qu’il est inaccessible pour moi. Pour ceux qui l’ignorent, j’ai le vertige en haut d’un tabouret (non, ça va mieux, on peut aller jusqu’à l’escabeau maintenant). Jusqu’à ce qu’on change les escaliers chez nous, je n’étais pas allée au grenier chez nous, car c’était un escalier sans contre-marche… Julie et Jean-Christophe habitent en haut de la plus haute tour au 4e étage, 5e si on passe par la remise à poussettes (la mauvaise idée du jour), avec des escaliers sans contre-marche… J’ai cru ne jamais arriver en haut… Donc voilà, je l’ai fait, mais la prochaine fois, on pique-niquera dehors

Après le repas du midi, retour dans la voiture pour la suite du périple. Direction la marraine de Christophe que nous n’avions pas vu depuis 5 ans (visiblement, elle ne lui en voulait pas pour l’épisode gastro !) puis la marraine de Théodore (et le parrain de Pierre, et la filleule de Christophe et le reste de la troupe, dont le petit dernier que nous n’avions pas encore rencontré !)

Lundi, c’était déjà l’heure du retour… Je ne sais pas si c’est le manque de sommeil ou quoi, mais nous avons vu des choses étranges… Par la fenêtre de la chambre, Théodore a vu un volcan (et il n’en démord pas)…

Puis en allant à la voiture (garée sur le parking d’un centre commercial), nous avons vu ça :

Le retour à la maison a été plus calme… Avec juste un arrêt à Taizé pour acheter le bol d’Agathe. Elle fait maintenant pleinement partie de la famille (pour la petite histoire, une de nos témoins nous a offert pour notre mariage 1 service pour 2 venant de Taizé. On en a cassé une partie… (On en est à notre 3e pot à eau en quasi 12 ans), mais pas les bols… Et à chaque nouvelle naissance, nous achetons un nouveau bol. Les teintes ne sont pas tout à fait les mêmes, mais nous avons tous le nôtre (même Pierre)).

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08.04.2012 par Myriam.

 Aujourd’hui était le grand jour pour découvrir si notre catéchèse culinaire était efficace ou pas !
Tout a commencé hier. Tout d’abord, lecture des évangiles de la semaine sainte (en BD, merci Jean-François Kieffer Pour eux qui ne le connaissent pas, c’est le papa de Loupio et l’auteur de 1000 images d’évangile et 1000 images d’Église), puis coloriage d’image représentant la mort et la résurrection de Jésus, puis collage dans l’ordre et ensuite, atelier popote, pour la catéchèse culinaire.

Nous avons commencé par faire les petits pains tombeau :
Pâte à pain :
2 sachets de levure de boulangerie sèche
550g de farine
350 ml de lait
1 cuillère à café de sel
1 cuillère à café de sucre
30 ml d’huile
Délayer la levure dans un peu de lait avec le sucre.
Mélanger la farine et le sel. Y ajouter la levure puis les liquides.
Faire une boule puis laisser reposer la pâte jusqu’à ce qu’elle double de volume.

Pour la garniture
Des chamallows blancs
du beurre fondu
de la cannelle (mais on essayera avec d’autres épices la prochaine fois)
Les chamallows représentent Jésus, Le beurre fondu et la cannelle, l’huile et les aromates qui servaient à embaumer les corps.
Le pain, c’est le tombeau.

On prend un morceau de pâte et dedans, on met un chamallow enduit de beurre et trempé dans la cannelle. On referme bien (mais vraiment bien… nous on a eu des fuites !) puis on pose sur une plaque. On laisse lever une nuit au frigo et au matin, on enfourne à four chaud (200°C) pendant 20 minutes.
Et quand on ouvre le pain… il y a un trou, le tombeau est vide !

 Le seul moment de flottement hier soir, à été quand j’ai expliqué ce que représentaient les différents éléments et que j’ai demandé ce qu’il y avait dans le tombeau le matin de Pâques. J’attendais comme réponse « rien, il est vide », sauf que Théodore m’a répondu… un ange ! Et c’est vrai, c’est l’ange du Seigneur qui se trouve dans le tombeau et qui explique aux femmes que Jésus n’est plus là !
Ces petits pains me font penser aux petits pains de la parole de Dieu. Pour ceux qui étaient présents lors de ma confirmation, nous avions distribué ça à la sortie (c’est la communauté Myriam de Beth’lehem qui fait ça).

Après, nous avons fait des biscuits en suivant les explications de graines 2 vie. Tout s’est bien passé jusqu’à ce matin… En ouvrant le four pour faire cuire le pain… ce n’était pas cuit !
On les a remis après avoir cuit le pain (toujours four fermé) et en rentrant de la messe.. Toujours pas cuit… J’ai fini en les faisant cuire 2 heures à 100°C. Cette fois-ci, c’est cuit ! Eh oui, il y a bien un vide à l’intérieur après cuisson ! Ouf, on a évité le gros plantage !

 En plus profane… la chasse aux oeufs a bien eu lieu et nous nous entraînons grâce à ce site à faire les personnages en cube ! aujourd’hui, le dragon… Et en décembre, nous nous lancerons dans la crèche ! Seul reproche à faire sur ce site, il est en anglais et forcément, je ne comprends pas tout… C’est d’autant plus dommage que le créateur du blog est un… français ! N’hésitez pas à aller faire un tour là-bas, car c’est vraiment chouette et il y a plein de trucs super chouettes à utiliser tout au long de l’année liturgique !

Et pour finir…

 Belle fête de Pâques à tous !

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05.04.2012 par Myriam.

Un mercredi pluvieux, c’est l’occasion de préparer Pâques en décorant un arbre et de retourner sur le site de caté-ouest, site découvert du temps de l’aumônerie du Bois d’Oingt quand on préparait des rencontres avec le caté.

En allant sur le site caté-ouest, puis en choisissant le pack 2, les activités pour les 3-6 ans, rubrique l’Église et moi, il y a une animation sur la veillée pascale (et un Alléluia que Clémence a bien du me faire remettre 15 fois tellement elle l’aime… « Alléluia, mon coeur est dans la joie »).

J’ai aussi commencé la partie pour ado qui est assez sympa Ça me rappelle les jeux qu’on fabriquait pour les 4/3 (version plus statique !)

Et pour finir, un lapin de Pâques à partir d’un gant de toilette. Bon, les explications sont en allemand, mais avec les photos, c’est facile ! J’ai juste fait un essai sans mettre de bourre (trop dangereux avec toutes les petites mains qui traînent !), et c’est rigolo et simple (au moins pour les oreilles et la tête, je me suis arrêtée là !)

Préparation de l’arbre de Pâques

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02.04.2012 par Myriam.

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01.04.2012 par Myriam.

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01.04.2012 par Myriam.

Grâce à tatie Chichou, Théodore a découvert le gel et a ainsi pu se faire des pics de hérisson (sa coiffure préférée d’après douche !) qui tiennent jusqu’au soir.

Il a un petit quelque chose d’Arsinoé (pas la déesse, le hérisson de Croque-vacances !)

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01.04.2012 par Myriam.

Et encore, on n’a pas de photo, 5 minutes avant, les yeux explosés de fatigue, regard dans le vague…

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29.03.2012 par Myriam.

Ce n’est pas le cas de tous les mercredis, mais hier… Pour preuve, il m’a fallu 24h pour m’en remettre

Le mercredi, dans notre bled paumé, c’est le jour de la poissonnière. Avec l’arrivée des beaux jours, nous pouvons reprendre notre promenade hebdomadaire en allant au village pour acheter notre poisson et notre pain (depuis qu’on a une boulangerie, qu’est-ce qu’on mange comme pain… et surtout, qu’est-ce qu’on utilise moins de farine ;-))

Hier, départ pour aller au village. Théodore décide de prendre son vélo, Clémence un chariot a tirer et tous les 2 leurs casques. Pour ne pas avoir à aller en casque jusqu’au village, je prends les clefs de ma voiture pour les poser dedans le temps de l’aller-retour. J’en profite pour attraper le réhausseur de Théodore pour le poser dans la voiture afin de ne pas avoir à le chercher quand on en aurait besoin. Rien de bien extraordinaire en somme.

On arrive au pré, Théodore essaie de garer son vélo dans le tipi, mais comme il déborde, il décide d’aller le garer vers ma voiture. On repart donc et là… boum badaboum, Clémence se casse la figure et tape le nez contre le bitume. Nez en sang, hurlements stridents (normal). J’éponge comme je peux avec des mouchoirs et lui propose de rentrer… Non, elle veut aller voir la poissonnière.

On pose tout le bazar dans la voiture, je revérifie l’état du nez (au cas où les saignements reprendraient… je me voyais déjà passer le reste de la matinée aux urgences) et propose qu’on y aille en voiture. Proposition acceptée.

Je laisse les grands, retourne à la maison avec Agathe pour attraper son siège-auto et une lingette humide (pour redonner figure humaine à Clémence) et on retourne à la voiture…

Là, Théodore est terrorisé, car il reste un bout de toile d’araignée au-dessus d’où il est assis (oui, ma voiture sert très peu… mais une toile d’araignée c’est mieux que le nid de guêpes et le nid d’oiseaux qu’on a déjà eu…) et Clémence stoïque malgré de grosses larmes.

Je laisse Agathe à Théodore le temps d’accrocher le siège. Manoeuvre qui aurait dû être très facile puisqu’à l’avant les ceintures sont à enrouleur (contrairement à l’arrière où c’est une vraie galère…)… Sauf que rien n’est simple, la ceinture est trop courte, impossible de l’accrocher en la passant là où elle devrait sur le siège-auto… (Quand ça ne veut pas, ça ne veut pas…).

Me voilà donc à annoncer à tout le monde que s’ils veulent du poisson, il faut y aller à pied, que je ne peux pas installer Agathe… on referme la voiture (quand même, il y a 3 sièges-auto, ça a dû doubler son prix) et on repart vaillamment…

1h après notre départ initial de la maison, nous sommes enfin arrivés devant le camion (qui allait partir). Normalement, en traînant, on y est en moins d’1/2h. Pendant qu’on faisait nos achats, Clémence a trouvé moyen de démonter le camion en retirant la barre verticale qui tient l’auvent (visiblement, normalement, ça ne doit pas bouger… C’est quoi déjà la phrase familiale à propos des brises-fer ?)

On passe sur le retour à la maison (avec chute sur les fesses de la même cascadeuse), sur les mini poissons panés en forme de poisson qu’ils n’ont pas voulu manger (sauf la queue pour Clémence) parce que ce n’est pas du vrai poisson (alors, pourquoi en avoir voulu ?) et on arrive à l’autre drame de la journée…

Dans l’après-midi, ils jouaient tous les deux au ballon dehors, tout d’un coup je les entends courir le long de la maison de la voisine puis plus rien, puis des « maman » et surtout Théodore qui pleurait. Sachant qu’en bas de la maison il y a une rivière, j’ai vite posé Agathe pour aller voir ce qui avait pu se passer…
Entre deux sanglots, j’ai appris que le ballon de papa était tombé dans la rivière parce qu’il ne courait pas assez vite pour le rattraper et que le courant l’avait emporté là-bas… Drame absolu parce que c’était le ballon de papa… J’ai eu beau lui dire que ce n’était pas grave, qu’on préférait que ce soit le ballon plutôt que lui ou sa soeur, rien à faire… Il a fallu appeler Christophe au travail pour lui dire. Et une fois raccroché, Théodore voulait qu’on le rappelle pour lui dire qu’il ne pourrait plus jouer avec (histoire qu’il comprenne bien l’aspect définitif de la chose ;-))…

Et on a eu droit à « le ballon de mon papa il va arriver à la mer ». Merci donc aux personnes habitant vers la mer de vérifier si le ballon n’arrive pas chez eux… Et toutes nos excuses pour la pollution occasionnée !

La journée d’aujourd’hui a été un peu plus calme… Clémence a raconté à tout le monde qu’elle s’était cassée le bout du nez et que le ballon était parti à la mer… Et elle est revenue à la maison en me disant qu’elle avait trouvé une grappe de raisin… enfin, un brin de muscari

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27.03.2012 par Myriam.

Comme il y a 2 ans, voici une jolie fleur…

Agathe dans la robe de Madyson, comme Clémence avant elle.

Et en cherchant les photos des filles portant cette robe, nous avons pu constater que Clémence et Agathe étaient… des clones.

Au jeu du “qui est qui”, on n’est pas sûr d’arriver à les reconnaître (parce qu’en plus là, on n’a même pas les vêtements pour nous aider).

Pour la petite histoire, Madyson portait cette robe la première fois où nous avons vu en vrai ses parents. On se connaissait depuis quelque temps, par écrans interposés. Notre point commun c’est Pierre et Tamara.

Ils nous ont offert la robe de Mady lors de leur premier départ en Guadeloupe, alors que je n’étais pas encore enceinte de Clémence
Séquence émotion en voyant la petite dernière dedans. Que de chemin parcouru pour les uns et les autres depuis notre première rencontre…

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27.03.2012 par Myriam.

Dans la série  « les bonnes idées de marraine », voici le cadeau d’anniversaire : Un déguisement !

  Un grand garçon HEUREUX qui montre bien sa montre !

Et grâce à sa combinaison de pilote, il est arrivé tout fier en me disant « Tu vois, là, sur ma montre, il y a écrit WGP, ça veut dire (et là, il tend son bras pour que je puisse voir pendant qu’il lisait) World Grand Prix »

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