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Archive de la catégorie Myriam
Couture pour Théodore
01.11.2010 par Myriam.
Aujourd’hui aura été un jour couture pour Théodore.
J’ai commencé alors que j’étais encore en pyjama et j’ai fini juste avant qu’il aille se coucher (entre-temps, j’avais quand même changé de vêtements).
Après le raccommodage de son pantalon (qui n’a pas aimé quelques chutes), camouflage avec Flash Mc Queen et Martin, collage au fer chaud puis couture pour être sur que ça tienne dans le temps (car maintenant, c’est devenu son pantalon préféré et je pense qu’il va être mis et remis… Heureusement, il est grand, ça devrait durer quelque temps !).
Et ce soir, comme ses chaussons ont été oubliés chez parrain et qu’il fait froid sur notre carrelage, je me suis lancé dans la confection de chaussons souples avec semelles en cuir doublées polaire et tout le reste en polaire (il devrait avoir chaud). Le seul souci c’est que par moment, ma pauvre machine à coudre en a un peu bavé quand il fallait passer à travers 7 épaisseurs de tissus). J’ai très envie de me faire les même pour mes pieds de frileuses… Clémence passera sûrement avant, ce sera plus simple à faire !
Le tuto (avec les patrons) se trouve ici.
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Pas d’éléphant rose…
01.11.2010 par Myriam.
Il aura fallu attendre que j’ai plus de 30 ans pour passer ma première 2e partie de soirée dans un bar…
Un bar un peu spécial où l’on peut se peser et se mesurer, où Ken et Barbie indiquent les WC et où derrière une grille C-3PO repasse à côté d’un enfant décapité… Et dire que je suis restée au jus d’orange…
Dans tous les cas, pas de soucis, nous étions en métro… enfin non, à pied puisqu’à l’heure où nous sommes partis il n’y avait plus de transport en commun…
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Retour à Montréal
26.10.2010 par Myriam.
Mon premier cheese-cake, je l’ai mangé à Montréal, quasi à la sortie de l’avion.
Marie-Ève et Mark nous ont emmenés prendre un dessert et là… Mmmmmmmmh !
Avec la tarte au sucre du restaurant se trouvant à côté de l’église Notre-Dame du Bon Secours, ça reste un des moments forts, culinairement parlant de notre séjour.
En cliquant par hasard sur un lien, je suis tombée sur ça.
Du coup, samedi, achat des ingrédients et dimanche réalisation du cheese-cake.
Ça n’étonnera personne, j’ai un peu modifié la recette… et si je le refais (bien sûr que je vais la refaire !), je modifierai encore.
Tout d’abord, je n’ai pas battu les blancs en neige. J’ai vu à plusieurs endroits que ce n’était pas une bonne idée, car en dehors du fait que ça provoque des débordements et un nettoyage du four après coup, ça ne donne pas la texture voulue.
Pour le fromage, j’ai mélangé moitié st Moret, moitié fromage blanc que j’ai fait égoutter une nuit.
Voici donc, la recette revue et corrigée
Pour 6 personnes :
* À préparer la veille :
* Matériel :
* un cercle réglable (ici à 20 cm)
* du papier sulfurisé ou toile silicone.
Pour la croûte biscuitée :
180 g de biscuits (ici 120 g de speculoos et 60 g de petits-beurre. Les spéculoos n’apportent rien de plus à la recette…)
60 g de beurre
Pour l’appareil chocolat noir :
300 g de fromage frais
2 oeufs
150 g de chocolat noir
60 g de sucre
Pour l’appareil chocolat blanc :
300 g de fromage frais
2 oeufs
150 g de chocolat blanc
50 g de sucre (la prochaine fois, mettre moins de sucre)
Pour le caramel au beurre salé
100 g de sucre
8 cl de crème
40 g de beurre 1/2 sel
(les proportions sont celles de la recette,en dehors du sucre, j’ai fait à vue de nez ;-))
Préparation
La croûte biscuitée
Poser le cercle sur une toile silicone ou du papier sulfurisé sur une grille du four.
Mixer les biscuits, ajouter le beurre fondu puis remixer pour obtenir une pâte homogène. À L’aide d’un verre ou d’une cuillère, tasser cette pâte dans le cercle en faisant légèrement remonter les bords. Mettre dans le four le temps de préparer la suite.
Préchauffer le four à 100°.
L’appareil chocolat noir
Dans un saladier, mélanger le fromage, les oeufs et le sucre. Faire fondre le chocolat noir et l’incorporer au mélange précédent pour obtenir un mélange homogène.
L’appareil chocolat blanc
Dans un saladier, mélanger le fromage, les oeufs et le sucre. Faire fondre le chocolat blanc et l’incorporer au mélange précédent pour obtenir un mélange homogène.
Répartir dans le cercle l’appareil au chocolat noir puis celui au chocolat blanc.
Enfourner le cheese-cake à 100°C pendant 1 heure. Puis laisser refroidir dans le four éteint.
Préparer le miroir de caramel au beurre salé
Dans une petite casserole, mettre à feu doux le sucre et attendre qu’il caramélise. Ajouter le beurre puis la crème. Remuer et laisser épaissir. Napper le cheese-cake (toujours dans son cercle). Mettre au frais.
La sauce au caramel apporte un peu trop de sucre… La prochaine fois, a tenter avec un glaçage au chocolat amer (parce que oui, ça manque de chocolat !).
Vous pouvez faire la recette sans soucis, c’est vraiment trop trop bon…
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Fin de semaine reposante, enfin presque…
03.10.2010 par Myriam.
Il y a 1 semaine, nous étions chez Maryline (la marraine de Clémence), car elle nous gardait les loustics pendant que nous allions au repas pour Clotilde (la fille du parrain de Christophe, qui est morte il y a 10 ans). On en a profité pour dormir chez elle en rentrant (on est rentré sur la pointe des pieds, car à notre grand étonnement, tout le monde dormait ;-)).
Le lendemain au réveil, j’ai été prise d’une violente douleur dans l’épaule… Douleur qui s’est calmée grâce aux compresses chaudes ce qui nous a évité un passage aux urgences.
Durant la semaine, je me suis sentie un peu gênée au niveau de l’épaule droite, mais rien de bien méchant… jusqu’à mercredi soir où la douleur a recommencé… pour s’intensifier tout le jeudi et faire que nous avons passé la soirée aux urgences :-/
Je rassure tout le monde, ils ne savent pas ce que j’ai, mais ils savent ce que je n’ai pas J’ai eu droit à mon tout premier ECG et je sais donc que ce n’est pas un problème cardiaque (c’est déjà ça !). J’ai eu mon moment de honte intérieur lors de la pose des électrodes sur mes chevilles un peu poilues (mais mes chaussettes n’étaient pas trouée… ma maman m’a toujours dit de faire attention à ça au cas où je serais emmenée à l’hôpital… elle ne m’a jamais parlé du fait qu’il fallait que je sois épilée ! Grave erreur ! Bon en vrai, même si j’avais eu des chaussettes trouées, j’avais tellement mal que je m’en fichais bien !)
Au final, ce n’était pas à l’épaule que j’avais mal, mais au thorax (chacun son métier… ça n’empêche que j’avais aussi mal à l’épaule, mais le point de départ est au niveau du thorax). J’ai eu une bonne dose d’antidouleur (en passant, ils sont top à Tarare, ils ont l’habitude d’aller sur le site du CRAT pour vérifier la compatibilité des médicaments avec l’allaitement (j’avais quand même, avant de partir, imprimé la page des antidouleurs :-)) et aujourd’hui, je n’ai quasi plus mal…
Je vais quand même essayer d’avoir un RV chez l’ostéo au cas où il puisse faire quelque chose.
Après ces péripéties, nous avons profité de notre WE pour… faire plein de choses en fait…
La famille écureuil a fait ses réserves pour l’hiver… Samedi, direction la campagne (En vrai, un hameau au dessus de chez nous) pour récolter les noix (en se battant avec les poules et les foies gras sur pattes), les pommes et les coings (là, c’est avec les moutons qu’il a fallu avoir le dessus). Théodore en a surtout profité pour jouer avec son copain !
Pour se remettre de ces cueillettes, direction une brasserie pour la fête du 1er brassin (et permettre à Christophe de passer pour un super papa qui sait gérer les crises et réconcilier les deux meilleurs copains qui se chamaillent) puis soirée tranquille spéciale parrain/marraine/filleuls
Et aujourd’hui dimanche, après la messe dans NOTRE église comme le dit si bien Théodore, ramassage des noisettes (2,4 kg)! Notre « cave » se remplit bien…
Non, le fer à repasser n’est pas à la cave… notre cave est… particulière !
Demain, Christophe repart, et nous allons reprendre notre rythme de « sans papa » jusqu’à mercredi soir…
Notre petit clown qui ne veut pas dormir
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Fin d’une aventure
28.09.2010 par Myriam.
Mon aventure chez Laudamay se termine. L’entreprise va fermer pour raisons personnelles.
Ça me fait mal au coeur de voir cette boutique se fermer, surtout dans de telles conditions…
Pour aider Magali a vider son stock, n’hésitez pas à aller faire un tour. Tout est à -50% sauf les colliers d’ambre. Le mieux est encore de passer par moi pour la commande, comme ça je pourrais rapidement dire ce qu’il reste en rayon (pas la peine d’essayer d’acheter du savon détachant, j’ai vidé le stock ;-)) .
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Bidouillages en tout genre !
20.09.2010 par Myriam.
Il y a quelque temps, je parlais d’une envie qui me titillait, à savoir faire de la confiture de cynorhodon. C’est chose faite…
Sur une échelle de la « chiantitude », c’est à 8 voir 9 !
La recette se trouve ici
Il faut déjà aller récolter les baies, pour cela se battre avec l’arbuste qui n’a absolument pas envie qu’on lui pique quoi que ce soit… Une fois les bras et les mains bien griffés, il faut revenir à la maison et couper en deux chaque baie pour en retirer les grains et les petits poils… Juste pour rappel, on appelle aussi ces baies « gratte-cul », autant dire qu’en plus d’être griffé, on se retrouve avec des démangeaisons sur toutes les parties ayant été en contact avec l’intérieur des baies (donc pour peu qu’on se soit gratté l’oreille ou frotté le visage, ça gratte aussi là).
Une fois finies ces 2 étapes, on se rend compte qu’on vient de perdre 2h et qu’une fois les baies pesées, il n’y a que 174 g.
1e cuisson d’une bonne 1/2h, un coup de mixeur, passage par une passoire fine, ajout du sucre, re-cuisson et là, on se retrouve avec quelques malheureux petits pots… On a perdu une demi-journée pour 3 fois rien !
Je ne sais pas combien ça se vend sur les circuits autorisés, mais quelque soit le prix, ça le vaut !
Mon 2e bidouillage est un bidouillage déjà ancien, mais qui s’améliore au fil du temps.
Nous avons pris l’habitude de garder les noyaux de cerise afin de confectionner des bouillottes sèches.
Le souci principal résidait dans le nettoyage des noyaux. On a essayé un tas de trucs, mais j’ai enfin trouvé la solution super efficace pour avoir des noyaux bien propres.
Il faut les faire bouillir quelques minutes dans de l’eau additionnée d’un peu de vinaigre (qu’est-ce que je ferais sans vinaigre ?), puis de les rincer sous l’eau et ensuite de les faire sécher (et là, je les étale sur une tôle à tarte et j’enfourne dans le four après utilisation, pendant qu’il refroidit)
Nous avons eu pas mal de mirabelles et de reines Claude… dont j’ai aussi gardé les noyaux (ils sont un peu plus gros, mais ça passe encore).
De gauche à droite, cerises, mirabelles et reines Claude
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Le mercredi, c’est le jour du…
09.09.2010 par Myriam.
Le mercredi, la poissonnière s’arrête au village au volant de son camion qui lui non plus ne doit pas franchement être aux normes européennes…
Et qui dit poissonnière dit aussi crustacés. Opération crabe, et homard…
Crabes à l’endroit et homard…
J’en profite pour quémander quelques fonds de placards (parce que la dernière fois, je n’ai pas trouvé au magasin ce que je cherchais). Je cherche des chutes de polaire verte (claire et foncée), marron, beige et noire. Si vous avez ça qui traîne dans un coin et qui vous encombre, je peux vous en débarrasser
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Jour du poisson ?
03.09.2010 par Myriam.
Et bien non, ici, le vendredi, c’est le jour de la viande, le jour du poisson c’est le mercredi (jour de passage de la poissonnière). Le vendredi, c’est le jour du boucher… sauf aujourd’hui où il devait être encore en vacances…
Du coup, j’envisage une reconversion professionnelle. J’ai passé un certain temps sur les sites de boucherie pour apprendre à ficeler un rôti. Le résultat est plutôt sympa… pour ma dînette !
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Quand le vinaigre me fait devenir chèvre…
01.09.2010 par Myriam.
Hier soir, grande soirée matheuse avec dans le rôle du professeur (hyper patient, mais ne sachant pas ouvrir les portes du cerveau de son élève non matheuse), Christophe, dans celui de l’élève ne comprenant rien à rien aux pourcentages, fractions et autres trucs de ce style (et ce n’est pas un rôle de composition ;-)), moi…
Tout a commencé il y a quelque temps quand je suis tombée sur une recette de vinaigre de rose. Hier, passage au jardin et là, que vois-je ? De belles roses (ceux qui me connaissent savent que je ne suis pas particulièrement fan de ces fleurs…) bien ouvertes qui ne demandaient qu’à être ramassées pour des expériences pseudo culinaires. Théodore et moi avons donc fait une razzia sur tout ce qu’il restait dans le jardin, j’ai recherché la recette, sorti mon vinaigre qui me sert à nettoyer les vitres (certes, très rarement, on préfère changer les fenêtres plutôt que de les laver… enfin, il paraît que cette option n’était valable qu’une seule fois), d’assouplissant pour le linge, de détartrant, etc., et vogue la galère… Sauf que là… j’ai découvert que mon vinaigre était du vinaigre à 8% (classique en France) alors que la recette utilise du vinaigre à 5% (recette venue tout droit du pays de Marie-Ève). J’ai hésité un court instant à utiliser du 8% comme du 5% puis j’ai vu que l’auteur du site expliquait comment passer de 8 à 5. Et moi, bonne élève, j’ai sorti ma balance de cuisine et j’ai suivi les instructions (oui, parfois ça m’arrive de suivre une recette à la lettre). Et voilà, c’est tout, on n’en parle plus… Enfin ça, c’était sans compter Monsieur mon mari.
Le soir, lors du repas, je lui raconte notre journée et finit en lui disant que j’ai transformé du vinaigre 8% en 5%. N’importe quelle personne normalement constituée (dites-moi qu’il y a au moins une personne lisant cet article qui l’aurait fait !) aurait demandé pourquoi faire… Et ben non, pas lui, il s’est mis à chercher combien d’eau rajouter pour que la transformation ait lieu… Puis… et c’est là le drame, a tenté de m’expliquer comment il était arrivé à la conclusion (sûrement pour m’aider et que j’y arrive seule… souvenir sûrement aussi des débuts de notre mariage où je l’appelais au boulot pour convertir des litres en cl…) à grand renfort d’équation à une inconnue (X pour ne pas la citer), de pourcentage se transformant en degré d’alcool puis en gramme… Ça a duré longtemps, longtemps… et mon esprit réfractaire aux maths est incapable de vous refaire la démonstration… Tout ça pour en arriver au fait qu’un bête produit en croix donne la solution sans avoir à passer par des x (encore qu’entre un x et une croix…)… Et le mieux, c’est encore que sur le site où j’ai pris la recette, ils expliquent simplement qu’il faut mettre 60g d’eau à 100g de vinaigre 8% pour obtenir du vinaigre à 5%. C’est tout, c’est aussi bête que ça…
Les conclusions de la chose, c’est que mon vinaigre de rose va macérer 3 semaines donc verdict dans quelque temps…, que les maths et moi, ça n’a pas changé, ce n’est toujours pas ça… et surtout, qu’heureusement que Christophe est là, car il ne faudra pas compter sur moi pour aider nos enfants lorsqu’ils auront à résoudre des problèmes de robinets qui coulent (pas sûr que le téléphone du plombier du coin fera rire le prof) ou de train qui se croisent (est-ce que tonton train pourra les aider?)…
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Couture du jour
28.05.2010 par Myriam.
Ça faisait longtemps que je l’avais en tête, le plan (le truc qui fait que Théodore ne veut plus me prêter ses crayons !) était fait depuis longtemps et traînait à porté de vue depuis un moment, ne restait plus qu’à s’y mettre…
Comme aujourd’hui j’ai loupé une super après-midi entre filles au hammam (snifffffff !) pour cause d’angine/rhume/oreilles bouchées/mal de tête, je me suis vengée sur du tissu
Certains reconnaîtront le tissu (j’espère qu’ils ne m’en voudront pas de ne pas avoir gardé les rideaux, mais je ne me voyais pas les utiliser comme tels), qui a été choisi pour son coté résistant, ne craignant pas les taches, pouvant passer à la machine et surtout… parce que je ne vois pas trop ce que j’aurai pu en faire d’autre.
Voici donc le sac qui se déplie en tapis de jeux de Clémence qui sera en utilisation dès demain à l’église lors du mariage de Jérome et Marie !
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