08.05.2010 par Myriam.

En prévision de la rencontre avec les copinautes du forum allaitement, j’ai testé (et on a approuvé) la recette des cookies sans oeuf, sans lait, sans beurre et sans farine de blé.

La recette de base se trouve ici

Et j’ai même ensuite essayé une version salée !

Version sucrée :

* 140 grammes de farine de riz complet
* 2 c. à café de poudre à lever (en vrai un peu de bicarbonate)
* 80 grammes de sucre de canne
* 80 grammes de flocons d’avoine
* 80 grammes de chocolat noir
* 30 d’amandes concassées
* 4 c. à soupe d’huile neutre (tournesol)
* 100 ml de lait de riz
* 1 pincée de sel

Mélanger les ingrédients secs puis ajouter l’huile et le lait. Former des palets et cuire 20 minutes à four chaud, 180°C

Version salée :

* 140 grammes de farine de riz complet
* 2 c. à café de poudre à lever (en vrai un peu de bicarbonate)
* 2 tranches de jambon cru coupé en petits morceaux
* 80 grammes de flocons d’avoine
* 1 échalote
* persil ou ciboulette
* 4 c. à soupe d’huile de tournesol
* 100 ml de lait de riz
* 1 pincée de sel

Mélanger les ingrédients secs puis ajouter l’huile et le lait. Former des palets et cuire 20 minutes à four chaud, 180°C

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21.04.2010 par Myriam.

Je préparais de la cramaillotte (confiture de pissenlit)

La recette :

150 à 170 fleurs de pissenlit que l’on a équeuté (a priori on peut aussi laissé un peu de vert, mais… y’en a qu’ont essayé et qui n’ont pas du tout aimé le résultat !)

1 litre d’eau + 1/2 verre

1 kilo de sucre.

Jeter les fleurs dans l’eau bouillante. Faire infuser 5 minutes, filtrer (j’ai vu que certains laissaient infuser une nuit entière, mais je n’ai pas testé).

Mélanger au sucre et faire de nouveau cuire de manière à obtenir au choix la consistance du miel ou celle de la gelée. Mettre en pot.

À l’odeur, on dirait du miel.

À tester, certains rajoutent du citron et des fleurs de romarin… Dès qu’on aura refait le plein de sucre, nous repartirons à la cueillette… Ce qui devrait être rapide

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01.04.2010 par Myriam.

Où quand on va se coucher le soir, on se demande pourquoi on s’est levé le matin…

Ça a été le cas hier où nous avons dû faire face à 2 enfants survoltés (oui oui, même Clémence), dont un se prenant pour l’âne dans Shrek allant même jusqu’à sautiller en répétant en boucle « choisis-moi, choisis-moi ».
Dans ces moments-là, on apprécie de se dire que le lendemain, il retourne à l’école mais comment on faisait l’an passé ?

Bref, journée épuisante où même la poussinette à couettes (sans couette) a été « à fond », cherchant son frère et faisant un foin pas possible avec lui… Et dire qu’ils ne sont que tous les deux… qu’est-ce que ça aurait donné avec Pierre ?

Quand, ayant une brusque envie d’évasion, profitant de la sieste de Clémence, je me suis décidée à partir au jardin pour bêcher… l’âne alias Théodore a décidé de venir avec moi (youpi !)… Grand moment là aussi où il n’a pas arrêté de parler une seule seconde, de vouloir bêcher (mais bien sûr) mais en refusant de ramasser les racines et autres touffes d’herbes à jeter, car… il allait se salir ! (Est-ce vraiment un petit gars de la campagne ? On va dire que oui, surtout quand samedi en sortant du métro il nous a dit que c’était trop bien et qu’il voulait recommencer !)

Il y a quand même eu un moment rigolo où arrivant devant la citerne il m’a dit qu’elle avait bien poussé Heureusement qu’elle ne grandit pas chaque année, car on n’aurait plus de place dans le jardin.
La séance de jardinage s’est finie avec une bêche cassée, une entaille à la main et la citerne évitée de justesse lors de la perte d’équilibre… Plus de jardinage possible jusqu’à ce que l’on investisse dans une nouvelle bêche… Et Théodore qui ramassait du bois à ce moment-là, a essayé de m’expliquer comment j’avais cassé la bêche (quand je dis qu’il n’a pas arrêté de parler)… Cet épisode a été l’occasion de vérifier l’état de ma vaccination contre le tétanos (rappel fait en 2006) et par la même occasion, de vérifier celle de Christophe (c’est pour l’an prochain la piqûre pour lui).

Toujours à propos de la bêche… Nous avons envoyé Théodore chez la voisine pour lui demander les horaires de la messe du jeudi saint (en fait, on les avait, mais bon, passons). Pendant ce cours instant, loin de nous, il a eu le temps de lui raconter que j’avais cassé la bêche et lui demander si elle pouvait me prêter la sienne…

La journée s’est finie dans un état de surexcitation intense des loulous et une petite puce ne s’endormant qu’à 22h passées…
Aujourd’hui, Théodore est à l’école, Clémence fait déjà la sieste et je savoure le calme absolu….

Pour finir sur une note sympa, voici la recette de la veganella, pâte à tartiner végane essayant d’imiter le nutella… Je n’ai sais plus où j’ai pris la recette, mais elle circule sur les blogs végans.
Ici, nous avons fait la version pas végane et pas APLV (allergique aux protéines de lait de vache) puisque j’ai utilisé du lait de vache et un peu de chocolat au lait.
100g de purée d’oléagineux (ici purée d’amande)
100g de chocolat (à faire fondre avec le lait)
100g de lait végétal
100g de sucre (comme j’ai mis du chocolat au lait pour moitié, je n’ai mis que la moitié de sucre).
Elle se conserve au frigo et n’est pas dure ce qui permet de l’étaler facilement

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30.03.2010 par Myriam.

Enfin, de Barsimée surtout, mais pour la rime, ça marchait moins !

Rien que pour le plaisir des yeux voici mes premières baguettes entièrement au levain.

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26.02.2010 par Myriam.

À notre retour de Nantes, j’ai eu la mauvaise surprise de découvrir Barsimée en piteux état. Pour tout dire, il a fini dans l’évier (une pensée pour la SDEI ). J’ai sorti la copie de sauvegarde que j’avais au congélateur, mais… il semblait en petite forme… J’ai même cru le perdre. Du coup, pendant que je tentais une réanimation forcenée, j’ai lancé la fabrication de mon troisième levain. Aujourd’hui, alors que Barsimée semble reprendre vie après ce qu’on peut qualifier d’acharnement thérapeutique, levain n°3 est né.

Comme le premier s’appelait Ada, le 2e Barsimée, nous avons cherché un prénom en C pour rester dans la continuité. Une copine a proposé Charlemagne et nous avons gardé ce nom (en plus, avouons-le, il y a peu de risque d’en rencontrer un dans la rue !).

Charlemagne a donc pour mission de faire de GRANDS pains !

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16.02.2010 par Myriam.

Pour le pain du jour : 215g de levain + 430g d’eau + 645g de farine. Pétrir au robot 8 mn. Au bout d’une heure, ajouter 1 cuillère à soupe de sel. Laisser lever 3h. Rabattre et mettre dans un récipient au froid pendant la nuit.
Le matin, rabattre et mettre dans une cocotte. Mettre au four (éteint). Il était 7h40
L’après-midi (17h), mettre en route le four, 230 C pendant 1h.

Mon souci… ça a beaucoup, beaucoup, BEAUCOUP levé… et au bout de 25 mn de cuisson, j’ai dû retirer le couvercle et mettre un récipient d’eau dans le four. Le pain a levé, levé… C’est une belle boule bien dorée.

Non seulement il est très beau, mais il est aussi très bon ! Et moi, je reste toujours aussi impressionnée par la transformation de l’eau et de la farine en pain… Tout comme le lait avec la présure se transformant en fromages blancs… La magie de la chimie…

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15.02.2010 par Myriam.

Au programme aujourd’hui, cuisine !

Cuisine pour les oiseaux avec au programme, petits pains de graisse aux graines.

Alors oui, je sais, j’ai utilisé de la graisse végétale hydrogénée et c’est très mauvais pour les artères, MAIS je me dis qu’étant donné la durée de vie des oiseaux, ils mourront de vieillesse avant que ce soit à cause de la nourriture !

Voici donc en images, la séance de cuisine du matin.

Les petits pains ont durci dans la neige, ne reste plus qu’à les démouler et les offrir aux gourmets ailés !

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15.02.2010 par Myriam.

Voici les recettes des desserts d’hier pour les gourmands !

Tarte au sucre

Pâte brisée :

250 g de farine
125 g de beurre
50 g de sucre en poudre
1 oeuf
un peu d’eau

Mélanger tous les ingrédients en étaler la pâte dans une tôle à tarte.

Garniture :

150/200 g de cassonade
250 ml de crème
2 oeufs
un peu de sirop d’érable

Verser la cassonade sur le fond de tarte

Mélanger la crème, les oeufs et le sirop d’érable et verser sur la cassonade

Mettre à four chaud (240 °C) pendant 25 minutes.

____________

Tarte au chocolat

La recette de base est ici. Celle que j’ai faite est un peu différente.

1 plaque de chocolat “Pralinoise” (Poulain)
250 gr de chocolat noir
1 paquet de Gavottes (Crêpes dentelles de Bretagne ,non chocolatées) ou 125g de “paillettes” de crêpes dentelles.
200 gr de crème liquide (là, j’ai utilisé de la crème épaisse et c’était un peu aigre du coup, mais très bon quand même !)

Préparation du fond

Fondre une plaque de Pralinoise avec 50 gr de chocolat noir et y écraser à la fourchette un paquet de Gavottes de 125 gr
Pendant que la préparation est chaude, l’étaler entre deux feuilles de papier sulfurisé. Retirer la feuille de papier sulfurisé supérieure.Lorsque ça commence à durcir, mettre dans le moule à tarte pour former le fond.
Mettre à durcir au réfrigérateur.

Préparation de la garniture

Faire bouillir 200 gr de crème liquide. Faire fondre dedans, 200 gr de chocolat noir
Mélanger , étaler sur l’abaisse durcie et laisser refroidir au réfrigérateur.

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12.02.2010 par Myriam.

Aujourd’hui, je pense que l’on peut dire qu’on approche du résultat rêvé

Pour ceux qui voudraient faire la même chose, j’ai utilisé la méthode 1,2,3 et la technique du pain cocote.

L’avant veille, nourrir son levain de manière à ce qu’il soit en forme au moment de l’utiliser. Ici, je lui ai donné 100g de farine et 100g d’eau ce qui correspond à ce que j’allais utiliser le lendemain.

La veille, mettre 1 mesure de levain, 2 mesures d’eau et 3 mesures de farine (Ici, 200g de levain + 400g d’eau + 600g de farine). Mélanger et laisser au repos 1h. Ajouter 1 cuillère à café et demie de sel.
Laisser au repos 3h.
Transvaser dans un grand récipient hermétique et laisser lever toute la nuit (au début, je faisais comme pour le pain à la levure une levée au froid (i.e. dans les WC du bas, alias le frigo) mais maintenant, je laisse la pâte lever dans la cuisine (où il ne fait pas très chaud, mais au moins entre 16 et 17 la nuit).

Le jour-même, rabattre la pâte et la mettre dans une cocotte fermée (ici une cocotte en verre, car je voulais pouvoir surveiller la levée) et la placer au « chaud » (sur le rebord de la fenêtre, à proximité du radiateur) et laisser lever 7h environ (un pain au levain, ça se mérite…).

Après la levée

Enfourner à four froid et mettre à cuire 1h à 230°C (je ne sais pas pourquoi, le pain au levain demande une cuisson plus longue que le pain à la levure. Peut-être à cause du taux d’hydratation qui est plus élevé ?).
À la sortie, on a un pain tout doré et qui sent bon

Vivement ce soir qu’on le goûte !

La couleur n’est pas bonne, en réalité, le pain est plutôt gris.

Une pensée pour Mme Badinter (oui, je ne peux pas m’en empêcher, elle m’a trop gonflée ces derniers jours) qui doit hurler en voyant l’aliénation qui est la mienne puisque je suis derrière les fourneaux, qu’en plus j’allaite ma fille, qu’elle porte des couches lavables, que le jour venu j’utiliserai de nouveau ma moon cup, que je cuisine pour nourrir ma famille et surtout, surtout, que je ne me réalise pas dans le travail et que je ne suis pas indépendante sur le plan financier… À croire que j’ai loupé ma vie… Et le pire dans l’histoire… C’est que je suis heureuse comme ça… C’est à n’y rien comprendre !

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04.02.2010 par Myriam.

Alors, comment dire …

Ce premier pain a donné une magnifique galette

Il y a eu comme un souci au moment de la levée… Je me renseigne donc en ce moment pour trouver le pourquoi du comment (peut-être simplement que Barsimée est encore un peu jeune…).

En dehors de ça, l’odeur est bien là, le goût aussi tout comme les petites bulles dans la mie… Il ne manque donc pas grand-chose

À voir si on transforme ce pain un peu plat en pizza en le coupant en deux Rien ne se perd, tout se recycle !

On voit clairement la différence de taille entre ces deux pains qui ont été cuits dans le même moule… Le grand est à la levure, le petit au levain !

La mie, par contre, est plutôt pas mal

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