20.12.2011 par Myriam.

On reste dans la cuisine, pour cette fois-ci utiliser un double cadeau de l’an passé.

À Noël dernier, j’ai reçu deux fois le même cadeau le coffret Petits chocolats maison (comme c’est bizarre). L’un des deux s’est transformé en livre, toujours sur la cuisine (de l’auteure Michèle Barrière, des romans policiers culinaires… Vraiment sympa !) et l’autre a rejoint mon placard à ustensiles et au final n’avait jamais servi (tout ça ‘est de la faute d’Agathe et de l’état de délabrement avancé qui est le mien à chaque grossesse)… jusqu’à aujourd’hui (enfin hier et aujourd’hui).

Tout à commencé lorsqu’en faisant les Florentins il m’est resté du chocolat fondu… Pour ne pas gâcher, j’ai attrapé les moules (que j’avais lavé la veille après avoir feuilleté le livre) et en ai rempli quelques-uns, puis je les ai mis de côté…

Aujourd’hui, j’ai voulu compléter le cadeau d’anniversaire de Christophe (rappelez-vous, on était en pédiatrie à ce moment-là) et lui faire du caramel d’érable… Caramel fait et là… une idée a jailli… et si on remplissait les coques avec ?

Ni une ni deux, voilà le travail… En plus, j’avais encore des Florentins à recouvrir de chocolat, l’excuse était trop bonne… Et puis Christophe m’a suggéré de mettre quelques grains de fleur de sel par dessus et… voilà le travail !
On ne sait pas encore si c’est bon… il faudra attendre le démoulage ! En tout cas, tous les ingrédients pris séparément sont excellents…

Caramel à l’érable (je ne sais plus où j’ai trouvé la recette…)

150gr de sucre roux
1 flacon de sirop d’érable (230 à 250gr)
110 gr de beurre 1/2 sel
1 petite boîte de lait concentré sucré (397gr)

Dans une casserole mettre le sucre, le sirop d’érable et le beurre en morceaux.

Amener doucement à ébullition en remuant avec une cuillère.

Quand ça commence à bouillir (il se forme alors de l’écume) compter top chrono 4 mn à feu moyen en remuant de temps en temps et en surveillant que ça ne déborde pas….

Retirer du feu et ajouter le lait concentré sucré. Bien mélanger et mettre en pot.
Quand c’est tiède, fermer.

Laisser refroidir complètement quelques heures avant de placer au frigo pour une bonne conservation.

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12.12.2011 par Myriam.

Cette année, j’ai testé… les orangettes !

Recette ultra simple, même avec une puce dans l’écharpe et 2 grands à occuper…

Il faut d’abord des oranges bio, que l’on lave puis auxquelles on retire l’écorce.

 Ensuite, on gratte bien toute la peau blanche ou on la laisse. Moi, j’aime bien me prendre la tête, donc j’ai tout gratté et honnêtement, c’est excellent !

Puis, au choix, on détaille en petites tranches ou on laisse en grands morceaux et on coupe plus tard aux ciseaux (j’ai testé les deux. En coupant aux ciseaux après, on gagne du temps lors des étapes précédentes, mais on a les doigts bien poisseux après)

On pèse les écorces, puis on pèse le même poids de sucre pour plus tard.

On fait bouillir de l’eau salée dans laquelle on jette les écorces. Dès que ça bout de nouveau, on retire de l’eau.

On vide l’eau salée, on met de l’eau dans la casserole, on fait bouillir, on jette les écorces dedans, quand ça bout on retire de l’eau.

On vide l’eau, on met de l’eau dans la casserole, on fait bouillir, on jette les écorces dedans et quand ça bout on retire de l’eau (promis, c’était la dernière fois).

Dans la casserole, mettre le jus d’une ou deux oranges, le sucre, les écorces et ajouter de l’eau pour recouvrir si besoin. Faire bouillir à feu doux (attention à ne pas faire un caramel…) le temps de confire les écorces (entre 20 et 40 minutes) puis les sortir en les disposer sur une plaque et laisser refroidir.

Avec le reste du sirop d’orange, on peut soit le garder comme sirop, soit l’utiliser pour faire de la compote à l’orange

C’est à ce moment qu’on découpe les écorces si ce n’est pas encore fait…

 Faire fondre du chocolat au bain-marie. Quand il est fondu, le faire refroidir, soit dans un bain-marie froid, soit en rajoutant du chocolat. Tremper dedans les morceaux d’écorce d’oranges et les faire sécher sur une plaque.

 En théorie, ça se conserve jusqu’à 1 an… À mon avis, ça ne durera pas aussi longtemps…

J’ai testé les « citronnettes » et… il y a comme un loupé. C’est… coriace alors que les orangettes sont fondantes… Il va falloir trouver comment recycler tout ça !

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09.12.2011 par Myriam.

Il y a quelque temps, j’ai découvert une recette pour fabriquer des steaks (sans avoir besoin d’aller abattre une vache dans le pré du voisin).

Recette mise de côté, le temps de mûrir l’idée…

Et puis aujourd’hui, le 4/5e aidant (jour extraordinaire où je peux prendre ma douche à une heure normale… et où j’ai une autre paire de bras pour prendre le relais avec les filles !), je me suis lancée !

Alors pour les hamburgers, j’avais la recette des steaks, ne manquait plus que celle des pains (et dessus pas de sésame, mais des graines de tournesol… Sympa !)!

Avant cuisson, avec l’aide de mon petit marmiton

Après cuisson

Au final, c’était très bon, et notre petit carnassier n’y a vu que du feu (bon, le grand lui, a juste trouvé que la cuisson n’était pas assez saignante !)

Pour les steaks, j’ai un peu bidouillé la recette (normal en fait !)… Forcément, je n’avais pas assez de lentilles (j’ai fini le pot), j’ai utilisé un oignon jaune, mis 100g de fromage, la boite entière de concentré de tomate (qu’est-ce que j’allais faire d’1/2 boîte ?) et fait l’impasse sur les épices… Et surtout… j’ai bien tout mixé pour qu’on ne puisse pas trouver ce que ça pouvait être

Les steaks

Alors, c’est sur, ça prend plus de temps que d’ouvrir le sachet de pains et de faire cuire un steak, mais franchement, c’était plutôt pas mal…

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09.09.2011 par Myriam.

Clémence et moi avons commencé la journée en mangeant une patte d’ours ! Bien sûr, on a des ours par ici, et manger une patte au réveil ne nous fait pas peur

Plus sérieusement, j’ai fait hier des pattes d’ours au chocolat avec le reste de la pâte à brioche en 5 minutes qui était dans le frigo (depuis lundi).

Voici les étapes en images

La pâte à la sortie du frigo

Une fois bien farinée… Elle est très très collante

Avant cuisson

Après cuisson… La pâte a éclaté, j’aurai dû la faire plus épaisse !

J’ai aussi testé le pain… Très bon, avec juste un bémol… La levée la nuit au frigo, ça peut être une bonne idée si on prend un grand récipient. J’avais dans l’idée de le cuire version pain à la cocote, sauf que… ça a bien bien débordé… C’est sur qu’il avait bien levé !

Il reste de quoi faire un pain , je tenterai la levée classique.

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07.09.2011 par Myriam.

Je viens de découvrir cette recette, ainsi que le livre Artisan Bread in Five Minutes a Day

Certes, le livre est en anglais (version américaine ou anglaise… La langue est la même, mais pas les mesures, en tasse ou en gramme, ou les températures pour le four… j’ai du mal avec les Fahrenheit !), mais en allant sur le site des auteurs et grâce à la traduction dudit site, on arrive à avoir plein de recettes même quand on ne parle pas la langue !
Bref, aujourd’hui, j’ai testé la brioche ! Il y a de la pâte à pain au frigo qui sera utilisé d’ici peu, et encore de la pâte à brioche pour en faire une (mais je ferai bien des pattes d’ours à la place… à suivre !).

Le principe, 5 minutes par jour pour du pain ou une brioche.
On mélange tous les ingrédients à la cuillère, on met au frigo et on s’en sert quand on en a besoin.

Pour la brioche, la recette (en français) est là mais je la recopie avec mes modifications (pour la retrouver plus facilement aussi !)

175 g de beurre fondu et refroidi
175 g d’eau
10 g de sel
4 oeufs
85 g de miel liquide
500 g de farine (bise ici)
1 sachet de levure de boulangerie déshydratée

un jaune d’oeuf + 1 cuillère à soupe d’eau pour la dorure

Mélanger la farine, la levure et le sel dans un grand bol. Ajouter le beurre fondu, l’eau, le sel, les oeufs et le miel et mélanger avec une cuillère en bois jusqu’à obtention d’une pâte lisse homogène. Le mélange est assez liquide : c’est normal. Couvrir le bol d’un torchon et laisser reposer 2h à température ambiante.
Transférer le bol au réfrigérateur pendant au moins 24 heures et jusqu’à 5 jours (ici, 48h pour la 1e brioche, sûrement 1 à 2 jours de plus pour la prochaine)

Le jour de la cuisson, beurrer 1 moule à cake.

Sortir le bol du réfrigérateur et prélever la moitié de la pâte. Diviser en 4 et bouler chaque morceau de pâte sur un plan généreusement fariné. Placer les morceaux dans le moule, côté fariné dessus. Laisser reposer 2h (on peut aussi faire ma version, allumer le four à 35°C avec un bol d’eau et placer le moule à cake dedans le temps que la brioche lève)

Préchauffer le four à 180°C (en ayant retiré le moule !) et pendant ce temps, badigeonner du mélange jaune d’oeuf  + eau  puis faire cuire au four 40 à 45 minutes (ici, 20 minutes à 180°C et 20 minutes à 140°C car je trouvais que la brioche brunissait trop) avec un bol d’eau. Laisser refroidir sur une grille avant de déguster.

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02.07.2011 par Myriam.

Théodore a fait un cadeau à sa maîtresse qu’il a eu 2 ans et qu’il quitte pour ENFIN aller chez les grands !

Un kit cookies

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12.06.2011 par Myriam.

Et parce que je suis sympa, je vous partage 3 recettes testées ces derniers jours. On pourrait presque parler de recettes pour flemmards

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La 1re, c’est celle d’une glace hyper rapide, hyper simple, sans sorbetière et qu’on peut faire quasi à tout. Elle restera chez nous comme la glace de Petitetribu.

Il faut, 300 g de fruits (à la base des fraises, mais on a testé ici les griottes et il y en a une nouvelle depuis cet après-midi à la framboise et aux fraises).
130g de sucre (ou moins selon les goûts, mais moins de sucre donne aussi moins de volume)
Le jus d’1 citron (pour contrebalancer le côté douceâtre des fraises. À moduler en fonction des fruits)
1 blanc d’oeuf

On met le tout dans un robot muni d’une lame (après avoir lavé et dénoyauté les fruits bien évidemment) et on met en marche pour 5 minutes.
Ensuite on met en boîte et au congélateur. Et c’est tout, après il n’y a plus qu’à la manger ! C’est hyper léger.

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Soufflé au chocolat et à la noisette

La recette de base se trouve ici, forcément, je l’ai bidouillé (ben quoi ?).
Ingrédients :
- 200 g de chocolat noir
- 120g de purée de noisette
- 40 g de beurre
- 50 g de sucre
- 3 jaunes d’oeuf
- 5 blancs d’oeufs
- 1 pincée de sel

Faire préchauffer le four à 180°.
Beurrer 4 ramequins : étaler le beurre en pommade avec de l’essuie-tout ou au pinceau s’il est fondu, cela permet d’avoir juste la quantité nécessaire.
Verser une cuillérée de sucre dans chaque ramequin, en tapisser le fond et les côtés, et en retirer l’excédent.

Faire fondre le chocolat au micro-ondes avec le beurre.
Incorporer les jaunes d’oeuf un à un, le sucre et la purée de noisettes.
Dans une jatte, ajouter la pincée de sel aux blancs d’oeufs et les monter en neige.
Il faut que l’on puisse retourner le tout sans qu’ils se décollent.
Incorporer en plusieurs fois les blancs en neige à l’appareil et mélanger doucement avec une maryse.
Remplir les ramequins à ras bord.
Lorsque le four est bien chaud, faire cuire pendant 15 min.
Surveiller la cuisson, ils sont prêts lorsqu’ils sont bien gonflés, et le dessus légèrement craquelé.

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Pain ultra rapide (ce n’est pas du grand pain, mais pour les jours où on n’en a plus, ça dépanne).
La recette se trouve là

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09.05.2011 par Myriam.

Vous l’attendiez avec impatience, le voici !

Aujourd’hui étant un jour presque sans enfant, et surtout, un jour où je me sens mieux, j’ai fait plein d’expériences culinaires (l’avenir nous dira si mon estomac le supporte !).

Hier, nous avons ramené de chez Maryline de l’acacia pour en faire des beignets. En cherchant une recette, j’ai découvert que les fleurs de glycine étaient elles aussi comestibles (attention, dans les deux cas, seules les fleurs se mangent. La tige et les feuilles sont toxiques)… et comme on a de la glycine dans le jardin…

Cet après-midi, j’ai donc fait des beignets d’acacia et de glycine, puis des beignets de pomme, car il restait de la pâte… Et avec l’acacia qu’il restait, je tente d’en faire du vinaigre (j’ai retiré toutes les fleurs que j’ai mises dans un bocal et recouvertes de vinaigre. Verdict dans 1 mois !)

Et puis… J’ai découvert une nouvelle recette de pains au chocolat… beaucoup plus rapide et très bonne (et en plus, il n’y a pas d’oeuf dans la pâte, avis aux mamans d’allergiques qui me lisent ;-)).

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28.12.2010 par Myriam.

 Avec Théodore, nous avons fait des sablés, histoire de pouvoir tester les emporte-pièce que tatie Chichou nous avait offerts, ceux que j’ai eus pour mon anniversaire (on les avait déjà utilisés, mais on ne se souvenait plus très bien alors on était obligé d’en refaire…) et surtout, le stylo pour décorer.

 Nous avons essayé avec un glaçage citron/sucre glace. Le problème, c’est qu’il fige vite alors ce n’est pas évident. Ensuite, test avec du chocolat et là… Trop top !

 Bien sûr, il faut du bon chocolat, fluide, pas du chocolat en tablette qui masse une fois sur deux, du vrai chocolat pour pâtissier. Ici, on est fan depuis longtemps déjà de la marque Barry. Pour les « autour de Lyon » ou les Parisiens, on en trouve chez G. Detou en boîte de 1 kg (et niveau prix, ça vaut le chocolat Nestlé en tablette).

Voici donc nos sablés du jour.

 Sablés aux noisettes

150g de noisettes entières
150g de sucre
150g de beurre
150 à 200g de farine en fonction de la mouture des noisettes. Plus elles sont hachées finement, moins il y a besoin de farine.
1 oeuf

Mixer les noisettes. Ajouter tous les autres ingrédients sauf l’oeuf. Remixer. Ajouter l’oeuf. Mixer de nouveau jusqu’à pouvoir faire une boule. Mettre au frigo 1h.
Étaler la pâte, découper des formes avec des emporte-pièce.
Faire cuire entre 10 et 15 minutes à 180°C

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26.10.2010 par Myriam.

 Mon premier cheese-cake, je l’ai mangé à Montréal, quasi à la sortie de l’avion.
Marie-Ève et Mark nous ont emmenés prendre un dessert et là… Mmmmmmmmh !
Avec la tarte au sucre du restaurant se trouvant à côté de l’église Notre-Dame du Bon Secours, ça reste un des moments forts, culinairement parlant de notre séjour.

En cliquant par hasard sur un lien, je suis tombée sur ça.
Du coup, samedi, achat des ingrédients et dimanche réalisation du cheese-cake.

Ça n’étonnera personne, j’ai un peu modifié la recette… et si je le refais (bien sûr que je vais la refaire !), je modifierai encore.
Tout d’abord, je n’ai pas battu les blancs en neige. J’ai vu à plusieurs endroits que ce n’était pas une bonne idée, car en dehors du fait que ça provoque des débordements et un nettoyage du four après coup, ça ne donne pas la texture voulue.
Pour le fromage, j’ai mélangé moitié st Moret, moitié fromage blanc que j’ai fait égoutter une nuit.

Voici donc, la recette revue et corrigée
Pour 6 personnes :

* À préparer la veille :
* Matériel :
* un cercle réglable (ici à 20 cm)
* du papier sulfurisé ou toile silicone.

 Pour la croûte biscuitée :
180 g de biscuits (ici 120 g de speculoos et 60 g de petits-beurre. Les spéculoos n’apportent rien de plus à la recette…)
60 g de beurre

Pour l’appareil chocolat noir :
300 g de fromage frais
2 oeufs
150 g de chocolat noir
60 g de sucre
 Pour l’appareil chocolat blanc :
300 g de fromage frais
2 oeufs
150 g de chocolat blanc
50 g de sucre (la prochaine fois, mettre moins de sucre)

Pour le caramel au beurre salé
100 g de sucre
8 cl de crème
40 g de beurre 1/2 sel
(les proportions sont celles de la recette,en dehors du sucre, j’ai fait à vue de nez ;-))

Préparation
La croûte biscuitée

Poser le cercle sur une toile silicone ou du papier sulfurisé sur une grille du four.
Mixer les biscuits, ajouter le beurre fondu puis remixer pour obtenir une pâte homogène. À L’aide d’un verre ou d’une cuillère, tasser cette pâte dans le cercle en faisant légèrement remonter les bords. Mettre dans le four le temps de préparer la suite.

Préchauffer le four à 100°.

L’appareil chocolat noir

Dans un saladier, mélanger le fromage, les oeufs et le sucre. Faire fondre le chocolat noir et l’incorporer au mélange précédent pour obtenir un mélange homogène.

L’appareil chocolat blanc

Dans un saladier, mélanger le fromage, les oeufs et le sucre. Faire fondre le chocolat blanc et l’incorporer au mélange précédent pour obtenir un mélange homogène.

Répartir dans le cercle l’appareil au chocolat noir puis celui au chocolat blanc.
Enfourner le cheese-cake à 100°C pendant 1 heure. Puis laisser refroidir dans le four éteint.

Préparer le miroir de caramel au beurre salé

Dans une petite casserole, mettre à feu doux le sucre et attendre qu’il caramélise. Ajouter le beurre puis la crème. Remuer et laisser épaissir. Napper le cheese-cake (toujours dans son cercle). Mettre au frais.

La sauce au caramel apporte un peu trop de sucre… La prochaine fois, a tenter avec un glaçage au chocolat amer (parce que oui, ça manque de chocolat !).

Vous pouvez faire la recette sans soucis, c’est vraiment trop trop bon…

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