03.08.2007 par Myriam.

Bon ben voilà, notre séjour turinois touche à sa fin. Il va falloir faire les valises, essayer de tout faire rentrer dans la voiture et… direction la France !

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Nous passerons le week-end à Pontarlier et en profiterons pour commémorer avec le reste de la famille, les 5 ans du départ d’Anthony (pour ceux qui ne le savent pas, Anthony est mon cousin, né 3 mois après moi, et qui est décédé en 2002). Nous avons ramassé plein de pommes de pin avec Théodore, nous pourrons donc aller lui en donner une (et il y en a une autre pour Pierre bien sûr ;-))

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Aujourd’hui, direction le Lingotto, symbole du dynamisme industriel de Turin au XXe siècle.

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(et sur la photo, dédicace spéciale pour Pam puisqu’on peut voir la marque du supermarché où nous faisons nos courses !)

Son plan original permit à Fiat (acronyme de Fabbrica Italiana Automobili Torino, Fabrique Italienne d’Automobiles de Turin) d’appliquer à la lettre les principes du taylorisme. Chaque étage était consacré à la fabrication d’un élément (châssis, transmission, moteur, carrosserie) et le dernier niveau servait à l’assemblage de ces différents modules, pour donner naissance à un véhicule qui était immédiatement essayé sur la piste d’essai installée sur le toit (500 mètres de long)

Aujourd’hui, le Lingotto n’est plus une usine (la production s’est arrêtée en 1984) et a été rénové par Renzo Piano (l’architecte du Centre Pompidou). Il abrite l’état-major de Fiat, une galerie commerçante, un multiplexe, une salle des congrès (qui est une « bulle de verre » posée sur le toit, sur la piste d’essai), un auditorium et une pinacothèque.

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On peut voir à l’intérieur la rampe d’où descendaient les voitures.

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À l’extérieur, j’ai ENFIN pu découvrir ce qu’était l’arc rouge que nous avions déjà vu plusieurs fois.

Il s’agit en fait d’un des éléments de la passerelle olympique.

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Visite donc du site avec Théodore qui s’en est donné à cœur joie

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Une petite photo encore pour tatie Chichou, au cas où Ferrari lui manquerait !

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Ce qu’il y a de super dans le Lingotto… c’est qu’il y a des « aires » au fur et à mesure qu’on avance dans les galeries…

Celle qui a le plus plu à Théodore c’est bien sûr, l’aire de jeux !

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Et ce qu’il a préféré, c’est faire de la voiture. Mais je n’ai pas vu s’il s’agissait d’une fiat

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Voici quelques photos de choses que l’on croise à chaque coin de rue ou presque…

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Les « balances de précision »… Autrefois, on en trouvait chez nous dans les pharmacies. Ici, c’est sur les trottoirs…

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Les poubelles, dont j’ai déjà parlé et que je ne peux plus voir en peinture ! Ça sent mauvais mauvais D’ailleurs, j’ai vu cette pub en italien et c’est bien rigolo Les nains de jardins n’ont pas du tout la même voix !

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Et… après les spécialités chinoises et italienne, voici les fameux pizza kébab !

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Dernières glaces turinoises chez le meilleur glacier de la ville (d’après le Guide du Routard). Et c’est vrai, que les glaces sont super bonnes !

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En plus, le serveur était super sympa (on lui a demandé ce qu’était un parfum de glace et comme il n’a pas su nous expliquer, est allé nous en chercher une cuillère pour nous faire goûter).
Théodore s’est fait dragué par une petite. On pensait qu’elle avait l’âge de Théodore, mais… on a revu notre position quand on l’a entendu crier « Eh, Bimbo » pour appeler Théodore
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Nous sommes allés faire un tour à Carrefour (sic) et avons donc le stracchino pour tatie Chichou, le parmesan pour mamy, du riz amborio pour faire le risotto, de la farine à polenta, du sucre en grain (quasi introuvable pour l’instant en France même si une marque de sucre a annoncé sa sortie…), 2 cafetières à moka (en passant, c’est impressionnant le rayon pièces détachées de machine à moka) 12 paquets de café, un livre pour Théodore, etc.
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Ne manque plus qu’une photo pour clore notre chapitre turinois… Une affiche Giubileo… Depuis notre arrivée on ne voit que ça, mais forcément, dès qu’on a l’appareil photo, on n’en voit plus. Dernière chance demain d’en faire une…
Giubileo est une entreprise de pompes funèbres qui fait de la pub tous les 200 mètres et on trouve même : « Même le cinéma international a adopté le style Giubileo »
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Nous allons donc dire au revoir à Turin et à la prochaine fois (en espérant ne pas attendre cette fois-ci 5 ans !).
Prochaines nouvelles de la famille écureuil… la semaine prochaine, entre deux lessives (dur retour à la réalité !)
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P.-S. : Bonne fête Lydie

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Comme nous n’aurons pas internet demain… Tous mes vœux de bonheur à Dafoo et sa famille : les parents d’Aurore se marient !

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31.07.2007 par Myriam.

Aujourd’hui, à Turin, il fait chaud, mais pas trop ! C’est que du bonheur. Le ciel est un peu couvert du coup on ne cuit pas au soleil (bon, on s’est quand même tartinés de crème solaire, au cas où).

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Au programme, petite ballade dans la ville. Comme j’ai toujours mal au niveau du tendon la marche a été un peu difficile (disons qu’après une heure de marche, ça va mieux… mais il ne faut surtout pas s’arrêter autrement c’est la galère pour repartir) donc la visite a été courte.

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Tout d’abord, la galerie Umberto 1er qui est réalisée en « croix de Lorraine » sur le site du vieil hôpital de San Maurizio, fermé en 1890 dont il reste l’ancienne pharmacie.

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Caffè Mulassano qui est le premier, en 1925, à importer des États-Unis un grille-pain qui fit connaître aux Turinois le croque-monsieur (appelé toast en Italie)

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Piazza CLN, Comitato di Liberazione Nazionale (Comite de Libération Nationale) de la Seconde Guerre Mondiale.

Derrière les églises jumelles (San Carlo et Santa Cristina) se trouvent deux grandes fontaines de marbres qui symbolisent 2 des fleuves qui traversent Turin, le Pô et la Dora (rien à voir avec une certaine exploratrice très énervante pour les parents, mais très appréciée des petits !)

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Passage par la piazza San Giovanni où j’en ai profité pour prendre en photo l’extérieure de la Cappella della Sacra Sindone (Chapelle du Saint Suaire) qui est en travaux et que je n’ai donc pas pu visiter la semaine dernière (dommage, car la chapelle construite par Guarino Guarini vaut le détour. Ça me rappelle mes cours d’art plastique… et c’est vrai que la chapelle vaut le détour, c’est un chef d’oeuvre baroque vraiment superbe).

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À propos de Saint Suaire…, la rumeur dit qu’il y aurait une Ostention exceptionnelle en 2018 pour les 150 ans de l’union italienne… Rien n’est officiel, mais on en parle…

Alors pourquoi un évênement religieux (qui quoi qu’on en pense est un grand évènement) pour une commémoration civile? Et bien, car Turin a été la première capitale du royaume d’Italie et que… ici la séparation de l’Église et de l’État… ben ce n’est pas vraiment ça

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Et pour finir… au cas où on oublierai l’évènement marquant de l’année passée, voici un monument pour les Jo de Turin… Et quand on tourne…, c’est une fontaine.

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Soirée pizza pour toute la famille

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30.07.2007 par Myriam.

Lundi, c’est le jour de fermeture de la plupart des musées et autres lieux touristiques ; du coup, il fallait bien trouver de quoi nous occuper…

Aujourd’hui a donc été un jour de lessive (youpi ! Ça, c’est une super journée qui s’annonce…)

Là où ça devient « drôle », c’est quand, arrivée à l’accueil, la réceptionniste m’annonce que la machine à laver est tombée en panne hier et qu’elle ne sait pas quand le réparateur va pouvoir venir… et que j’ai 2 énormes sacs de linge à laver… Gloups !

Heureusement, ils sont super sympa dans cette résidence et quand je lui ai demandé de m’indiquer où se trouvait la laverie la plus proche elle a téléphoné à la « chef » des femmes de chambre pour lui demander si je pouvais utiliser leur machine à laver. La réponse ayant été oui j’ai donc pu faire mes lessives. Et ensuite, direction le sèche-linge qui lui fonctionnait !

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Puisqu’on était dans les lessives, j’ai aussi récupéré les pantalons et chemises que Christophe avait mis au pressing (et Théodore a encore hurlé quand il a vu le gérant…)

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En parallèle des lessives, nous nous sommes aussi lancés dans les compotes, chacun a sa manière. Il y a fort à parier que les miennes seront plus digestes

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Fin de la journée en famille !

Petits sandwichs préparés avec le stracchino acheté à la base pour tatie Chichou (promis, je retourne en courses avant notre retour en France) et du jambon de pays et en route pour le parc du Valentin pour un pique-nique en famille.

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Nous en avons profité pour aller faire un tour vers le bourg médiéval (le vrai faux « complexe » médiéval) puis par le parc où nous avons croisé quelques petites bêtes…

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Puis passage obligé dans une gelateria pour une petite glace (au Nutella entre autres pour moi… et Théodore qui malgré la fatigue et une grosse chute peu de temps avant en a pas mal mangé)

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Puisque nous sommes à mi-parcours, voici un mini bilan de notre séjour.

— Après un week-end sans que les chambres soient faites, nous sommes confortés dans le fait que nous avons fait le bon choix en utilisant les couches lavables. 2 jours de stockage de couches c’est déjà l’horreur alors avec un ramassage d’ordures toutes les semaines chez nous ce n’est même pas la peine d’y songer.

— Le sang italien qui coule dans les veines de Théodore se retrouve dans son plaisir à manger italien (et à la quantité qu’il peut engouffrer). La polenta est devenue sa nouvelle passion. Reste à voir maintenant qui du chou-fleur ou de la polenta aura le plus sa préférence

— La conduite italienne est… particulière. Elle ressemble beaucoup à la conduite parisienne, mais en moins stressée (et ça, c’est appréciable). Le klaxon est un outil indispensable, mais il n’est pas hargneux comme en France.

— Les gens sont super agréables. Toujours un pour donner un coup de pouce quand on en a besoin (tenir une porte, prendre ton ticket de bus pour aller te le poinçonner à l’autre bout du bus, car tu es chargée, s’arrêter et te demander si tu as besoin d’un coup de main, car tu es avec ton plan à la main et que tu ne sais pas trop où tu vas, etc.)

— D’après ce qu’on a pu voir, ils sont bien plus en avance que nous sur les accès handicapés, et d’ailleurs je n’ai jamais autant croisé de handicapés dans des lieux touristiques. Preuve que ça doit être facile d’accès pour les personnes à mobilité réduite (j’englobe là-dedans aussi les poussettes et les personnes âgées)

— Je crois qu’à mon retour en France je ne pourrais plus visiter une seule église baroque avant un long moment… Je frôle l’indigestion !

— Le gros point négatif de Turin… ce sont les poubelles, ces gros containers qui sont dehors de jour comme de nuit et qui avec la chaleur de ces derniers jours dégagent une odeur nauséabonde…

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29.07.2007 par Myriam.

Aujourd’hui, encore une journée très chaude…

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Valter et Libera nous ont confirmé que c’était la semaine la plus chaude de l’été (enfin, jusqu’à présent), du coup, ils nous ont proposé d’aller au frais à la montagne aujourd’hui… Nous avons bien évidemment dit oui

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Comme promis, voici Théodore avec le cadeau de Valter et Libera… Prêt à partir !

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Avant le départ, rendez-vous à l’église Santa Maria Goretti pour la messe de 10 h 30.

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Comme nous sommes arrivés avec 3/4 d’heure d’avance, Théodore a profité des jeux se trouvant dans le parc devant l’église.

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Par contre…, on a frôlé le drame, car des fillettes étaient là avec une poupée… que Théodore avait très envie d’avoir… Il a d’ailleurs trouvé moyen d’emprunter la poupée et il a fallu beaucoup de diplomatie et de ruse pour la rendre…

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Direction ensuite la vallée d’Aoste où nous sommes allés manger dans un restaurant « agroturismo » s’appelant « Les Hiboux » (en français dans le texte comme beaucoup de choses dans la vallée).

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Le petit pot à la truite que l’on traîne depuis 3 jours n’a pas eu plus de succès aujourd’hui et Théodore a mangé la même chose que nous… On se demande d’ailleurs comment il a pu manger autant de choses.

Dans l’ordre (peut-être), voici tout ce qu’on a mangé… : Polenta (molle à la manière des Alpes), du fromage frais au pesto, du lard (enfin, ce qu’ils appellent lard c’est juste du gras sans une once de viande), du carpaccio de veau, du saucisson de vache, du saucisson de porc, du fromage frais à l’ail et aux herbes avec des pommes de terre, des courgettes au vinaigre et des brocolis frits, des crêpes fourrées au jambon cru et au fromage gratiné, une soupe de pois divers puis de la viande en sauce (biche et bœuf ?) avec de la polenta puis du fromage puis les desserts… pour nous, de la panna cotta au café, puis du café et la grappa…

Théodore a beaucoup mangé, goûté à tout et s’est avalé je ne sais combien de polenta… On a eu peur qu’il explose tellement il a mangé… Mais non… et il a même goûté les desserts

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Pour digérer un peu il a profité des jeux à disposition et de la « minipiscine »

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Ensuite, un petit tour jusqu’à Champoluc, en admirant les chalets et autres maisons aux toits de pierre.

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Petite ballade « digestive » pour les grands, sieste de Théodore sur le dos de maman.

Enfin, après un petit verre au « Café du centre » (non non, toujours pas de traduction), une petite photo des montagnes enneigées avant de rentrer dans la fournaise turinoise.

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29.07.2007 par Myriam.

Aujourd’hui, une fois n’est pas coutume, nous avons joué les touristes en famille.

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Direction la Mole Antonelliana… Ma kesako ? Et bien, si vous voulez voir à quoi elle ressemble, il suffit de prendre une pièce de 2 centimes italienne et vous la verrez.

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À l’origine, ce devait être une synagogue, mais en raison d’un manque de fonds, elle fut cédée à la mairie et fut achevée la même année que la Tour Eiffel, en 1889.

Elle mesure 167,5m et est le symbole de Torino.

À l’intérieur se trouve le musée du cinéma (tip top) et un ascenseur panoramique s’élevant à 85 mètres et proposant une vue à 360 degrés sur la ville (nettement moins tip top - pour ceux qui ont le vertige, en tout cas).

On a commencé par l’ascenseur ce qui m’a permis de ne pas avoir trop à réfléchir et d’y accompagner les hommes.

Autant dire que j’ai détesté et que j’ai été au bord de la crise de l’ascension au retour sur le plancher des vaches… L’ascenseur est transparent et traverse tout l’édifice pour sortir au milieu de la voûte, sans cage ! On « vole » quasiment au travers de la pièce, seulement tenus par les câbles… Du coup, le calvaire commence dès la montée…

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Théodore, lui a eu l’air de bien le vivre La photo permet de remarquer les traces de sa chute d’hier… et derrière… sa maman morte de trouille.

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Retour au niveau du sol… Que du bonheur ! Et début de la visite du musée du cinéma.

Musée très interactif du coup, c’était très agréable, aussi bien pour les grands que pour le nain de jardin !

En cadeau, voici trois explications pour faire des ombres chinoises.

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Mais pourquoi Théodore et sa maman ont la tête en bas ? Parce que la photo a été prise depuis l’intérieur d’une chambre noire.

Le décor lui, en réalité, est dessiné à l’envers sur les murs. Pour ceux qui auraient raté les cours de base d’optique au collège, et donc ne comprennent pas ce qu’ils voient, regardez donc par ici !

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Pourquoi est-ce que je fais du vélo sur un fond vert ? Et bien en « vrai », je suis dans le film E.T. et je pédale dans le ciel avec les autres… Vrai de vrai !

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Petit temps de repos en regardant un film ou deux…

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Nous sommes vraiment désolés, mais voilà ce qui arrive quand on laisse un Théodore en colère dans un saloon…

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Fin de la visite avec des photos en « vrac »

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Après-midi assez rapide puisque nous sommes partis après la sieste de Théodore et que nous avions rendez-vous chez Valter et Libera à 18 h…

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Passage par le Monte dei Cappuccini. La montée cette fois-ci s’est faite en voiture et c’est vraiment moins fatigant

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De là haut, nous avons repris une petite photo de la Mole, juste histoire de vous faire voir la hauteur, « en vrai » (la vue panoramique se situe au dessus de la coupole, sous la flèche) :

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Puis, direction Superga où nous avons fait une visite éclair.

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Une petite photo qui nous montre qu’en Italie, même les vieux bâtiments sont « branchés » (regardez en bas, il y a un petit clocher plutôt ancien, devant ces dizaines d’antennes en tout genre…)

Dommage, j’aurai bien visité la crypte, mais… vraiment pas le temps ! Ce sera pour un prochain passage à Turin.

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Fin de la journée chez Valter et Libera pour… la pizza ! Mmmmmmmmmmmmh !

Et puis, Théodore a eu un super cadeau… mais là, les photos ce sera pour demain

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Pour ce soir, juste une photo de notre petit punk !

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Ballade dans Turin

24.07.2007 par Christophe.

Aujourd’hui, au programme, petite ballade dans Turin (en clair, de la marche, des églises et encore des églises ;-)).
J’ai trouvé un nouveau point d’information et en suis sortie avec un guide de ballades dans Turin. En gros 2h de ballade par thème donc nous nous lancerons dedans dès demain (matin, car après il fait trop chaud).

Première église qui a attiré mon attention, Ste Pélagie. De dehors elle avait l’air super sympa…

Le problème… Les portes étaient fermées et du coup, impossible de savoir si l’intérieur valait le coup d’œil.
Alors forcément, pendant qu’on était à la porte en train de lire les infos sur l’église (enfin, on… moi ;-)), une dame s’est arrêtée pour admirer Théodore et me dire “com’è bello”…
Depuis qu’on est arrivés, ça n’arrête pas.
C’est vrai, j’avoue, ça flatte mon ego de maman, mais au bout de la 10e personne de la journée qui me dit qu’il est “carino”, “bello”, qu’on dirait un ange avec ses yeux bleus et ses cheveux blonds (donc pour info, les anges sont forcément blonds… info qui va bien plaire aux mamanges de bruns ou roux…) c’est “lassant” parce que bon, je le sais que c’est le plus beau des petits garçons (NDP (Note Du Papa) : c’est fou ce qu’il me ressemble :-D). Normal, il tient tout de ses parents Visite de l’église de San Filippo Neri (fondateur des Pères de l’Oratoire).
J’ai voulu faire des photos, mais l’église est tellement sombre que ça ne donne rien. La seule photo à peu près bonne est celle de Saint Pierre.

Théodore s’en est donné à cœur joie, car il y avait de la place pour courir (et tomber), en a profité pour faire du charme aux autres touristes et pour nettoyer le sol avec ses mains et ses jambes… Il est ressorti de l’église… nero ! En ce jour de Ste Christine, nous avons fait un arrêt à Santa Cristina (l’église en réparation sur la photo, l’autre c’est San Carlo)

et pour l’occasion, une petite photo de la sainte patronne.

J’en profite donc pour souhaiter une bonne fête à maman et aux Christine que je connais. Petite photo (dommage, j’aurai dû faire une vidéo) de Théodore dansant au son de la musique. Il a le rythme dans la peau ce petit).

Passage par le supermarché (pour un ravitaillement en café, yaourts et autres aliments de premiers secours… tomate, mozzarella di buffala, huile d’olive, vinaigre balsamique et basilic ;-)) (en passant, Anne, si tu lis ce message, tu peux m’en dire plus sur le fromage que tu veux que je te ramène? J’ai déjà fait deux magasins sans le trouver. C’est un fromage dur ou mou ? De vache ou autre ?) puis le magasin bio (oui oui, j’en ai trouvé un qui en plus, vend des couches Moltex et de la “pappa di miglio” bouillie de millet) et retour en bus pour passer les heures les plus chaudes de la journée dans notre studio et étudier toutes les docs prises au point info.

Et pendant ce temps… Christophe travaillait…

À demain pour de nouvelles aventures.

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Avancée des travaux. Quatrième partie.

18.07.2007 par Christophe.

Après une nuit acrobatique pour certains… (si, si, il dort…)

… nous avons repris nos travaux !

Au programme du jour, finir de poser le chanvre. Objectif atteint ! On en a un peu bavé, surtout pour dédoubler les plaques dans l’épaisseur, pour éviter les creux ou les bosses trop importants.
Par contre, on a un petit problème… il nous en reste presque la moitié !
Je crois que j’ai vu un peu large (enfin, il en reste encore à mettre dans la cloison, mais…) !
Désolé Xavier de t’avoir fait déplacer chez Casto’ pour m’aider à tout emmener pour “rien” !

Bon, il faut dire aussi qu’on a économisé ! Pas de pertes !

Pour se donner un petit coup de mieux au moral, on a “fini” un petit bout ! Ça donne l’impression d’avoir bien bossé, et qu’un jour ce sera fini !

Pour ne pas perdre le reste de la journée, et comme on attend d’avoir réussi à acheter de la gaîne thermorétractable pour finir l’électricité (c’est en très bonne voie) avant de pouvoir commencer à clouer le plancher, on a décidé de s’attaquer aux murs.

Comme il nous a été impossible de remettre la main sur les rouleaux et autres pinceaux que nous avons pourtant en stock, nous avons du retourner acheter des rouleaux (en laine de mouton naturelle !) ; on en a profité pour acheter aussi les diverses lampes qui viendront éclairer les futures pièces. Nous avons oublié un seul détail : ramener le télérupteur HS… À faire à la prochaine occasion !
Au final, Myriam a enfin pu s’attaquer à la première couche de sous-couche (oui, ça fait un peu répétition ).

Pendant ce temps, on a réussi à faire notre réservation dans une résidence à Turin qui devrait être plus adaptée que l’hôtel pour Myriam et surtout Théodore. On vous racontera tout ça !

Suite au prochain numéro !

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Avancée des travaux. Troisième partie

17.07.2007 par Myriam.

Ça avance, ça avance… doucement, mais sûrement.

Hier, nous avons fini de poser la première couche de laine de chanvre

et avant de poser la deuxième, le chef de chantier a voulu vérifier que le circuit électrique fonctionnait bien (riche idée)… Du coup, blocage tout l’après-midi avec 2 gaines électriques a refaire et un problème avec la future lumière du couloir :  télérupteur (neuf, et testé avant !) hors-service…

Du coup, aujourd’hui, opération magasin de bricolage.

Tout le monde a mis la main à la pâte, nous avons même découvert un électricien en herbe. C’est parrain qui va être content !

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Avancée des travaux. Deuxième partie

15.07.2007 par Myriam.

Voici enfin des nouvelles du chantier qui prend du retard puisqu’à chaque avancée nous nous posons de nouvelles questions.

Enfin, ça avance quand même.

Jeudi, les lambourdes ont été traitées au xylophène… D’ailleurs, pour l’occasion nous avons découché et sommes allés passer la nuit… chez la voisine (oui oui, celle dont la porte d’entrée est en face de la notre…). Bref, pas beaucoup de distance à parcourir pour aller nous coucher. Du coup, à 7 h 30 le lendemain, nous étions chez nous en train de déjeuner.

Pour Théodore, cela a été l’occasion de faire du tracteur (tondeuse). Dans ces cas-là, il vaut mieux rester à coté car il essaie de tourner la clef et de passer les vitesses.

Nous en sommes à l’électricité ce qui nous a valu de bien nous prendre la tête à cause de la future porte de la chambre (oui oui, il y a un lien ;- )) le problème n’est pas tout à fait résolu, mais on va le contourner.

Nous avons commencé la pose de l’isolant, un parfum champêtre s’est emparé de la maison. J’ai l’impression de me retrouver à Spey après les foins. Ne manquent plus que les cousins pour aller jouer dans les bottes de paille.

Dommage que l’on ne puisse pas vous faire partager l’odeur !

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Heigh-Ho

15.07.2007 par Myriam.

Nous n’avons pas trouvé à quel nain il ressemble le plus, mais même s’il ne tient pas sa pioche dans le bon sens, il fait presque illusion.

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