02.10.2009 par Myriam.

Ce soir c’est soirée entre filles…
Entre filles ? Enfin plutôt soirée mère-fille…

Clémence et moi sommes seules ce soir alors au programme, bain (enfin, pour la petite parce que moi, à part un bain de pied, je peux difficilement faire plus dans la bassine ;-)), sandwich devant la télé (on en reparle plus bas), calins, cookies (ça, on en reparlera, mais plus tard).

Je sens les questions fuser… Où sont les garçons ? À l’heure qu’il est, ils doivent être à l’aéroport. Non, ils ne partent pas en vacances sans nous, ils vont pique-niquer en regardant les vrais avions… Et accessoirement, ils accompagnent papy Yves et mamy Christine qui prennent l’avion cette nuit, direction La Réunion pour un mois. Ça va leur faire du bien de prendre du temps pour eux.

Pour les sandwiches (j’avais dit que j’en reparlerais), j’ai testé une recette de pain pour panini. La recette se trouve ici.
J’ai voulu faire la pâte à la machine à pain, mais au bout de 5 minutes de bruits infernaux, j’ai arrêté. J’en déduis donc que mettre tous les ingrédients (en ayant fait lever la levure avant) dans un robot et faire la pâte ainsi en faisant ensuite lever à couvert, ça marche aussi.

Bonne soirée à tout le monde, je m’en vais faire mes cookies

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24.09.2009 par Myriam.

Théodore est fan de madeleine. Partant de là, on se doute que c’est un des goûters maison que nous prenons plaisir de faire. Et comme on est sympa, on partage

Voici la recette de base :

2  gros oeufs

120 g de farine

100 g de beurre fondu

100 g de sucre

1/2 cuillère à café de bicarbonate de soude

Préchauffer le four à 230°C. Mélanger tous les ingrédients et remplir les moules au 2/3.

Enfourner à four chaud et cuire 8 minutes. Descendre la température à 180°C et cuire 5 minutes.

Pour avoir une belle bosse, il faut mettre la pâte au frigo pendant un moment (au moins 1/2 heure). C’est le choc thermique qui est à l’origine de la bosse.

Après avoir essayé la version au miel, celle à la farine de riz, au chocolat (en ajoutant 2 cuillères à café de cacao), le dernier essai en date c’est farine de châtaigne et cacao.  Et en plus c’est sans gluten (mais pas sans PLV… désolée les copines !)

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17.08.2009 par Myriam.

Les baies de sureau commençant à mûrir, il est temps de leur consacrer un article, d’autant plus qu’il y a quelque temps, on m’a demandé la recette de MA confiture mûre-sureau.
Tout d’abord, attention, il y a sureau et sureau.
Si comme moi vous pensiez que le sureau était toxique, vous aviez raison et tort !
Il existe 2 sortes de sureau.
Le comestible (sureau noir) est un arbre et ses grappes de fruits sont tournées vers le bas (tombent). Minute culturelle, il semblerait que ce soit à un sureau que Judas se soit pendu d’où l’appellation parfois du sureau noir d’arbre de Judas.

Le toxique (sureau hièble),  est une plante herbacée ne dépassant pas 2 mètres et dont les grappes (les corymbes (c’était la 2e minute culturelle)) pointent vers le haut.

(Il y a une troisième espèce dont les baies sont rouges dont, pas de risque de confusion.)

Maintenant que le cours de biologie est passé, passons aux choses sérieuses.
Lorsque les baies sont bien noires (ça commence tout juste chez nous, mais à Charnay ça avait l’air bien mûr), les cueillir et en extraire le jus.
Suite à une coupe sauvage de notre arbre, il a fallu trier les baies… Travail long et fastidieux, mais le résultat est au rendez-vous.

Les années précédentes, nous avons emprunté les extracteurs à fruits de Freddy et Nicole puis de mes parents. Cette année, comme nous sommes passés à l’induction, il nous en fallait un adapté. Et voilà comment on prend son indépendance « extracteurienne ». Voici l’engin tout beau tout neuf !

La première étape, à savoir la mise en bouteilles du jus de sureau étant faite, voici la recette “à la Myriam” (comprendre sans aucune proportion) de la confiture :
Récupérer le jus des mûres et des baies de sureau (proportion totalement au pif… l’an passé il devait y avoir plus de mûres que de sureau, mais je ne le jurerai pas…).
Ajouter le même poids de sucre (de préférence sucre à confiture (avec de la pectine)) et faire prendre la confiture.
Mettre en bocaux et pour que ce soit vraiment ma recette, n’en mangez pas et offrez les confitures à ceux qui les aiment (et dire que quand on s’est mariés je m’étais promis de ne jamais faire de confitures… Comme quoi…).
Message en passant à tatie Jolie et tonton Train, j’ai bien pris note de votre commande !

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01.08.2009 par Myriam.

Prendre entre 1 et 3 litres de lait

Le faire chauffer (ici comme il est UHT, entre 26° et 30°C)

Note : non, je ne suis pas gauchère… C’est juste plus simple pour prendre les photos

Ajouter la présure

Remuer

Oublier la casserole entre 1 et 2 jours selon la chaleur de la pièce

Une fois que le petit lait remonte à la surface, et qu’une masse blanche et compacte est formée

mettre en faisselle

C’est tout !

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21.07.2009 par Myriam.

Prendre le goûter dans un transat (parce qu’il n’y a pas de raison qu’il n’y ait que Clémence qui ait le sien !).

Et parce que maman est gentille, voici la recette du goûter…

Petits pains au lait briochés (la recette vient d’ici)

• 1 oeuf + lait = 325 g

• 1 sachet de levure sèche de boulanger (à faire lever dans un peu d’eau ou de lait tiède)

• 500 g de farine T45

• 75 g de sucre + 1 sachet sucre vanillé

• 1 c à c de sel

• 50 g beurre

pour badigeonner : 1 oeuf battu avec un peu de lait

facultatif : barres de chocolat , raisins secs , grains de sucre …

Pétrir votre pâte à la main , au robot ou à la map(machine à pain)

pour ma part : programme pâte de ma map

• laisser la pâte doubler de volume

• diviser en pâtons de 60 à 100 g

• façonner suivant vos envies …

• laisser lever pendant environ 1h30 suivant la température de votre pièce (ou dans le four à 35/40°C)

• badigeonner d’oeuf battu

• cuisson four chaud à 180°C env  15 à 20 min

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30.03.2009 par Myriam.

Grande première pour nous… Nous avons fait notre premier poulet à la broche… Forcément, maintenant que nous avons un super four, il faut tester les différentes fonctionnalités… D’habitude, notre poulet rôti, nous le prenons chez le rôtisseur (c’est la version flemmards, mais c’est sympa aussi !)

En plus, nous avions un petit cuistot pour surveiller que tout se passait bien…

Et l’info super importante… l’installation électrique a survécu à la pyrolyse que nous avons faite après

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19.02.2009 par Myriam.

Il est temps de faire des crêpes…

Pour cela, prendre des oeufs, du lait et de la farine…

Mélanger le tout…

Y’a plus qu’à faire cuire !

Pour ceux qui veulent les mêmes ingrédients, les oeufs sont des « capsules » d’oeufs kinder, la bouteille de lait, une bouteille de crème et la farine, des « chips » de maïs servant à caler les objets dans les colis.

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12.02.2009 par Myriam.

Atelier boulangerie aujourd’hui… bien plus drôle que la pâte à modeler, car on peut manger après !

Voici donc le gressin version Théodore… un escargot !

Et les autres plus classiques

Pour la recette, c’est celle qui se trouve dans le Grandir Autrement de septembre/octobre 2007
- 250 g de farine T80 (ou de farine d’épeautre)
- 1 cuillère à café de sel
- 1 cuillère à café de levure de boulangerie déshydratée
- 1 cuillère à café de miel
- 30 ml d’huile d’olive
- 1 cuillère à café de thym séché
- 1 cuillère à café de fleurs de lavande fraîche (les fleurs à 5 brins)
- de l’eau tiède
Délayer la levure de boulangerie et le miel dans un demi-verre d’eau tiède. Laisser reposer 5 minutes, jusqu’à ce que la levure se « réveille » et forme une petite écume

Mélanger la farine et le sel, puis former un puits. Y verser l’huile d’olive et la levure délayée. Bien mélanger en ajoutant de l’eau très progressivement, jusqu’à obtenir une pâte homogène et non collante que l’on pétrira 10 minutes. La laisser reposer à couvert, par exemple dans un grand saladier couvert d’une assiette ou d’un torchon. La pâte doit presque doubler de volume. Le temps de repos varie en fonction de la température ambiante. En général, une heure suffit, mais s’il fait frais, choisissez le lieu le plus chaud de la maison (au dessus d’un four chaud ou d’un radiateur, sous une couverture…) et patientez !
Lorsque la pâte a gonflé, la tapoter pour faire sortir le gaz qui s’est formé, puis ajouter les herbes. Pétrir rapidement pour bien les mélanger, puis former de minces boudins sur une plaque de four farinée.
Si on a le temps, il est préférable de laisser les gressins reposer une heure à nouveau.

Enfourner à 160 ° en surveillant la cuisson. En 10 minutes environ, vous obtiendrez des gressins moelleux et parfumés, qui auront à peine changé de couleur. Si vous les préférez dorés et croquants, laissez-les cuire quelques minutes supplémentaires.

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07.12.2008 par Myriam.

Nous avons trouvé une tablette à la juste grandeur…

5 kilo de chocolat, pas mal non ?

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20.11.2008 par Myriam.

Voici la « fournée » du jour…

Merci mon nouveau dessertisseur qui permets d’ouvrir les boîtes sans avoir de bords coupants

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