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Archive de la catégorie Recettes

Bidouillages en tout genre !

Il y a quelque temps, je parlais d’une envie qui me titillait, à savoir faire de la confiture de cynorhodon. C’est chose faite…
Sur une échelle de la « chiantitude », c’est à 8 voir 9 !

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La recette se trouve ici

Il faut déjà aller récolter les baies, pour cela se battre avec l’arbuste qui n’a absolument pas envie qu’on lui pique quoi que ce soit… Une fois les bras et les mains bien griffés, il faut revenir à la maison et couper en deux chaque baie pour en retirer les grains et les petits poils… Juste pour rappel, on appelle aussi ces baies « gratte-cul », autant dire qu’en plus d’être griffé, on se retrouve avec des démangeaisons sur toutes les parties ayant été en contact avec l’intérieur des baies (donc pour peu qu’on se soit gratté l’oreille ou frotté le visage, ça gratte aussi là).

Une fois finies ces 2 étapes, on se rend compte qu’on vient de perdre 2h et qu’une fois les baies pesées, il n’y a que 174 g.
1e cuisson d’une bonne 1/2h, un coup de mixeur, passage par une passoire fine, ajout du sucre, re-cuisson et là, on se retrouve avec quelques malheureux petits pots… On a perdu une demi-journée pour 3 fois rien !

Je ne sais pas combien ça se vend sur les circuits autorisés, mais quelque soit le prix, ça le vaut !

Mon 2e bidouillage est un bidouillage déjà ancien, mais qui s’améliore au fil du temps.
Nous avons pris l’habitude de garder les noyaux de cerise afin de confectionner des bouillottes sèches.

Le souci principal résidait dans le nettoyage des noyaux. On a essayé un tas de trucs, mais j’ai enfin trouvé la solution super efficace pour avoir des noyaux bien propres.
Il faut les faire bouillir quelques minutes dans de l’eau additionnée d’un peu de vinaigre (qu’est-ce que je ferais sans vinaigre ?), puis de les rincer sous l’eau et ensuite de les faire sécher (et là, je les étale sur une tôle à tarte et j’enfourne dans le four après utilisation, pendant qu’il refroidit)

Nous avons eu pas mal de mirabelles et de reines Claude… dont j’ai aussi gardé les noyaux (ils sont un peu plus gros, mais ça passe encore).

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De gauche à droite, cerises, mirabelles et reines Claude

Quand le vinaigre me fait devenir chèvre…

 Hier soir, grande soirée matheuse avec dans le rôle du professeur (hyper patient, mais ne sachant pas ouvrir les portes du cerveau de son élève non matheuse), Christophe, dans celui de l’élève ne comprenant rien à rien aux pourcentages, fractions et autres trucs de ce style (et ce n’est pas un rôle de composition ;-)), moi…

Tout a commencé il y a quelque temps quand je suis tombée sur une recette de vinaigre de rose. Hier, passage au jardin et là, que vois-je ? De belles roses (ceux qui me connaissent savent que je ne suis pas particulièrement fan de ces fleurs…) bien ouvertes qui ne demandaient qu’à être ramassées pour des expériences pseudo culinaires. Théodore et moi avons donc fait une razzia sur tout ce qu’il restait dans le jardin, j’ai recherché la recette, sorti mon vinaigre qui me sert à nettoyer les vitres (certes, très rarement, on préfère changer les fenêtres plutôt que de les laver… enfin, il paraît que cette option n’était valable qu’une seule fois), d’assouplissant pour le linge, de détartrant, etc., et vogue la galère… Sauf que là… j’ai découvert que mon vinaigre était du vinaigre à 8% (classique en France) alors que la recette utilise du vinaigre à 5% (recette venue tout droit du pays de Marie-Ève). J’ai hésité un court instant à utiliser du 8% comme du 5% puis j’ai vu que l’auteur du site expliquait comment passer de 8 à 5. Et moi, bonne élève, j’ai sorti ma balance de cuisine et j’ai suivi les instructions (oui, parfois ça m’arrive de suivre une recette à la lettre). Et voilà, c’est tout, on n’en parle plus… Enfin ça, c’était sans compter Monsieur mon mari.

Le soir, lors du repas, je lui raconte notre journée et finit en lui disant que j’ai transformé du vinaigre 8% en 5%. N’importe quelle personne normalement constituée (dites-moi qu’il y a au moins une personne lisant cet article qui l’aurait fait !) aurait demandé pourquoi faire… Et ben non, pas lui, il s’est mis à chercher combien d’eau rajouter pour que la transformation ait lieu… Puis… et c’est là le drame, a tenté de m’expliquer comment il était arrivé à la conclusion (sûrement pour m’aider et que j’y arrive seule… souvenir sûrement aussi des débuts de notre mariage où je l’appelais au boulot pour convertir des litres en cl…) à grand renfort d’équation à une inconnue (X pour ne pas la citer), de pourcentage se transformant en degré d’alcool puis en gramme… Ça a duré longtemps, longtemps… et mon esprit réfractaire aux maths est incapable de vous refaire la démonstration… Tout ça pour en arriver au fait qu’un bête produit en croix donne la solution sans avoir à passer par des x (encore qu’entre un x et une croix…)… Et le mieux, c’est encore que sur le site où j’ai pris la recette, ils expliquent simplement qu’il faut mettre 60g d’eau à 100g de vinaigre 8% pour obtenir du vinaigre à 5%. C’est tout, c’est aussi bête que ça…

Les conclusions de la chose, c’est que mon vinaigre de rose va macérer 3 semaines donc verdict dans quelque temps…, que les maths et moi, ça n’a pas changé, ce n’est toujours pas ça… et surtout, qu’heureusement que Christophe est là, car il ne faudra pas compter sur moi pour aider nos enfants lorsqu’ils auront à résoudre des problèmes de robinets qui coulent (pas sûr que le téléphone du plombier du coin fera rire le prof) ou de train qui se croisent (est-ce que tonton train pourra les aider?)…

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La p’tite popote du moment

Plein d’essais culinaires en ce moment, alors, comme je suis sympa, je partage :-)

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Pour les pâtissons farcis (qui ont conquis Clémence, mais pas trop Théodore), la recette se trouve ici.

Pour la mousse au chocolat et ses petits croquants… La recette de la mousse c’est top secret (non c’est une blague ! C’est comme d’hab’ un peu de pif… en gros, 125g de chocolat noir, une noix de beurre pour le faire fondre, car on n’a plus notre super méga chocolat de la mort qui tue (mais j’ai trouvé un nouveau fournisseur sur Lyon, il faut juste que je trouve un coursier… Papa, si tu me lis :-)) et ça évite qu’il masse (qu’il fasse une grosse masse dure) lors du mélange avec les jaunes, 3 oeufs dont on sépare les blancs des jaunes, un peu de sucre et une pincée de sel ou quelques gouttes de citron (pour faire monter les blancs). Et pour arriver à une super texture, je mélange les jaunes avec le sucre jusqu’à ce que ça blanchisse, ensuite on mélange avec le chocolat puis avec les blancs en neige et on met en pot… Et on attend que ça refroidisse…) et les petits trucs croquants trop trop bons c’est ici (version sans chocolat et aux amandes)

La confiture de mûres (la saison des mûres a commencé et grâce à toute l’eau qu’on a eue, elles sont énormes (vrai de vrai… de la taille d’une cerise pour certaines…), ça nous change de celles de l’an passé qui séchaient sur pied…) dont un pot va partir loin loin d’ici… On vous fait grâce des piqûres d’aoûtat que Théodore, Clémence et moi avons sur tout le corps… Sales bêtes !

Et juste pour le plaisir… Clémence qui mange MA glace…

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Myrtilles

Elles ont été les reines de ce séjour…

Christophe a mangé son quota de confiture pour les 10 ans à venir ;-),
nous les avons traquées (bon, ok, c’était facile, il suffisait de se baisser pour en ramasser),
les avons transformées sur les plaques de cuisson dont nous disposions à l’appartement et avons fait de la confiture !

Rien ne nous arrête (en plus, bien sûr, tout a été fait au pif puisque nous n’avions pas de balance… Pour calculer le poids de sucre, on (en fait, JE, j’assume mon côté pas du tout exact) a décidé que la moitié du volume des fruits en sucre équivalait au même poids… Et pour la quantité d’eau… Au pif, de toute façon, on n’avait pas de casserole assez grande pour suivre la recette de papy Modeste !

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Sur pied

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La cueillette

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Le nettoyage

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Le sirop de sucre

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La confiture

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Mise en pot

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Utilisation

Il manque une dernière photo… la langue bleue de celui qui en mange…

Juste pour info, pour ceux qui ne le savent pas, il ne faut pas consommer les myrtilles crues (celles qui sont cultivées, c’est différent) car il y a un risque d’attraper l’échinococcose.

Brioche pas à pas (enfin presque)

 Aujourd’hui pour le 2e petit déjeuner (on était debout très tôt ce matin…) nous avons pu manger une brioche sortie du four :-)
C’est notre recette de brioche préférée qui est aussi bonne que celle du boulanger et qui s’étire quand on la coupe avec les doigts…

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 Cette fois-ci, j’ai un peu bidouillé la recette (oui, encore !) car je voulais tenter avec du levain… Mais j’ai été prudente et ai fait seulement moitié levain moitié levure… Le 100% levain ce sera pour la prochaine fois puisque ce demi-essai a été plus que concluant (en plus avec la chaleur qu’il fait, ça a levé très vite).
J’ai aussi voulu tester la cuisson en cocotte et ça rend bien même si c’est plus long (il faut dire que j’ai enfourné cocotte et plat en même temps, du coup, la température n’était pas assez élevée pour la cocotte).
Voici donc la recette, revue et corrigée…
Brioche

465g de farine
225ml de lait (le reste du lait et j’ai complété avec de l’eau)
1 sachet de levure de boulangerie lyophilisées
100g de levain
75g beurre
60g sucre
1 oeuf
1 cuillère à café de sel

La veille au soir
Mélanger au robot ou à la MAP (Machine à Pain pour les non-initiés) la farine, la levure, ajouter le sel, le sucre, l’oeuf et le lait tiédi 30s au micro-ondes puissance maximum. Lorsque le mélange ressemble à une pâte, ajouter le beurre très froid en morceaux.
Continuer à pétrir jusqu’à ce que le beurre ait été absorbé.
Mettre la pâte dans un récipient fermé ou filmé ) et la placer au frigo pour la nuit.

Le matin

Sortir le récipient avec le pâton et laisser réchauffer tranquillement sur le plan de travail.
1 à 2 heures 30 minutes plus tard  (la pâte doit être encore fraîche), verser la pâte sur le plan de travail fariné et étaler simplement du poignet et de la main, sans trop la dégazer, pour former un grand rectangle.
Rouler le rectangle en un gros boudin, puis couper ce boudin en tronçons et les disposer les uns à côté des autres sans qu’ils se touchent dans un moule légèrement beurré
Passer dessus un mélange de jaune d’oeuf et de lait.

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Laisser lever le temps qu’il faut… (1h30). Redorer avec le même mélange que précédemment. Enfourner à four froid et monter à 180°C ; compter 25 minutes de cuisson en tout.

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Gloubiboulga

Recette récupérée il y a au moins 4 ans lors de l’assemblée générale de la gym à Puteaux (mais qu’est-ce que je faisais là-bas ?) auprès de Canadiens immigrés là-bas…

Voici donc, la recette (enfin tout est au pif bien sur… J’ai une recette mais je ne l’ai pas suivi…) du glubboulga (je ne sais pas le nom exact) en image.

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Faire fondre du beurre et y ajouter les chamallows.

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Laisser fondre…

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Ajouter le riz soufflé

Mettre en caissettes. Là, plus de photo, car j’ai oublié et que depuis ils ont été mangé… Je les avais faits pour la fête de l’école. Côté texture c’est franchement bizarre, ça fait des fils… mais ce n’est pas mauvais :-)

Prix de la ténacité

Ce soir, je voudrais décerner un prix, celui de la ténacité, à la première personne qui a eu l’idée de manger des salsifis, parce que, soyons honnête, il fallait vraiment qu’il ait faim et rien d’autre à manger pour essayer d’avaler ce truc (non pas que ce soit mauvais, d’ailleurs, j’aime beaucoup ça, mais c’est long à préparer).

Dans notre panier de légumes de la semaine, nous avions des  scorsonères. C’est bien gentil de nous indiquer que nous avions ça, mais.. kézako ? En fait, ce sont tout simplement des salsifis.

J’avoue, ce n’était que la 2e fois de ma vie que j’en voyais (en dehors des conserves)… La dernière fois c’était en 97 lors des JMJ quand le groupe des Polonais nous a fait un repas de chez eux…

Me voici donc avec mes salsifis… heureusement, il y a les instructions sur le papier accompagnant le panier.

Ce matin, grosse motivation, je sors les salsifis, et commence l’aventure. Je les lave puis les laisse tremper 1 heure dans de l’eau froide vinaigrée (là, déjà, je sais que c’est cuit pour les manger le midi)…

Arrive l’étape de l’épluchage. Ils recommandent des gants, car il en sort un jus grisâtre (ça donne super envie…) et collant qui peut teindre les mains. N’étant pas fan de la cuisine avec les gants, je laisse tomber en me disant que même si je me retrouve avec les mains grises, ce n’est pas grave… sauf que, au premier salsifis, je me rends compte de mon erreur… C’est parti pour retirer mon alliance et continuer l’épluchage… Au final, je me retrouve avec la main gauche enduite de colle que je dois peler pour arriver à retrouver ma main normale (ça a pris un peu de temps).

Quand on arrive à ce stade, on se dit que si on n’en avait jamais mangé, on ne continuerait pas…

Arrive la cuisson, 3/4 d’heure dans l’eau bouillante… pour ensuite les égoutter et les cuisiner.

Honnêtement, qui a bien pu avoir l’idée de passer 3h à cuisiner des racines ? Certes, c’est bon, mais quand même !

Grande décision du soir, sauf si on en a encore dans le panier, plus de salsifis frais chez nous… on se tournera vers le surgelé ou les conserves (même pas honte !)

Chose promise

Voici la tarte tatin aux échalotes.

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Encore une fois, les échalotes ne sont pas assez dorées à la sortie, il va donc falloir refaire un essai (trop dur !)

Il faut, de la pâte à tarte, des échalotes (ici 500g et c’était limite juste), un peu de beurre (oui oui, du vrai, du gras :-)).

Faire revenir les échalotes (épluchées et coupées en deux) dans le beurre. Saler.

Déposer sur un plat à tarte, recouvrir de pâte et enfourner 25 minutes à four chaud (230°C).

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Dimanche nous avions fait un essai avec une pointe de crème avec les échalotes. C’était pas mal du tout.

Dans la série sans

Voici les petits pains au lait briochés sans oeuf, sans lait et sans beurre.

Version classique (modification pour faire sans)

1 oeuf + lait = 325 g (1cc de maïzéna, 1/2 cc de bicarbonate + 5cl d’eau. Mélanger. ajouter du lait végétal pour arriver au poids voulu)

1 sachet de levure sèche de boulanger (à faire lever dans un peu d’eau ou de lait tiède)

500 g de farine T45

75 g de sucre + 1 sachet sucre vanillé

1 cc de sel

50 g beurre (50g de purée d’amande)

pour badigeonner : 1 oeuf battu avec un peu de lait
(rien du tout)

facultatif : barres de chocolat , raisins secs , grains de sucre

Pétrir votre pâte à la main , au robot ou à la map(machine à pain), laisser la pâte doubler de volume, diviser en pâtons de 60 à 100 g  ,façonner suivant vos envies,laisser lever pendant environ 1h30 suivant la température de votre pièce (ou dans le four à 35/40C), badigeonner d’oeuf battu (rien :-))

cuisson four chaud à 180C env 15 à 20 min

J’avais un peu peur que les petits pains soient blancs mais au final ils sont bien dorés.

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Marraine et fléchettes

 Samedi, suite à l’annulation du pique-nique avec les copains (pique-nique prévu il y a 3 semaines quand il faisait beau et chaud et que jamais nous n’aurions cru qu’après le mois d’avril ce serait le mois de novembre qui viendrait), nous avons transformé le pique-nique en journée sympa avec « Maryline de Clémence » comme l’appelle Théodore.
Elle a pu goûter à nos essais culinaires (la tarte tatin d’échalotes et la sauce amandes/olives), découvrir la fondue bourguignonne au sanglier et surtout… faire une initiation fléchettes.
Quelques pointes cassées, les dalles en mousse un peu plus perforées (elle n’est pas l’unique responsable de ce carnage, loin de là), nous l’avons converti aux fléchettes puisqu’elle est même allée s’acheter un jeu en rentrant chez elle :-)
Beaucoup se demande comment Théodore fait pour jouer aux fléchettes avec nous. Voici la réponse en images (on remarquera le matelas sous la cible pour récupérer un maximum de fléchettes refusant de se planter où il faut)

 

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Pour finir, la recette de notre découverte culinaire du moment, la sauce amandes/olives :
100 g d’olives vertes (nous avons aussi essayé après avec 20 g de noires et 80 g de vertes. Ça attaque plus, mais c’est bon aussi)
50 g de purée d’amandes blanches ou complètes.
sel
Mixer le tout jusqu’à obtenir une pâte fine.